Kosovo

décerné par le pouvoir stalinien (ou bien la voiture, la villa et le respect du policier dont Brecht était l’objet), étaient fustigés comme des traîtres trotskistesfascistes-sionistes défenseurs de l’impérialisme américain. Pendant la guerre du Kosovo, c’était le tour d’une nouvelle génération d’aveugles. L’illustre philosophe Jean Baudrillard, par exemple, s’est fait accordé une page dans Libération (29-4-99) dans laquelle il a déclamé que la “vérité politique de cette guerre” était de laisser

Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie. Ces cinq pays possèdent le droit de véto : c'est à dire le droit de s'opposer à une idée, une résolution ... de l'ONU. L'ONU a déjà beaucoup intervenu et rétablit l'ordre à travers le monde notamment à Kosovo (juin 1999), en Afghanistan (mars 2002), en République démocratique du Congo (novembre 1999)...Elle continue toujours et encore depuis sa création de faire son possible pour garantir la paix dans le monde. L'Organisation des Nations Unies est essentiel

l'Azerbaïdjan à propos des arméniens du Haut Karabakh. ¥ La Géorgie est en conflit avec la Russe concernant les Abkhaz ¥ La république yougoslave (actuellement Serbie et Monténégro) est en conflit avec l'Albanie à propos du Kosovo et avec la Bulgarie à propos de la Macédoine. ¥ La Roumanie est en litige avec la Hongrie au sujet de la Transylvanie. ¥ Et la Bulgarie s'oppose à la Turquie pour ce qui est des monts Rhodopes. La situation est

Foucher ne croit pas à l’idée qu’une seule nation, la nation serbe, ait été coupable de la longue période de guerre. La guerre du Kosovo doit être analysée sous cet angle. L’analyse de Madeleine Albright sur le rôle de Milosevic et le projet américain d’installer une base militaire au Kosovo ont conduit à l’échec de la conférence de Rambouillet. De plus, la guerre du Kosovo de 1999 est survenue un an après la déclaration anglo-française de Saint-Malo d’été 1998 pour une défense européenne. Il fallait

majorité de Slaves : les Slovènes et les Croates, de religion catholique ; les Serbes, les Monténégrins et les Macédoniens, de religion orthodoxe ; des Bosniaques de religion musulmane • Des minorités non Slaves : les Hongrois de Voïvodine et Albanais du Kosovo. b) L'affrontement des nationalismes – La dislocation du pays • 1991 : la Slovénie et la Croatie proclament leur indépendance. • 1992 : La Bosnie proclame son indépendance. – La guerre en Bosnie • En Avril 92, la Serbie, dirigée par Slobodan Milosevic

3) Les instruments de cette politique : a) le Processus de Stabilisation et d’Association avec les Balkans (PSA) b) les institutions financières européennes : BERD et BEI c) l’Agence Européenne pour la Reconstruction (AER) : le cas du Kosovo 4) Les limites de cette politique et les critiques à son égard 5) Conclusion 6) Bibliographie 1) Introduction : L’aide au développement fournie par les pays de l’Union Européenne était initialement destinée aux anciennes colonies

Les
Etats‐Unis,
«
Gendarmes
du
monde
»
 
 II)
L’IMPERIALISME
DE
PLUS
EN
PLUS
CONTESTE,
ET
UN
CHANGEMENT
DE
POLITIQUE





 ETRANGERE
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 p18
 p20
 p28
 p32
 p38
 p38
 p45
 p48
 1. Les
Attentats
du
Kosovo
 2. La
crise
géorgienne
 
 3. La
défaite
irakienne,
et
la
polémique
de
l’ONU
 III)
L’EMPIRE
DECLINANT
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 1. La
guerre
d’Afghanistan
 3. La
crise
économique
 
 2. La
perte
de
l’identité
américaine
 4. Face
aux
ambitions
chinoises

peuples, il est lamentable qu'on ait besoin de cette menace vitale pour redonner droit à notre solidarité. Nous avons bien besoin de cette solidarité pourtant et nous devons nous appuyer sur la propagande humanitaire qui nous rend coupables du sort du Kosovo pour dénoncer l'injustice et la misère partout (police partout, justice nulle part), devenir vraiment responsables de notre monde. Ce n'est pas la propagande qu'il faut dénoncer mais plutôt la prendre au mot pour dénoncer la réalité. J'ai écris un

Depuis 1945, aucune d'entre elles ne s'est soldée par des résultats positifs. Nous ne parlerons pas ici, pour prendre un exemple récent, de la guerre en Afghanistan (10 000 civils morts), ni de celle en Irak (100 000 civils morts), mais de celle du Kosovo qui, sur bien des points, ressemble au cas de la Libye. En 1999, prétextant un génocide, l'OTAN s'est lancée dans une campagne de bombardements de 78 jours contre la Serbie. Ce pays avait eu le malheur de riposter aux attaques armées d'une guérilla

l’armée serbe en désertant. Les réfugiés qui arrivent viennent de Yougoslavie, de Croatie, de Bosnie et du Kosovo, trois étapes d'une guerre qui a commencé en 1991. La demande Serbe d'instaurer l'Etat du Kosovo est rejeté par la Croatie, la Macédoine, la Bosnie Herzégovine et la Slovénie. Cette première guerre, en Croatie et en Bosnie dure 3 ans et demi.  Mais la guerre se continue au Kosovo. C'est la Bosnie qui est la plus touchée par les tensions séculaires entre les Serbes, les Croates et les Musulmans