Kant Mill

contrepartie de ces positions, est nécessaire au financement du capital productif et donc à la croissance. 2) Elles maximisent le bien-être collectif L’utilitarisme, doctrine introduite par Jérémy Bentham (1748-1832) et prolongée par John Stuart Mill (1806-1873), pose le principe d’utilité comme fondement de la moralité. Les utilitaristes donnent priorité au Bien sur le Juste. Selon cette doctrine, une action peut être jugée bonne ou mauvaise en fonction du bonheur qu’elle procure aux individus

sur les problèmes économiques, de commentaires des oeuvres de chacun d'eux, et de critiques des oeuvres d'autres auteurs ; toutes ces lettres étaient écrites dans un remarquable climat de franchise et d'amitié. John Stuart Mill (1806-1873), fils d'un autre ami de Ricardo, James Mill (1773-1836), fournit des contributions éminentes à la philosophie et à l'éthique, mais fut surtout le dernier auteur libéral important de l'école classique. II apporta peu de substance à l'analyse. Ses Principes d'économie

processus d’ouverture politique de la Grande Bretagne. L’adoption du Reform Act bis en 1867 amorcera véritablement le processus de démocratisation de l’archipel. b. La « démocratisation en marche » (1867- 1885) Inspiré par les lectures de John Stuart Mill, qui dans son ouvrage On Liberty (1859), formule l’importance des principes de liberté individuelle. Mais surtout, conscient du décalage qui subsiste entre l’évolution industrielle de la nouvelle Grande Bretagne d’une part, et l’archaïsme politique

cas d'une jeune hystérique connue plus tard sous le pseudonyme d'Anna O.. Son service militaire, de 1879 à 1880 retarde également la fin de son cursus universitaire. Il profite de ce moment pour traduire les Collected Works du philosophe John Stuart Mill, se faisant par là une réputation d'éternel étudiant. Il assiste également aux cours de Franz Brentano. Il passe ensuite ses deux premiers rigorosa en juin 1830 et le troisième en mars 1881 et obtient son diplôme le 31 mars 1881. Il est alors à titre

moins compatibles ou incompatibles. Ainsi, il faut distinguer le libéralisme originel dit « classique », des social-libéralismes réformistes (De J.S Mill à Keynes) des libéralismes sceptiques (école autrichienne ultralibérale). Nous reviendrons sur ces termes plus tard. Par exemple quand on lit les auteurs de référence que sont Smith, ou Mill, on s’aperçoit qu’ils ne sont pas partisants de l’Etat minimal ou de la non-intervention de l’Etat. Pour des raisons pratiques, on a souvent recours à la

population et ressources : meilleure production, donc population augmente jusqu'à ce que la production agricole ne suffise plus ; hausse de la mortalité, et on repart. Ces idées fonctionnent jusqu’au XVIII, transition démographique. John Stuart Mill : 1806 – 1873 Principes d’économie politique (1848). C’est le dernier économiste classique et le moins libéral. Il considère que l’intervention de l’état est légitime, en particulier pour protéger les plus faibles dans la population contre la domination

sociaux, motivés par l'intérêt personnel. L'approche générale que Smith a contribué à lancer est appelé l'économie politique et plus tard l'économie classique. Cette école a fourni des écrits notables de Thomas Malthus, David Ricardo et John Stuart Mill entre 1770 environ à 187017. Alors qu'Adam Smith s'intéressait à la production de revenus, David Ricardo axa ses recherches sur la distribution des revenus entre les propriétaires fonciers, travailleurs et capitalistes. Ricardo a vu un conflit inhérent

façon de plus en plus claire les avantages du libre échange. 1- La théorie classique : SMITH, RICARDO, STUART MILL : En fait, aux XVIIIème et XIXème siècle, trois économistes libéraux ont établi ce que l’on peut appeler la théorie classique du libre-échange : il s’agit de l’Écossais Adam SMITH (1723-1790), des Anglais David RICARDO (1772-1823), et John STUART MILL (1806-1873). Pour ces partisans du libre-échange, Cette nécessaire division du travail entre les nations grâce à laquelle

intéressant pour le Portugal que la production autarcique : il faut que les termes de l’échange du vin (mesurés en drap) soit supérieurs au coût d’opportunité du vin. Ce concept n’était pas connu de RICARDO, car il ne fut élaboré que par John STUART MILL (1806-1873). La mise en évidence de l'avantage comparatif peut se faire sans employer explicitement la notion de coût d'opportunité, mais l’emploi de cette notion en facilite cependant grandement la compréhension. La définition du coût d’opportunité

majoritaire : crainte de donner le pouvoir à la médiocrité (Platon), à la « vile multitude » (Thiers) : la règle de la démocratie (51%) n’a pas de légitimité si elle concerne des individus incompétents ! Problème de la « tyrannie de la majorité », John Stuart Mill (1806-1873) Promotion d’un nouveau modèle : - démocratie dualiste ou substantielle (Bruce Ackerman) : gouvernance du peuple qui après délibération accepte une constitution (citoyenneté extraordinaire) : valeurs fondamentales fixées : politique