Kosovo

que l’État lui est opposable → l’État qui va reconnaître le Kosovo en tant qu’État, et qu'il va accepter la reconnaissance juridique. Les autres États ne sont pas obliger de reconnaître un État, ils sont souverainement libre de reconnaître ou non un État. La reconnaissance d'un État présente un caractère discrétionnaire, elle résulte de pure considération d'opportunité P liée au contexte des relations IN à un moment donné. Ex → Kosovo s'est déclaré comme indépendant, Serbie a refuser de le reconnaître

GÉNOCIDES L’extermination physique massive intentionnelle, systématique et programmée d’un groupe ou d’une partie d’un groupe en raison de ses origines ethniques, religieuses ou sociales. (ex : La Shoah, Khmers rouges, Rwanda, Arméniens, Kosovo). |# 1 : ARMÉNIENS | |Qui ? |

e-en-ligne/dossier-n1-quelle-politique-de-defense-pour-la-france-dans-le-monde-contemporain Document 1 : Carte des principales opérations extérieures (OPEX) en 2009 Placez dans le tableau les missions suivantes : Epervier (Tchad) , EULEX (Kosovo), KFOR (Kosovo) et MONUC (République démocratique du Congo) /1 Missions résultant d’un accord entre la France et un pays étranger (Coopération) Missions accomplies dans le cadre d’un mandat de l’ONU Missions accomplies par l’OTAN avec un mandat de l’ONU

pays largement reconnu recevrait probablement davantage d'aide. Kosovo Province autonome du sud de la Serbie dont la population est albanaise à près de 90 %, le Kosovo subit depuis plus de deux ans la plus rigide des dominations coloniales de la part du régime serbe. Cette situation devrait finir par mener à la violence et donc à la propagation de la guerre dans une autre région de l'ex-Yougoslavie. De plus, un affrontement au Kosovo risquerait d'internationaliser plus rapidement le conflit qu'un

iranien, Kosovo, bouclier anti-missile, traité FCE, projets d’élargissement de l’OTAN à d’anciennes Républiques soviétiques), objets d’une crispation croissante du discours russe. Fondant ses propos sur une récente mission de terrain, l’auteur relève que l’âpreté de la Russie à défendre ses positions recouvre des motivations diverses, parfois peu explicitées. Sur certains des dossiers, la Russie défend des intérêts stratégiques (Iran, élargissement de l’OTAN) ; dans d’autres cas (Kosovo), elle s’attache

démocratique », continuent de combattre une guerre prolongée contre les guérillas islamiques Talibans dans tout le pays. C’est une situation difficile au sujet de laquelle les Russes savent peut-être une chose ou deux. Aider les islamistes de l’UCK au Kosovo : le cycle continue On pourrait penser qu’après leur expérience en Afghanistan, les Américains en particulier et l’OTAN en général se seraient rendu compte que le soutien des extrémistes islamiques dans le but de réaliser des objectifs stratégiques

interventions militaires dans des pays dans lesquels l'armée française est intervenue. Plan : La participation en Bosnie-Herzégovine Missions au Tchad et en République centrafricaine L'armée française en Libye Forces françaises au Kosovo L'armée française en Bosnie-Herzégovine : Qui ? SFOR ( « stabilisation Force » ) Force multinationale OTAN Où ? En Bosnie-Herzégovine. la zone MNT-SE au Sud-Est autour de Mostar la zone MNT-N au Nord-Est autour

les Balkans continuent d’être un enjeu politique et économique. Les Balkans constituent un espace de pluralité religieuse et ethnique. L’orthodoxie y est la confession majoritaire, mais le catholicisme est très présent en Croatie et en Slovénie. Au Kosovo et en Albanie, c’est l’islam qui est majoritaire. Les guerres qui se sont déroulées en Yougoslavie ne sont pas réellement des guerres de religion, mais il reste que l’appartenance religieuse est une composante fondamentale de l’identité. Les principales

sein d’une organisation refuse la reconnaissance d’un Etat alors que le reste des Etats eux le reconnaissent. On peut penser au cas du Kosovo qui fraîchement indépendant est reconnu par de nombreux Etats, mais la Russie s’oppose à son indépendance. Il semble dès lors certain que la Russie fera usage de son veto au Conseil de sécurité pour empêcher l’entrée du Kosovo au sein de l’ONU. Il n’y’a pas en effet d’obligation pour un Etat à reconnaître un autre Etat du fait de la reconnaissance d’autres Etats

Nota est motivé par la lecture de la lettre dissuasive conseillant aux touristes français d’être prudents s’ils se rendent au Kosovo et par l’idée de partir en Serbie. Durant son voyage, il effectue un rappel historique : en 1992, le président François Mitterand déclare que la France ne s’engagera jamais contre les serbes, en 1995, pas dans le cadre de l’indépendance du Kosovo mais de celle de la Bosnie, le général Mladic fait massacrer 8000 musulmans désarmés dans une ville de Bosnie orientale (Sebrenica)