Kateb Yacine

littérature maghrébine: 1. Les fondateurs de cette littérature ont conduit une réflexion critique sur leurs sociétés doublée d’une prise de conscience identitaire (Driss Chraïbi, Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri (1920-1959), Mohamed Dib, Ahmed Sefrioui, Kateb Yacine (1929-1989). 2. La génération des années 1970 qui s'est penchée sur les mêmes thèmes que son aînée propose cependant une écriture plus violente. On peut citer pour illustrer cette deuxième vague d’auteurs maghrébins : Rachid Boudejra, Abdelkbir

défis : nouveauté des thèmes, vertige des formes et innovation créatrice. Avant d'affirmer son style et de définir de nouvelles règles théâtrales, il a puisé chez les anciens (Ali Chérif, Bachtarzi, Ksentini…) et les contemporains (Rouiched, Kaki, Kateb…). Il emmagasina un savoir théâtral encyclopédique où se croisaient Brecht, Piscator, Tewfik El Hakim, Gorki, Goldoni ou Ionesco. Au centre de ses préoccupations : la représentation théâtrale, la non-linéarité, les personnages, vecteurs du dire, le

des clichés habituels de l'exotisme, c'est à ce titre qu'on assiste à la publication de romans tels que la trilogie de Mohammed Dib, avec ses trois volets que sont la Grande Maison, l'Incendie et le métier à tisser, ou encore le roman Nedjma de Kateb Yacine qui est souvent considéré comme une œuvre majeure. D'autres écrivains connus contribuent à l'émergence de la littérature algérienne parmi lesquels Mouloud Feraoun[1],[2], Moufdi Zakaria, Mouloud Mammeri, Mohamed Dib, Frantz Fanon, Jean Amrouche

des clichés habituels de l'exotisme, c'est à ce titre qu'on assiste à la publication de romans tels que la trilogie de Mohammed Dib, avec ses trois volets que sont la Grande Maison, l'Incendie et le métier à tisser, ou encore le roman Nedjma de Kateb Yacine qui est souvent considéré comme une œuvre majeure. D'autres écrivains connus contribuent à l'émergence de la littérature algérienne parmi lesquels Mouloud Feraoun, Moufdi Zakaria, Mouloud Mammeri, Mohamed Dib, Frantz Fanon, Jean Amrouche et Assia

a s'exprimer, a donner un point de vu dire ce que l'on pence, commenter des images ou des textes, chacun a un avis différent par rapport a ce qu'il voie ou ce qu'il lie. Il y a différente façon de s'exprimer, comme par exemple dans le roman de Kateb Yacine (Nedjma 1956) ou il parle en racontant ce qu'il ce passe dans les pensés du narrateur, ce qu'il ressent, ou alors on peut l'utiliser de façon ironique comme quand les philosophes des lumières raconter des chose en tournant la phrase dans plusieurs

qui est cet « il ? ») lui demande : « Aimez-vous la littérature algérienne, monsieur Glissant ?» (p. 27). Et l’écrivain martiniquais de répondre : « …j’ai connu Kateb Yacine à Paris au début de des années 60… » (p. 22). Kateb Yacine qui lui aussi, est censé avoir rendu visite à Khadra (en songe) : « Ma première nuit en France, Kateb Yacine est venu me voir dans mon sommeil » (p. 38). Qu’en est-il donc de la narration ? D’un fil conducteur ? Du statut des personnages ?le texte ne respecte pas les codes

de la renaissance arabe, force est de le constater, les écrivains les plus neufs empruntaient à leur tour avec le même naturel que leurs aînés, et quelquefois même, avec plus de liberté. »25 Mais pourquoi des écrivains comme Albert Memmi et Kateb Yacine se sert de la langue française au lieu de la langue arabe ? Une raison c'est que c'est difficile pour un Maghrébin d'écrire en arabe classique car l'arabe classique n'est pas une de ses langues maternelles mais plutôt l'arabe dialectale ou le berbère

maghrébine 1. Les fondateurs de cette littérature ont conduit une réflexion critique sur leurs sociétés doublée d’une prise de conscience identitaire (Driss Chraïbi, Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri (1920-1959), Mohamed Dib, Ahmed Sefrioui, Kateb Yacine (1929-1989). 2. La génération des années 1970 qui s'est penchée sur les mêmes thèmes que son aînée propose cependant une écriture plus violente. On peut citer pour illustrer cette deuxième vague d’auteurs maghrébins : Rachid Boudejra, Abdelkbir

paysage algérien pour faire acte de foi. D’ailleurs l’extrait intitulé « La patrie » est une dénonciation et une remise en cause de l’enseignement colonial qui faisait croire aux algériens que la France était leur patrie. Ce que dénonce aussi Kateb Yacine dans Nedjma et le reste de son œuvre ainsi qui beaucoup d’autres écrivains engagés qui ont utilisé leur plume pour défendre la cause nationale et lutter contre l’oppresseur. V) Pour le résumé d’une œuvre, il suffit de se référer à

celle de l’Algérie, n’ont pas débouché sur le développement espéré. Le conflit israélo-arabe maintient une large zone d’instabilité, alors même que les braises dans les Balkans sont mal éteintes. Tous les chemins mènent au Maghreb (mai 1961) Kateb Yacine Algérie : le sabre et la piété (février 1992) Lahouari Addi Un lac de l’ère planétaire (août 1995) Edgar Morin Guerre et paix au Proche-Orient (juillet 1967) Maxime Rodinson L’interminable exil des réfugiés palestiniens (juillet