Keynes Contre Monétariste

Tout d’abord, Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre. Puis, les keynésiens qui, quant à eux affirment que la monnaie est active et qu'elle peut être utilisée pour améliorer les performances économiques. Enfin, les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie. L’ensemble de ces théories monétaires ont pour objectif d’analyser les relations entre le volume (la quantité) de la monnaie en circulation et certaines

différentes interprétations du meme phénomene. Les classiques Selon les classiques : “La monnaie n’est qu’un voile qui recouvre un troc”. D’après la loi sur les débouchés de Jean Baptiste Say (économiste français, 1767-1832), « les produits s’échangent contre les produits », donc « l’Offre crée sa propre Demande ». En effet, la fabrication de nouveaux produits suppose des revenus supplémentaires pour ceux qui les fabriquent et ainsi la possibilité pour ces nouveaux produits d’être demandés. Donc, toute

structurelles consistent dans la modification à long terme des structures économiques et sociales (politique industrielle, politique de l’environnement, réforme de la protection sociale...) Les politiques conjoncturelles ont pout but de lutter à court terme contre une surchauffe économique ou son contraire : le ralentissement économique. Elles visent donc à favoriser la croissance, le plein emploi, la stabilité des prix, l’équilibre du commerce extérieur (cf carré magique de Kaldor). Deux instruments permettent

plus connu du courant monétariste. Partisan du Libéralisme, oppose au courant Keynésien (critique de la courbe de Philips, notion de revenus permanent, de chômage naturel…) : >Dans la "théorie générale" publiée en 1936, John Maynard KEYNES proposa de relancer l'économie par une politique expansionniste faite de création monétaire et de déficits publics finançant grands travaux et soutenant les dépenses de consommation. C'est l'antithèse exacte des positions monétaristes qui connut ses heures

production ) et la sphère financière (la demande de monnaie ). La monnaie n'est qu'un voile qui sert juste comme instrument d'échange sur un marché et ne peut être désirée pour elle-même, ce qui sera remis en cause d'abord par les cambridgiens, puis par Keynes. [modifier]La demande de monnaie Alfred Marshall et Pigou, deux économistes classiques de l'université de Cambridge vont créer l'équation de Cambridge. Elle traduit une fonction de demande de monnaie : c'est une légère rupture avec la pensée classique

Keynésianisme Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la

de l’Ecole monétariste de Chicago**, et créateur du concept de Taux de chômage naturel** Promoteur du libéralisme**, de l’économie libre et du capitalisme Médaille John Bates Clark (1951),« prix Nobel » d'économie (1976),médaille présidentielle de la liberté (1988) Auteur de nombreux ouvrages dont : Capitalisme et Liberté 1962 et Inflation et systèmes monétaires 1968 et La liberté du choix, écrit avec son épouse, Rose, en 1980 Farouche opposant aux idées de John Maynard KEYNES (1883-1946) :

correspondant entre la diminution de la vitesse de circulation et l’épargne (augmentation de la vitesse et accélération 加速de dépense). La notion de vitesse de circulation de la monnaie. Dans un espace de temps, les agents échangent de la monnaie contre du travail, des biens et services, etc... On mesure la valeur totale des échanges pendant la période. La monnaie circule entre les agents (salaires, consommation,... On utilise plusieurs fois une quantité de monnaie M. Vitesse = Valeur des échanges/M

mais croissance lente. | |monétariste et théorie de l’offre) | | |B Des politiques conjoncturelles d’austérité (politique monétaire restrictive, |B Coût social élevé (chômage, précarité augmentation des inégalités et de la | |monnaie forte, lutte contre l’inflation prioritaire) |pauvreté)

peut considérer John Maynard Keynes comme le fondateur d'une des constructions intellectuelles les plus importantes de notre siècle. La pensée keynésienne est basée sur le fait de considérer que la demande effective (c'est-à-dire le niveau de consommation et le niveau d'investissement) détermine le niveau de production donc le niveau de l'emploi. Les stratégies politiques de relances keynésiennes se fondent également sur l'importance du rôle de l'état dans l'économie. Keynes ne croit pas à l'autorégulation