Keynes Contre Monétariste

pour se priver d’une heure de loisirs supplémentaire. Le point E va être choisit pas l’individu pour qu’il atteigne le point de la courbe d’indifférence le plus élevé. Au point E, le TMS = salaire horaire. Le rythme auquel on peut échanger du loisir contre du revenu dépend du salaire horaire. En E1 on demande du loisir, en E2, un peu moins et en E3, plus qu’en E1. (Temps disponible (16 heures) – Temps de loisir) / Temps de L. De E1 -> E2 = +L ; - demande de loisirs. De E2 -> E3 = + demande de loisir

réponse habituelle est que la monnaie procure des rendements implicites non pécuniaires, des services de liquidité. La reconnaissance de ces services et de son importance macroéconomique peut notamment être considérée comme la contribution majeure de Keynes à la théorie monétaire. Ce n'est que sous des hypothèses très particulières, comme la substitution parfaite entre monnaie et titres publics, que l'équivalence ricardienne peut être étendue au financement monétaire du déficit (Wallace, 1981). Remarquons

d’un choix, d’un comportement, d’une vision de l’avenir, ce n’est pas un simple calcul. Pour Keynes : le taux d’intérêt est la récompense de la renonciation à la liquidité. « Il mesure la répugnance des détenteurs de monnaie à aliéner leur droit d’en disposer à tout moment » Théorie générale. Les agents sont en permanente situation d’arbitrage entre actifs liquides (généralement préférés) ou placés (contre rémunération) : l’agent ne place qu’à condition qu’on lui verse une rémunération. 1) Le rôle

20 7- Résumé…………………………………………………………………………………….21 IV -LE MONETARISME…………………………………………………………………… 21 1-Les fondements…………………………………………………………………………………..21 2-Les contestations du keynésianisme……………………………………………………………..22 3-les critiques adressées aux monétaristes………………………………………………………….22 V- L’ECONOMIE DE L’OFFRE……………………………………………………………………23 1-Historique…………………………………………………………………………………..24 2-La conception de l’économie de l’offre…………………………………………………….24 3-les effets dé incitatifs de l’intervention de l’État

développement des échanges (causes de la division de travail) « chacun va avoir interet a échanger c à d que chaque individu va se rendre compte qu’il ne peut produire tout ce dont ils on besoin d’où l’intérêt de se spécialiser et d’échanger notre production contre les marchandises manquante . Il y a une articulation qui va se faire : spécialisation, échange et division de travail. Certaines articulations se font a double sens, plus la division du travail se met en place et plus cela va développer les échanges

: on ne peut pas créer de l argent à partir de l argent. Seule la terre peut en créer. Pr aristote, la cité idéale est sur terre ; il faut donc donner le w aux esclaves. Il est pr la propriété privée, il s oppose à la communauté des femmes. Il est contre le prêt à intérêt, ms pour l utilisation de l argent. Période romaine : importance de l agriculture. Il n y a pas de réflexion sur la cité idéale, ms une codification avec le droit (propriété, succession...) Au moyen orient : évangélisation

classique) et plus tard de Keynes. Selon Malthus, la production des biens et services dans une économie crée un flux de revenus qui sera égal à la valeur de la production, mais cela ne veut pas dire que la dépense totale serait égale à la production totale (puisqu’une partie du revenu peut être épargnée), ce qui pourrait entraîner une insuffisance de la demande, l’accumulation des stocks et une diminution de la production et donc du chômage. Cette critique sera reprise par Keynes. II – L’épargne (S)

n’aient enlevé l’or. »5 3) Les Grecs Plus tard, le développement économique de la Grèce aura pour conséquence le déclin commercial de la Phénicie : « Jadis dans les rades grecques, les Phéniciens débarquaient leurs marchandises qu'ils échangeaient contre les produits indigènes, le plus souvent, semble-t-il, des têtes de bétail. Désormais, les marins grecs vont porter eux-mêmes en Egypte, en Syrie, en Asie Mineure, chez les peuples de l'Europe comme les Etrusques, encore grossiers comme les Scythes

Page 1 sur 18 Le keynésianisme : son application et sa remise en cause depuis les années 1930 Peut-on qualifié Keynes de libéral  ? Keynes est antimarxiste, donc libéral mais n’est pas pour le libéralisme sauvage. Même les libéraux les plus extrêmes ne sont pas contre le contrôle de l’état. En effet, il faut faire appliquer les lois du libre-échange, et assurer la libre concurrence. Les libéraux ne sont pas des anarchistes, ils veulent un état pour assurer la sécurité, la propriété

a de nouvelles compétences, comme les politiques sociales, qui relevaient avant d’instituions privées comme les institutions religieuses. D’un pays à l’autre, le domaine des compétences de l’Etat va varier, ainsi en Italie, les politiques de lutte contre la pauvreté relève encore de l’Eglise, alors que ça a été étatisé en France. b) Trois tentatives de définitions de ce qu’est une PP -« une PP, c’est tout ce qu’un gouvernement décide de faire, ou de ne pas faire ». définition a trois caractéristiques