Kosovo Force

volonté de créer un Etat yougoslave serbe s’est appuyée sur une politique d’ « épuration ethnique » en Bosnie(1991-1996), au Kosovo (1998-2000) entraînant des milliers de victimes, le déplacement de populations, l’intervention de l’OTAN et de l’ONU. Les difficultés pour créer des Etats-nations sur un territoire multinational sont parfaitement illustrées au Kosovo où un même territoire constitue une référence historique et culturelle commune à la fois pour les Serbes et les Albanais. Elles

Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie. Ces cinq pays possèdent le droit de véto : c'est à dire le droit de s'opposer à une idée, une résolution ... de l'ONU. L'ONU a déjà beaucoup intervenu et rétablit l'ordre à travers le monde notamment à Kosovo (juin 1999), en Afghanistan (mars 2002), en République démocratique du Congo (novembre 1999)...Elle continue toujours et encore depuis sa création de faire son possible pour garantir la paix dans le monde. L'Organisation des Nations Unies est essentiel

contre cela. C’est pour cela qu’il sera proclamé président à vie. Mais en 1980, il meurt et laisse le pays face à sa situation délicate. En 1991, la guerre des Balkans débute à cause des problèmes économiques de la Yougoslavie, aux révoltes du Kosovo, à la volonté de la Croatie et de la Slovénie de devenir indépendantes. On entre réellement dans une guerre civile puisque les peuples, à l’intérieur même des pays de Yougoslavie, sont mélangés et créent chacun leur territoire. C’est le cas également

décerné par le pouvoir stalinien (ou bien la voiture, la villa et le respect du policier dont Brecht était l’objet), étaient fustigés comme des traîtres trotskistesfascistes-sionistes défenseurs de l’impérialisme américain. Pendant la guerre du Kosovo, c’était le tour d’une nouvelle génération d’aveugles. L’illustre philosophe Jean Baudrillard, par exemple, s’est fait accordé une page dans Libération (29-4-99) dans laquelle il a déclamé que la “vérité politique de cette guerre” était de laisser

La question du Kosovo Après la deuxième guerre mondiale, le Kosovo a été annexé à la Yougoslavie qui disposait de six républiques. Le Kosovo n’était pas une république et n’était donc pas à égalité avec les autres républiques. Jusqu’au début des années 80, le Kosovo possédait une indépendance assez significative. Les nationalistes de la Yougoslavie n’ont pas voulu accepter cette "indépendance”, et au début des années 90, sous la direction de Milosevic, on a accepté une nouvelle constitution. En

La question de l’avenir du Kosovo est actuellement le dossier le plus sensible que doit résoudre la communauté internationale. En effet, l’avenir de cette province qui aspire à devenir un Etat et qui vit sous une forme de statu quo depuis 1990, risque de relancer d’autres conflits similaires. La disparition de l’URSS et de sa zone d’influence en 1991, ont, en libérant les peuples, contribué à faire ressurgir l’instabilité qui caractérisait traditionnellement ces zones des Balkans et du Caucase

Quel est l’objectif de la mission de l’ONU au Kosovo ? Montrez que, malgré l’intervention de l’OTAN en 1999, le Kosovo demeure un facteur d’instabilité pour les Balkans. Pendant la guerre du Kosovo en 1999, l’ONU a pour but de trouver un terrain d’entente et de faciliter une solution diplomatique par le biais de négociations entre Serbes et Albanais. Le 2 juillet 1999, l’ONU nomme Bernard Kouchner représentant spécial des nations unies au Kosovo. Le 15 décembre, un accord signé entre l’ONU et

« désespérée ». – Allemagne. Les Roms allemands sont reconnus comme l’une des quatre minorités allemandes. La plupart des autres Roms sont des réfugiés du Kosovo ayant fui la guerre. L’Allemagne les encourage, comme tous les Kosovars réfugiés, à rentrer chez eux avec des aides au retour. Berlin a ainsi annoncé son intention de renvoyer « par étapes » au Kosovo quelque 10.000 Roms. – Grande-Bretagne. Le gouvernement, qui ne dispose pas de statistiques sur les Roms dans le pays, renforce sa législation pour

ainsi que celle du Monténégro, intronisé candidat en décembre 2010. La Serbie, quant à elle, a obtenu le statut de candidat à l'Union européenne, le 1er mars 2012, après la signature d'un accord de coopération régionale le 24 févier 2012 avec le Kosovo. C'est le conseil qui décide à l'unanimité d'octroyer ou non le statut de candidat au pays demandeur, ce qui constitue une étape clé dans le chemin vers l'adhésion. Avant de pouvoir entrer dans l'UE, tout pays candidat doit être pourvu d'un régime

membres. La Turquie et la Croatie sont également candidates, mais devront encore attendre. Tous les autres États des Balkans occidentaux sont des pays candidats potentiels : l’Albanie, la Bosnie-et-Herzégovine, le Monténégro et la Serbie y compris le Kosovo viendront peut-être un jour rejoindre l'UE. L’UE a plusieurs fois réaffirmé au plus haut niveau la perspective européenne des pays des Balkans occidentaux, pour autant qu’ils remplissent les critères d’adhésion. Afin de permettre à l'UE de fonctionner