Klaus Baudelaire

Le quatrième poème intitulé «Spleen» du recueil de Charles Baudelaire Les Fleurs du mal parut en 1857 est sans doute le plus angoissant et torturé de cette série. Le lecteur ressent la douleur mais comment ces douleurs physique et morale sont-elles représentées dans ce poème ? Pour répondre à cette question, la première partie traitera des douleurs liées à l’enfermement. Une seconde partie servira à démontrer que ces douleurs sont représentatives du Spleen Baudelairien, et une troisième et dernière

Introduction : Victor Hugo est un écrivain du XIXe siècle, né à Besançon et mort à Paris, qui a marqué la littérature française, notamment par ses poèmes lyriques. Il est aussi une personnalité politique engagée qui a beaucoup comptée pendant le 19e siècle. Un de ses célèbres recueils Les Contemplations, publié en 1856, est constitué de deux parties et comporte cent cinquante huit poèmes répartis en six livres. La première partie est consacrée aux poèmes du bonheur, et la seconde, d’où est tiré

plus profonds. Il a su transformer grâce à de multiples métaphores et comparaisons un simple pain, en un pain particulièrement poétique. On peut se demander si le pain que décrit Francis Ponge n’est pas comparable à « Une Charogne » de Charles Baudelaire car la Charogne est représentée comme ignoble et perverse alors qu’au fond non, chacun possède une interprétation différente.

Transsibérien, publié en 1913, utilise le vers libre et la prose pour signifier sa nostalgie tandis que le poème « Exil » de saint John Perse, écrit dans une révérence à la langue, est une introspection symbolique et fantasmagorique de l’exil. Charles Baudelaire, dans son poème « L’Albatros », évoque un exil plus intérieur et emploie l’image de l’albatros comme double du poète, maladroit au sein du monde. Chacun évoque un exil personnel et utilise des moyens différents : poèmes plus ou moins longs, musique

des parnassiens, qu'il parodie dans les Dixains réalistes. Dans son principal recueil, Le Coffret de Santal (1873), alternent pièces humoristiques ("Le Hareng saur", "Brave homme") et morceaux précieux ou pathétiques, dont l'inspiration rappelle Baudelaire et annonce parfois Apollinaire. Tristan Corbière (1845-1875), Breton, voyageur et phtisique, doit pour sa part à la qualité de la révolte qui s'exprime dans ses Amours jaunes (1884), l'honneur d'être classé par Verlaine au rang des "poètes maudits"

*Baudelaire, auteur Français connu. Né à Paris en 1821, date importante car elle permet de situé les œuvres de Baudelaire dans un ou plusieurs courant littéraire de l'époque. En effet l'auteur s'encre dans les genre littéraire du romantisme, courant apparu au début du 19èm siècle et s'opposant au rationalisme des lumières. Le romantisme privilégie notamment l'expression du moi et les thèmes de la nature et de l'amour. Issue d'une famille lettrée et bourgeoise Baudelaire perd son père à l'âge

sensibilité. Il procède à un renouveau des formes et mélange les genres, les registres et les styles et revendique la liberté dans l’art. « Qui dit romantisme, dit art moderne c’est a dire intimité, spiritualité, couleur, aspiration vers l’infini. » Baudelaire (1821 - 1869) II - Présentation brève du recueil les Fleurs du Mal Les Lesbiennes fut le titre originellement donné au recueil Les Fleurs du Mal. La première édition datant de 1857 fut condamnée, ce qui donna suite à un procès, un remaniement

peine de mort. REVOLUTION DE FEVRIER Durant le Second empire, certaines œuvres d’auteurs sont attaquées et censurées. En février 1957, Madame de Bovary de Gustave Flaubert est censurée puis en aout 1957 Les fleurs du mal de Charles Baudelaire et enfin en septembre 1957 Les mystères du peuple d’Eugène Sue. On retient donc que l’année 1957 fut une année où trois auteurs furent malmenés par la justice. .

Martyrs saignants, pendant que les hommes, sans maître, Vivront, plus fiers, plus beaux, Sous ce grand arbre, amour des cieux qu'il avoisine, Nous nous réveillerons pour baiser sa racine Au fond de nos tombeaux ! Les Fleurs du mal (1861) Baudelaire « L’Albatros » Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les

Devoir de Français. Le réalisme et le naturalisme. • Question 1 La conception de la femme dans ce texte est l’image d’une femme idéale par excellence, consolatrice dégageant de la tendresse mais aussi belle et séduisante. La phrase « Je regardais ma voisine et fus plus ébloui par elle que je ne l’avais été par la fête » montre que le narrateur est surprit de la beauté de cette femme. Celle-ci met en valeur certaines parties de son corps, notamment ses épaules, son cou et sa gorge. Question