Kant Piratage

En admettant que cette observation soit juste, je puis continuer par cette supposition que la conscience s’est seulement développée sous la pression du besoin de communication, que, de prime abord, elle ne fut néces­saire et utile que dans les rapports d’homme à homme (surtout dans les rapports entre ceux qui commandent et ceux qui obéissent) et qu’elle ne s’est développée qu’en regard de son degré d’utilité. La conscience n’est en somme qu’un réseau de communications d’homme à homme, — ce n’est

sujet, si tu ne veux pas tomber dans les panneaux gauchistes moralisateurs. Interroge-toi avant tout sur l'humanité, ce que ce mot veut dire. A mon sens, "humain" a un sens davantage biologique que philosophie. Dans "qu'est-ce que les lumières ?", Kant parle de l'homme qui accède à la majorité par l'usage de sa raison et l'abandon de toute soumission à ses tuteurs, pas de l'humain. On nait humain, mais pas homme. C'est une piste à explorer. Ce qui m'amène à dire que le sujet est mal formulé et confond

il n'y a pas de qualité. Kant Emmanuel Kant est un philosophe allemand né en 1724, à Königsberg. Ils entrent à l'université de Königsberg en 1940 ou il prit goût pour la littérature latine classique. Puis pour la philosophie et les mathématiques. Kant publie l'Estimation des forces vivantes en 1746 et devient professeur en 1755. Il fût membre du conseil de l'Université et membre de l'Académie des sciences de Berlin. Il meurt en 1804 Philosophie de Kant : Amitié d'après Kant, c'est l'union de deux personnes

eux-mêmes. Kant lui définit une bonne action, par le fait qu’elle n’est pas pour premier but le plaisir de celui qui l’accomplit, mais le devoir, même si l’on en tire aucun plaisir personnel. Kant définit les actes intéressés comme des actes immoraux. Tous les hommes sont capables d’obéir à des règles et des lois qui leur permettent de vivre en société. Dans ce cas tout homme est capable de juger ses actions bonnes ou mauvaises en se demandant si il aimerait qu’un autre individu agisse ainsi. Kant nous

multiples thèses se regroupant principalement dans deux mouvements de réflexion, peut-on affirmer qu’il y a des leçons à tirer de l’histoire ? C’est la question que nous amènent à nous poser de nombreux auteurs philosophiques de Voltaire à Emmanuel Kant en passant par Friedrich Hegel. La philosophie de l'histoire est la branche de la philosophie qui s'attache à réfléchir sur le sens et sur les finalités du devenir historique. On peut, schématiquement, distinguer deux écoles de pensée

demandons souvent la raison d’être. Quelque chose de plus profond lié à la nature humaine explique peut-être l’oubli que l’homme peut avoir de ce qui est utile. Cet oubli est souvent lié à l’oubli même de l’utile. Dans la critique de la raison pratique, Kant soutient que nul vertu n’est possible sans conceptualisation des termes. L’homme oublie souvent peut-être de faire des travaux utiles parce qu’il ignore peut-être simplement ce qu’est ce mot et la manière dont il faut le prendre. L’utile, rappelons

Agrostique sans connaissances RI : l H n a pas besoin de religion et les progres rendent la religion inutile Critique: la croyance dans le progres = une certaine forme de religion avec des fanatiques pres a tout Aristote l H est un animal politque Kant l H peut vivre en societe mais aussi avoir envie d etre seul - meme si l h n a pas besoin de religion elle peut passer pour une tendance ou une contrainte ! Pb faut il parler d un besoin irrepressible ou d une tendance a la religion pouvant etre

préparation en vue de l’effort ou un relâchement après l’effort. Ces thèses sont originales car même Kant qu’on ne saurait soupçonner d’hédonisme pense le repos après la peine car selon lui l’amusement sans travail qui le précède ou le suit conduit inéluctablement à l’ennui. Aristote et Anarchis ne craignent pas l’ennui. Le repos est pensé d’abord comme une préparation à l’effort. A vrai dire la position de Kant risque de faire du travail une forme de divertissement en vue de ne pas s’affronter au sens de

Il est important de concevoir que la notion du bien n’est pas la même pour tous et qu’une personne peut bien agir sans que son action ne sois régie par une loi. Le concept du bien a comme défaut une grande ambigüité. En effet, comme définit par Kant, celui-ci peut définir plusieurs types de «bien». Le bien moral, l’agréable, le bonheur, l’avantageux, le convenable ou bien la valeur. En conséquent, ce concept peut être trompeur s’il est employé seul ou s’il est mal définit. Rappelons-nous que dans

serait que plus atteinte. Il semble illusoire de penser qu’il suffit simplement de transgresser les lois pour être libre, car quoiqu’il arrive nul n’échappe aux lois. Le libre arbitre dont parle Descartes, ou simplement le pouvoir inaugural chez Kant serait donc une illusion. La loi est le témoin d’un quasi absence d’anarchie car si aucunes lois ne nous régentaient, nous serions capables de tout, surtout du pire. Tuer serait autorisé, provoquant ainsi un sentiment d’insécurité, le contraire étant