Kératinocyte

neurotoxique. En outre, elle peut entraîner l'apparition du syndrome de Reye en cas de varicelle ou de grippe. En effet, l'aspirine peut aussi provoquer un syndrome de Lyell (syndrome d'origine médicamenteuse) à l'origine d'une destruction des keratinocytes, décollement dermique et atteinte des muqueuses. Les cardiaques, sous traitement au long cours à petites doses en raison de son effet antiagrégant, peuvent être exposés à ses effets secondaires. Le bénéfice du traitement reste cependant de loin

la matrice extracellulaire). - Les cellules souches interviennent aussi dans les phénomènes de réparation, dans la cicatrisation par exemple. Les grands brûlés sont greffés à partir d'un prélèvement de leur peau, après mise en culture des kératinocytes, cellules constituant la couche superficielle de la peau. La greffe reste alors imparfaite : les glandes sébacées et sudoripares ne se reforment pas. Les chercheurs du CEA sont parvenus à purifier des cellules épidermiques particulières qui

avec un risque de cicatrice. * culture de mélanocytes, préalablement prélevés sur un échantillon de peau puis cultivé en laboratoire. Cette technique est peu répandue car délicate et chère. * suspension fraîche de cellules épidermales (kératinocytes et mélanocytes) préparée à partir d'un échantillon de peau mince. La surface traitée peut être plusieurs dizaine de fois la taille de l'échantillon prélevé. Cette technique nécessite traditionnellement un laboratoire mais un dispositif médical

(fine ou épaisse). Les différents types de cellules : - les kératinocytes - les mélanocytes - les cellules de Langerhans - les cellules de Merkel A. Les kératinocytes En plus grand nombre dans l’épiderme. Rôles : production de kératine qui est une protéine qui confère aux cellules de l’épiderme leur propriété protectrice. Au fur et à mesure que les kératinocytes sont poussés à la surface de la peau par de nouvelles cellules ; ils commencent

anticorps ; c’est notamment le cas de l’eczéma allergique. |   |   | | Premier contact : phase de sensibilisation (5 à 7 jours). La substance étrangère franchit la barrière de la couche cornée saine ou altérée, elle se fixe aux cellules de la peau (kératinocytes, cellules de Langherans), la cellule de Langherans qui a reconnu l’antigène migre alors vers les ganglions satellites où elle présente l’allergène aux lymphocytes. Si l’allergie est retenue les lymphocytes mémoire colonisent les ganglions et circulent

limitent la prolifération de radicaux libres, molécules qui peuvent attaquer l'ADN. Ce sont souvent des anti-oxydants, comme les vitamines C, E et le bêta-carotène. Ces deux dernières sont liposolubles et se fixent sur la membrane cellulaire des kératinocytes pour constituer une première ligne de défense. La vitamine C, quant à elle est hydrosoluble, et elle protège le contenu liquide de la cellule Il est préférable de ne plus consommer de produits libérant les CFC (chlorofluorocarbures). Pour cela

grasse produite pas les glandes sébacées qui protège la peau du soleil, du froid, etc et qui s'écoule par un canal à la surface de la peau. La réponse excessive aux hormones entraîne également un trouble de la kératinisation des cellules appelées kératinocytes. Il y a alors hyper kératose (hyper sécrétion de kératine provoquée par la paroi du follicule) au niveau de ces cellules, ce qui rend la peau brillante et grasse. La kératinisation est le processus qui enrichit progressivement l'épiderme de kératine

peut résulter : - d’une mutation du gène de la tyrosinase, qui empêche la synthèse de la mélanine par les mélanocytes ; - d’une mutation du gène de la myosine Va, qui empêche l’exportation de la mélanine produite par les mélanocytes vers les kératinocytes. Des génotypes portant l’une ou l’autre des ces mutations conduiront au phénotype « Albinos » (Résumé : Les relations entre gènes, phénotypes et environnement sont complexes car : - Un phénotype macroscopique donné résulte de processus biologiques

marqueur d’histocompatibilité) Cellules souches alliées a la thérapie génique : Il y a d’autres gènes qui se sont surexprimés celles impliquer dans la différenciation Fabrication d’épiderme à partir de CSEh 2009 France CSEh -> kératinocytes -> épiderme entier et fonctionnel -> greffé sur des souris Différenciation sur 40 jours (temps qu’il faut à un embryon pour former son épiderme) III. Les cellules souches cancéreuses 1. Certaines cellules cancéreuses résistent à

hydrolipidique de surface afin de protéger la peau de la déshydratation. L’épiderme est innervé mais pas vascularisé (pas de vaisseaux sanguins) donc il reçoit ses éléments nutritifs par le derme. L’épiderme est fait de cellules appelées keratinocytes et mélanocytes. Les kératinocytes s’empilent les uns sur les autres pour offrir épaisseur, résistance aux étirements et protection. Le derme, plus épais, joue un rôle dans la nutrition, le soutien, l’élasticité, la solidité et l’hydratation cutanée. Nous y retrouvons