Keynes Neutralité De La Monnaie

Sommaire I. LA REFERENCE QUANTITATIVISTE : Monnaie insignifiante 3 a. Origine de la théorie quantitative de la monnaie 3 b. La théorie quantitative d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique

Monnaie Croissance Inflation Accroche La banque centrale américaine, la Fed, qui a injecté 600 milliards de dollars de bons du Trésor dans l'économie, cherche à stimuler l'économie américaine. en effet en augmentant les liquidités les autorités espere relancer la croissance par le crédit on oeut alors s'interroger sur l'inflation future engendrée par cette création monétaire de grande envergure Ce qui nous améne à une réflexion entre les liens entre la monnaie, l'inflation et la

La monnaie exerce trois fonctions dans une économie : moyen d’échange, elle est l’instrument des transactions utilisé entre les vendeurs et les acheteurs ; unité de compte ou étalon de la valeur, la monnaie mesure les prix et les dettes ; et instrument de réserve de la valeur, elle permet de réserver un pouvoir d’achat présent pour un usage futur. Si les économistes s’accordent pour reconnaître ces trois fonctions à la monnaie, ils sont en revanche partagés quant à la question de l’influence de

ceux où l’intervention de l’Etat est la plus forte. En outre il explique aussi le chômage par un équilibre de sous-emploi. Keynes propose alors une interprétation complètement différente, notamment dans son ouvrage qu’il publie en 1936 : Théorie générale de l’emploi et de la monnaie, qui rencontrera un grand succès dans les années trente. Les théories de John Maynard Keynes, qui semble apparaître comme une rupture avec les néoclassiques dans les théories économiques, sont-elles toujours d’actualité 

« faits stylisés » Entretien avec Stanley Fischer 2 Keynes vs le « vieux » modèle classique (il y a vraiment, en économie, un avant, un pendant, et un après Keynes) 2.1 Introduction 2.2 Macroéconomie classique 2.3 Détermination de l’emploi et de la production 2.4 La loi de Say (idée vague selon laquelle « l’offre crée la demande » et donc il faut s’occuper de stimuler l’offre sans s’occuper de la demande. Keynes avait en gros la vision opposée)(Say utilise la notion de « valeur »

argent au centre Physiocrates : « laissez faire laissez passer », commerce libre, terre source de richesse, trois classes (Classe productive, classe stérile, et proprio) Classique : valeur travail, qui donne le coût du bien, la monnaie n’est qu’un intermédiaire Keynes : Base sur le plein-emploi des classique => or il n’est pas réalisé donc l’Etat doit intevenir, Etat providence Conception moderne : Science économique (Comportements humains face à la rareté => R. Barre : Besoin illimités/ressources

LA MONNAIE EST ELLE NEUTRE ? Cette question sur la neutralité de la monnaie cache l'opposition entre les keynésiens et les néo-classiques. La monnaie exerce trois fonctions dans une économie : moyen d'échange, elle est l'instrument des transactions utilisé entre les vendeurs et les acheteurs ; unité de compte, la monnaie mesure les prix et les dettes ; et instrument de réserve de la valeur, elle permet de réserver un pouvoir d'achat présent pour un usage futur. Elle a toujours focalisé l'attention

Devoirs du cours 1 1 – Pourquoi la monnaie est-elle une marchandise ? La monnaie est une marchandise parce qu’elle est un produit de l’industrie qui a une valeur changeable. Comme toute autre marchandise, elle subit les règles de l’inflation et sa valeur est déterminée par la loi de l’offre et de la demande sur le marché financier. 2 – Qu’est ce qui détermine la valeur de la monnaie sur un territoire donné ? La valeur d’une monnaie sur un territoire donné se détermine généralement

dichotomie -> neutralité de la monnaie Keynes : pas de dichotomie Chapitre 1 : économie internationale et théorie monétaires Chapitre 2 : La mondialisation Chapitre 1 : Economie internationale et théories monétaires Au début du 20ème siècle, dans les années 30, Keynes réhabilite une vision mercantiliste du commerce entre les nations, parce que cette vision avait disparu. Elle avait été anéantie par les théories du commerce international, par les classiques. I. Monnaie et mercantilisme

(1806-1873, Principes d’économie politique) On peut distinguer 6 piliers essentiels du courant classique : -La théorie de la valeur -Le libéralisme -Le marché -La loi de Say -Le rôle de l’état -La neutralité de la monnaie La théorie de la valeur : Les Classiques anglais, dont Smith et Ricardo privilégient la Valeur d’échange, valeur à laquelle un bien peut être échangé ou vendu. CETTE VE EST MESURÉE OBJECTIVEMENT PAR LA QUANTITÉ de travail incorporée