Kératinocyte

mortes kératinisées (les cornéocytes) qui ne contiennent plus de noyau - La couche translucide : cellules aplaties et sans noyau - La couche granuleuse : cellules aplaties avec noyau - La couche de Malpighi: cellules très vivantes, contient des kératinocytes (cellules qui produisent la kératine), les cellules de Langerhans (rôle dans l’immunité) - La couche basale : repose sur la lame basale qui fait la jonction entre le derme et l’épiderme, c’est dans cette couche que les cellules se divisent et

propriétés anti-inflammatoires, anti-desquamantes (peaux très sèches). Non comédogène, elle renforce le film hydrolipidique de l'épiderme et contribue à diminuer les pertes d'eau transcutanées. Elle renforce la cohésion entre les différentes couches de kératinocytes. ➔ Combustible : utilisé notamment par Rudolf Diesel, lors de la création de son moteur diesel, le gazole arrivera plus tard. ➔ Peinture, vernis et autres produits techniques (Fig. 19): l'huile tirée de l'akène du chanvre est siccative, c'est-à-dire

BRÛLURES DE LA PEAU ET DES TISSUS MOUS Pansement chirurgical initial de brûlure Pansement chirurgical secondaire de brûlure Escarrotomies de décharge Excision de brûlure Greffes de peau pour brûlure Greffes cutanées en sandwich Greffes de culture de kératinocytes pour brûlure Ablation des supports de culture cellulaire [Take down] 16.06 16.06.01 16.06.02 16.06.03 16.06.04 16.06.05 16.06.06 16.06.07 16.06.08 16.06.09 16.06.10 ACTES THÉRAPEUTIQUES SUR LE SEIN Évacuation de collection du sein Exérèse

participant au cadre épicellulaire formant une sorte de ceinture. Lorsqu'il se trouve au niveau du pôle basal et de la lame basale on parle d’hémidesmosomes, un complexe jonctionnel entre une cellule et la MEC, cas de la lame basale, comme les kératinocytes qui vont s'associer à la lame basale. On peut les comparer à des rivets. B. Les propriétés de reconnaissance et d'adhésion sélectives Toutes les cellules sont capables de reconnaître leur environnement, les cellules voisines et d'y adhérer

grande épaisseur et se révélant efficace dans la réduction de l‟inflammation et dans les phases de granulation de la cicatrisation des incisions suturées [32], cet agent a été rapporté comme ayant des effets cytotoxiques sur les fibroblastes et les kératinocytes in vitro [33] et entrainant un retard de la guérison de la plaie in vivo [34]. Malgré cela, il est l‟agent topique le plus largement utilisé pour le traitement des plaies [35]. De plus, les brûlures représentent un enjeu économique car le traitement

est pionnier et leader mondial de la reconstruction de modèles de peau humaine depuis plus de 30 ans. retour sur les dates clés de la recherche consacrée aux peaux reconstruites. 1979 Premier épiderme reconstruit à partir d’une culture de kératinocytes. 1994 Premier modèle d’épiderme reconstruit, produit à une large échelle pour des études toxicologiques. 1983 Premier épiderme reconstruit avec une couche cornée fonctionnelle. 2010 1986 Première peau asiatique reconstruite

d’une couche germinative renouvelée constamment qui conserve son activité mitotique toute sa vie et d’une couche cornée située au dessus de la couche germinative et qui est constamment éliminée. Ces cellules contiennent de la kératine, ce sont des kératinocytes. On perd en moyenne entre 1 et 2 grammes de cellules de peau par jour. La couche cornée est plus ou moins épaisse pour éviter les pertes d’eau par évaporation. Au début du développement la couche cornée est très mince, appelée le périderme, puis

Mettre en œuvre des essais analytiques Contrôler le respect des normes en vigueur Réaliser une expertise des conditions de production, de conditionnement, de transport, de stockage Réaliser des essais in vitro : tests sur cultures cellulaires (kératinocytes…) ou explants cutanés et/ou muqueux Décrire les phénomènes toxicologiques (allergies, irritation, photosensibilisation, CMR…) Décrire les tests chimiques, biochimiques et biologiques in vitro mis en œuvre Dresser un profil toxicologique Proposer

en vigueur Réaliser une expertise des conditions de production, de conditionnement, de transport, de stockage Analyse du risque toxicologique d’un composant, d’un produit Réaliser des essais in vitro : tests sur cultures cellulaires (kératinocytes…) ou explants cutanés et/ou muqueux Décrire les phénomènes toxicologiques (allergies, irritation, photosensibilisation, CMR…) Décrire les tests chimiques, biochimiques et biologiques in vitro mis en œuvre Dresser un profil toxicologique

Mettre en œuvre des essais analytiques Contrôler le respect des normes en vigueur Réaliser une expertise des conditions de production, de conditionnement, de transport, de stockage Réaliser des essais in vitro : tests sur cultures cellulaires (kératinocytes…) ou explants cutanés et/ou muqueux Décrire les phénomènes toxicologiques (allergies, irritation, photosensibilisation, CMR…) Décrire les tests chimiques, biochimiques et biologiques in vitro mis en œuvre Dresser un profil toxicologique Proposer