Karl Marx Et Les Pensées De La Classe Dominante

la paix. Il refuse donc le pouvoir de droit divin. En matière de morale, Hobbes pense que l'homme doit agir selon les lois d'un "égoïsme utilitaire" qui découle de l'instinct de conservation (conatus) et de domination. Sa philosophie naturaliste construite à partir de la sensation, est inséparable de la science, notamment celle du corps humain. Pour lui, l'expérience est la seule base de toute connaissance. Sa pensée rationaliste, matérialiste - il nie l'existence de l'âme - et anticléricale inspirera

l'intérêt de nombreuses sciences naturelles. Les chercheurs continuent de rechercher un consensus sur la méthodologie à utiliser pour relier les diverses théories de moyenne portée. Les sciences sociales d'une époque et d'un lieu génèrent un discours dominant qui est influencé par le contexte intellectuel et politique de cette époque et de cet endroit. Dans le monde contemporain, les sciences sociales sont souvent utilisées pour justifier les décisions politiques. PARTIE I - LA SOCIOLOGIE UNE SCIENCE

Chap. 1 : L’analyse de H ARONDT Chap. 2 L’analyse de C LEFORT Titre 2 : LA DEMOCRATIE Chap. 1 : Analyse de TOCQUEVILLE, GAUCHET, LEFORT. Chap. 2 :  Bibliographie : Raymond ARON : « Les étapes de la pensée » BAUDOUIN : « Introduction à la politique » Dalloz BRAUD : « sociologie politique » L.G.D.J. CHAGNOLLAUD : « Sociologie Politique » Dalloz DEB HASCH : « Introduction à la politique » Dalloz DUVERGER : « Sociologie

Augustin – Bossuet • Saint Augustin (354-430) a une réponse sur ce sujet. Il a été le témoin d’un événement historique colossal : la chute de Rome en 410. C’est un événement qui pose un grand problème car à cette époque la religion chrétienne est dominante à Rome et est accusée d’être responsable de la chute des vertus romaines. Selon lui, il y a aussi l’histoire en dehors du temps c’est-à-dire, celle qui n’est pas perceptible. La seule façon de connaitre l’histoire qui est en dehors du temps selon

néoclassiques 25 3. L'analyse de Marx 25 4. Les théories keynésiennes 26 A) Les apports fondamentaux 26 B) L'analyse keynésienne de la crise 27 Conclusions 28 Bibliographie 29 Index des idées économiques 30 Annexes 32 1. Le circuit néoclassique 32 2. Le circuit keynésien 33 INTRODUCTION Le cours d’analyse socio-économique de la société contemporaine propose, à mon sens, une exploration d’idées économiques plutôt qu’une étude rétrospective de la pensée économique. La différence que

arabes), les pr€-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'€conomie moderne (qui d€bute avec Adam Smith „ la fin du XVIIIe…si†cle). • [‚] les id€es, justes ou fausses, des philosophes de l€€conomie et de la politique ont plus d€importance qu€on ne le pense en g€n€ral. ‡ vrai dire le monde est presque exclusivement men€ par elles. Les hommes d€action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d€ordinaire les esclaves de quelque €conomiste pass€. Les illumin€s du pouvoir qui

sous l’effet de la globalisation financière et des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Emerge ainsi un nouveau capitalisme dont la nouvelle économie et le e-krach constituent des épisodes transitoires. Il consacre le rôle dominant de la logique boursière dans les économies capitalistes. En France, ce passage au capitalisme actionnarial s’est effectué à un rythme accéléré à la suite de la privatisation du système industriel et financier. L’emprise croissante de la finance internationale

vous ne pouvez pas monter dans l'entreprise. Ce qui est différent du fordisme car il y a avec lui une possibilité de rétrogradation ou de monter dans l'entreprise. Avec le taylorisme l'ouvrier suvit à la fois une fatigue physique et morale car il ne pense plus. Après le T, Ford, en 1908 reprend le taylorisme mais lui ajoute le travail à la chaîne (les pièces se déplacent à l'ouvrier = gain de temps) et il rajoute encore une production standardisée dont le symbole est la fameuse forme « T ». Résultat

I. JOHN MAYNARD KEYNES.   John Maynard Keynes est né en 1883, comme Schumpeter, l'année de la mort de Marx. A l'instar de John Stuart et de Leon Walras, il était le fils d'un « économiste ». Johm Neville Keynes (1852-1949), qui enseigna les « sciences morales » à Cambridge à l'époque où l'économie politique leur était encore rattachée, est l'auteur d'un ouvrage sur le domaine et la méthode de cette science qui fit autorité pendant plusieurs décennies.

Histoire de la pensée politique, Masson, 1988. CHATELET (F.), PISIER (E.), Les conceptions politiques du XXème siècle, P.U.F., 1981. CHEVALLIER (J.-J.), Les grandes œuvres politiques de Machiavel à nos jours, Colin, 1949 (multiples rééditions) GUCHET (Y.), Histoire des idées politiques, t. 1, De l'Antiquité à la Révolution française, Colin, 1995. GUCHET (Y.) et DEMALDENT (J.-M.), Histoire des idées politiques, t. 2, Colin, 1996. LAVROFF (D.-G.), Les grandes étapes de la pensée politique, Dalloz