Kant Explication De Texte Posséder Le Je

philosophie est étroitement liée à l’éthique, ma façon de vivre. Philosopher, c’est faire l’expérience du doute, apprendre à me détacher (à douter) de tout ce qui m’empêche d’être moi-même. Tout discours est partiel, partial ou orienté et personne ne possède la vérité universelle, ainsi douter, c’est conserver sa liberté en acceptant le dialogue avec ceux qui pensent différemment = se confronter à la difficulté, à l’échec et à la pensée des autres. C’est croire en moi-même et prendre ma place dans le

pf est réellement une expérience : est ce que l’on fait vraiment l’expérience de la pf ? Si l’on ne fait jamais radicalement l’expérience de la pf, n’est-ce pas parce que la pf est une Idée (ici idée au sens de concept et non de notion)? Cf. Platon/Kant. Idée est représentation de la raison à laquelle rien ne correspond exactement ds l’expérience. Dieu est une Idée. Idée de substance ; aucune impression ne peut nous donner la saisie de qqch qui ne change pas. Les sens ne donnent que du changement

rappel, ces consignes sont actuellement : - Pour les séries générales Expliquer le texte suivant : [Texte, auteur, titre et date ou époque de composition ou de publication de l’œuvre] La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question. - Pour les séries technologiques Pour expliquer ce texte, vous répondrez aux questions suivantes, qui sont destinées principalement à guider

SOMMAIRE Programme….. 1 Méthodologie de la dissertation…..151 La conscience ….4 Méthodologie de l’explication L’inconscient .. 11 de texte ---------------………….159 Le désir ……….18 Sujets avec corrigés……………….162 Autrui…………. 26 L’existence et le temps..35 La perception………..41 Le langage 46 Le travail et la technique 51 L’art……………..59 La religion……..65 L’histoire……..74 La vérité…………

Département d’Études Françaises de l’Université de Toronto pour le diplôme de PhD octroyé en 2010. L’écriture en tant que forme de communication se prête à une analyse bipartite : (1) l’auteur dans son rapport au texte – le côté rhétorique ; (2) le lecteur dans son effort interprétatif face à ce même texte – le côté herméneutique. Face à la multitude de réflexions traitant les particularités génétiques et poétiques de la Recherche, il y a une pénurie de critiques qui, au lieu de privilégier une des parties

et le possible est une des provinces du vrai » écrit Baudelaire (texte 1). Mais l’imagination est également une source d’erreurs et d’illusions, car elle nous renseigne moins sur la réalité elle-même que sur les réactions de notre corps et de notre sensibilité à notre milieu. C’est l’interférence des sources de nos représentations qui serait la cause de l’illusion, dont l’imagination est en l’occurrence directement responsable (texte 2, d’Alain). Il faut donc se demander pourquoi l’imagination fait

humains fondamentaux ne sont inscrits en lui biologiquement, il doit donc les apprendre par d'autres hommes : tout homme a besoin d'autres homme pour acquérir des comportements humains fondamentaux puisqu'il n'a pas d'instinct. Ceci explique pourquoi Kant affirme que "L'homme est le plus démunie des animaux" = l'homme est le seul animal a ne pas avoir de conduites instinctives, il est donc entièrement dépendant des autres hommes. Remarques : Ne pas confondre l'instinct avec les réflexes innés: à

l'étude des «manières» — et dans le contexte d'une phénoménologie des «genres» Cf Ibid, p 131 2 Francis Ponge, l'Avant-printemps, Pans, Tel quel, 1968, n° 33, p 5 et 6 Ponge et les idiolectes de la poésie moderne 53 Une remarque : dans le texte cité, le signe oo est suivi d'un astérique qui renvoie à cette note. «1. Remplacer le ô lyrique par le signe arithmétique de l'infini oo (le 8 couché).» Cette note est un métatexte qui ne laisse pas passer impunément le ô lyrique, opérateur potentiel

dans les sous divisions ou analyses. » Ainsi la force est-elle la réalité : la force est substance, et toute substance est force. La force est dans un état, et cet état se modifie suivant des lois du changement. Cette succession d’états changeants possède un ordre régulier, c’est-à-dire que chaque état a une raison (cf. principe de raison suffisante) : chaque état s’explique par celui qui précède, il y trouve sa raison. À cette notion de loi se rattache également l’idée d’individualité : l’individualité

des esclaves ». (Pour être libre, je devais alors réduire tous les autres en esclavage ce qui est contraire à l’idéal de liberté). Mais pour la vérité, le problème vient de la légitimité d’un savoir que je serais le seul posséder : est il concevable qu’une seule personne possède toute une science, toute une vérité ? NON ! Il faut que nos savoirs soient validés par une « communauté scientifique ». Ex : une découverte scientifique  processus de validation de cette découverte (ex : la vitesse des