Kant Impératif Hypothétique

qui serait acquise par le sociologue, est susceptible de nous dire comment améliorer nos rapports sociaux, découvrir les injustices = c’est la realpolitik dans l’universalisme. Véritable rupture dans la philosophie c’est au 18ème siècle : Emmanuel Kant. Détermine toute notre esthétique actuelle sur les arts et il fonde la possibilité de la science au sens moderne et donc des sciences humaines et sociales en particulier. Trois caractéristiques de la modernité : o La subjectivité, on existe que si

KANT (Emmanuel) 1724-1804 Article écrit par Louis GUILLERMIT Prise de vue La meilleure image que l'on puisse proposer de la nouveauté que Kant introduit dans l'histoire de la pensée et qui le promeut au rang du petit nombre des très grands philosophes de tous les temps, c'est peut-être celle à laquelle il songea lui-même pour qualifier le changement de méthode dont il faisait l'essai en philosophie : celle de la révolution opérée par Copernic en astronomie lorsqu'il supposa que le centre

abstrait signifie que la RD vise une situation hypothétique. On oppose cette notion de situation hypo à celle de concrète, au réel. Ce caractère abstrait va nous permettre de comprendre la structure meme de la regle de Droit : toute RD comporte un premier élément que l’on prénomme le « présupposé » de la RD. Ce présupposé est la situation hypothétique qui définit le cadre dans lequel la RD va s’appliquer. La RD va noncer une situation qui est hypothétique et une fois que des particuliers vont se retrouver

question de la possibilité mais aussi de la capacité à gouverner l’environnement se pose avec acuité. Mais de quel type d’autorité faut-il user pour gouverner l’environnement ? La notion de gouvernement implique une instance décisionnelle de type impératif pouvant assumer la responsabilité pour l’avenir de la crise environnementale par une réflexion sur la gestion rationnelle des ressources. Dès lors la question devient : est-il légitime de vouloir gouverner l’environnement ? On comprend d’emblée

d’agir de façon éclairée, consciente et responsable ? Ainsi la vérité peut-elle apparaître comme une contrainte, qui va aux dépens de la volonté, mais qui contre toute attente nous libère ? Peut-elle être un devoir, une contrainte, au sens moral, un impératif auquel le sujet se sent soumis, qui va à l’encontre ses désirs, mais qui est nécessaire pour devenir autonome? C’est ce raisonnement que nous suivrons le long de notre réflexion. Il semblerait que la vérité soit une véritable source de convoitises

universellement désirés, sont-ils dignes d'estime ? L'intérêt, l'utilité, l'efficacité sont les signes représentatifs de la technique et en ce sens n'obligent jamais légitimement le sujet qui se définit toujours comme sujet moral. Les impératifs hypothétiques, explique Kant, ne considèrent que l'intérêt (règles de l'habileté, du savoir-faire). « Ils concernent la vie pratique et n'ont pas de caractère moral. Ils font dépendre le but visé (construire une maison, faire fortune) des moyens ou conditions

au service d'un ordre, qualifié de juste. Quelle justice ? La fin légitime les moyens. Mais cette description des hommes rend-elle si vaine toute exigence d'une justice qui ne serait pas réduite à la moralité de circonstances du prince ? (Ce que Kant appellera le moralisme politique, càd une moralité adaptée aux circonstances par le prince) [Faire le bien du peuple malgré lui ou avec lui ?] Mais justice ou plus de justice reste une exigence qui doit valoir absolument quand bien même la justice

enfance ; notre vie affective et sentimentale dépend des histoires vues/lues- Kant : philosophe allemand des lumières (XVIIIe) * l’idée de la moralité c’est une affaire entre soi et soi, c’est agir en accord avec ce qu’on est « il n’y a que les êtres libres que se sentent les devoirs » * les philosophes des Lumières ont insisté sur les limites de la raison ; grâce à la raison on connaît tout ; Kant va enterrer cette vieille philosophie * la raison ne répond pas à la question

schellingienne de l’histoire 3.1. Le concept de l’histoire dans sa première philosophie 3.1.1. L’histoire, une partie de la philosophie pratique (pars pro toto) 7 3.1.2. L’histoire, une construction 9 3.1.3. Les trois temps, la médiation des impératifs de nécessité et de liberté 11 3.2. Le concept de l’histoire dans sa dernière philosophie 12 Conclusion 15 Bibliographie 16 Introduction « La nature doit être l'esprit

notre propre bien-être et c’est pourquoi nous recherchons le bien au-delà de notre bien- être égoïste. D’autres penseurs comme Kant envisagent la possibilité de comprendre le bien comme une exigence de la raison. Ainsi pour Kant, la morale serait un impératif catégorique de la Raison pratique. Au lieu de considérer la morale comme une limite à notre liberté originelle, Kant conçoit la morale comme l’expression même de la liberté en tant qu’autonomie. Par l’action morale, l’individu se rend capable