Komsomol

fois la société et l'économie. Pour se faire, il leur faut forger "un homme nouveau" et ce, en embrigadant très tôt la jeunesse de leur pays de part des organisations qui encadrent les jeunes. En URSS, on trouve la jeunesse communiste (les komsomols) tandis qu'en Allemagne, Hitler met en place la jeunesse hitlerienne qui devient obligatoire à partir de 1936. Cela dit, ces organisations ne s'adressent pas seulement aux hommes. En Allemagne, les jeunes filles sont endoctrinées dès l'âge de 10

puisque les artistes et les intellectuels sont étroitement surveillés; ils doivent glorifier le régime et son dirigeant. La population est également extrêmement encadrée. La jeunesse se trouve embrigadée dans les « jeunesses communistes » ou « Komsomols », afin de constituer les élites futures. L’enseignement est également contrôlé, ce qui permet un endoctrinement sûr. La police politique, le NKVD, veille à écarter et réprimer toute opposition. En effet, les opposants sont déportés au Goulag, un

concentrent leurs efforts sur leur formation militaire, avec des chants patriotiques, des parades. L’URSS se fixe elle un objectif intellectuel, par la visite de musées dédié au culte de Staline. Ils méprisent la jeunesse dans des organisations : komsomols pour l’URSS, jeunesse hitlerienne pour l’Allemagne et Balillas pour l’Italie. Ils classent les enfants par âges, en Italie et en Allemagne les filles ont des taches précises. En Italie la religion catholique est placée au centre car l’église joue

en charge les loisirs des travailleurs : manifestations culturelles, voyages, associations sportives ... L'encadrement de la jeunesse est une des priorités absolues des régimes totalitaires : "Ballilas" en Italie, "Hitler jugend" en Allemagne, "Komsomols" en URSS. Plus malléables, enfants et adolescents seront les "hommes nouveaux" programmés par l'idéologie. Les principes à leur inculquer sont les mêmes : sens de la communauté nationale (ou raciale en Allemagne), esprit de sacrifice, mépris du faible

société se communiste autrement dit sans classes sociales. Afin de rejoindre cet idéal, l'État encadre l'individu, qui est au service de la collectivité. L'État contre la pensée : la propagande, la formation, les organisations de jeunes (pionniers, Komsomols), les organisations de travail et même de loisir... Tous sont au service de l'idéal communiste. Cette société soviétique est encadrée contre les par le KGB (comité de sécurité d'État). Les opposants au régime sont tout de suite recherchés et déportés

travailleurs c’est à dire les manifestations culturelles, les voyages, les associations sportives ... Mais encore, l'encadrement de la jeunesse est une des priorités absolues des régimes totalitaires : "Ballilas" en Italie, "Hitler jugend" en Allemagne, "Komsomols" en URSS. Plus malléables, enfants et adolescents seront les "hommes nouveaux" programmés par l'idéologie. Les principes à leur inculquer sont les mêmes :  sens de la communauté nationale (ou raciale en Allemagne), esprit de sacrifice, mépris du

filles, et les «pionniers », et durant l’adolescence jusqu’à devenir majeurs, ils étaient nommés, les « avant-gardistes », « hitlerjugend » ( jeunesse hitlérienne),les hommes, et les « jeunes italiennes » « bund deutscher meadel » les filles, et « komsomols » en URSS. On peut dons conclure qu’il existe en définitive six points communs aux trois totalitarismes instaurés pendant l’entre deux guerres en Italie, Allemagne et en URSS, qui nous permettent de définir ce qu’est qu’un régime totalitaire.

depuis 1986. En 2012, c'est un musée qui présente le site et le Alekseï Grigorievitch Stakhanov (en russe : Алексей Григорьевич Стаханов ; 1905-1977) est un célèbre mineur soviétique né à Lougovaïa près d'Orel. Lors d'un concours organisé par le Komsomol, Alekseï Stakhanov, mineur du Donbass aurait accompli quatorze fois la norme d'extraction du charbon, le 31 août 1935, soit 102 tonnes en 6 heures de travail pour une norme de 7 tonnes (il est cependant peu probable que ce fût vraiment le cas). La

d’Einsensein. Ensuite, l’encadrement du peuple est total, et présent de l’enfance, jusqu’à la mort des personnes. Il existe une prise en charge de la jeunesse par l’Etat, dès le plus jeune âge (6 ans) par les jeunesses Hitlériennes en Allemagne, et les Komsomols en URSS. Cette prise en charge s’étend jusqu’à l’âge adulte avec les syndicats uniques au travail, ainsi que dans les loisirs. Enfin, pour appliquer leurs volontés, ces régimes utilisent la terreur. Tout d’abord, il y eut des purges, au sommet

surveillent les travailleurs. Les jeunes doivent aller au jeunesses hitlériennes dans lesquels ils pratiqueront des activités telles que la découverte de la nature ou le sport, censé fortifiait le corps et l'esprit. Un équivalent existe en URSS, les komsomols, qui veillent d'ailleurs à ce que les fêtes populaires contiennent des chants révolutionnaires, encadrant ainsi un peu plus la population. On peut aussi noter que dans les deux États, un seul parti est autorisé : le NSDAP (National Sozialistische