Kyoto

disait le président Obama dans sa conférence de presse, vendredi 18 décembre, vers 23h00 : « Cet accord n'est pas juridiquement contraignant, et chacun fera chez soi les efforts nécessaires ». On ne saurait être plus franc sur la fin du Protocole de Kyoto et de tout engagement collectif, sur le mépris de l'ONU et du multilatéralisme, sur l'indifférence aux alertes des scientifiques. J'invite chacun à lire cet « accord de Copenhague » afin d'en déceler, à chaque ligne et dans son ensemble, les marques

activités anthropiques III – Les conséquences 1) Climatiques 2) Sur les êtres vivants IV – Les solutions 1) Les énergies renouvelables 2) Diminution de production de gaz à effet de serre 3) Protocole de Kyoto L’effet de serre est un phénomène naturel indispensable à la survie des êtres vivants sur la planète. En effet, sans son existence, la température à la surface du globe serait d’environ -18°C, or grâce à lui, elle est de 15°C

faire le pas sur la décroissance. Question du développement durable : débat d'éco publique qui se dénomme bien PUBLIC n'est pas national mais MONDIAL. Les biens publics mondiaux sont accessibles, pas privé, pas de gouvernance mondial. Accord de Kyoto : on a pas d'institution qui permet de faire respecter une règle. Frontière ouverte, mondialisation. Or réglementation nationale. Il reste des jurisprudence : ça coince. Dans cette mondialisation chacuns garde une réglementation nationale, mais pas

futures), aujourd'hui (pour les générations présentes et en ce qui concerne les solutions à prendre), et hier (depuis que la croissance génère un certain nombre d'effets pervers et que l'on réfléchit ou que l'on met en place des solutions ; exemple de Kyoto). Cadre spatial : la planète (pays développés comme pays en développement). ➔ Problématique et justification de la problématique : Problématique : Comment peut-on concilier croissance économique et développement durable ? Quelles solutions doit-on

industrialisés. Préservation des ressources naturelles, tri et traitement des déchets, consommation d’énergie, émissions polluantes, changement climatique, effet de serre font la une quotidienne des médias. L’entrée en vigueur en février 2005 du protocole de Kyoto et ses effets attendus à très long terme sur le réchauffement de la planète en sont des preuves supplémentaires. Il n’est plus de magazine, d’émission télévisée, ni même de rapport annuel d’entreprise qui n’évoquent ce nouveau modèle de pensée qu’est

2004, à 45 % utilise ces énergies et en veut 60 % en 2010. Il y a aussi une augmentation des budgets pour la gestion des déchets, avec des stations d'épurations, des déchetteries, qui indiquent la volonté de développement durable. Le protocole de Kyoto a conduit les Etats à instaurer la « taxe-carbone », que l'on vois par exemple lorsqu'on achète une voiture. Cette taxe est constituée comme un impôt, pour réduire les émissions de CO2 et atteindre une baisse de 5,2 % d'émission de gaz d'ici 2012.

américain par exemple. Il faut donc mettre en place un cadre réglementaire contraignant pour orienter rapidement l’économie vers les secteurs à faible intensité energétique, et donner ainsi une chance au développement durable. - Le protocole de Kyoto (1997) prévoit, en 2012, un niveau d’émission de gaz à effets de serre globalement inférieur de 5,5% à celui de 1990. - Cet objectif est atteint par un système de quotas assignés aux branches industrielles, ainsi que par des taxes sur les hydrocarbures

économiques des normes environnementales, charge à eux de financer les dépenses leur permettant de respecter ces normes. Une autre solution consiste à mettre en place - comme l’a fait l’Union européenne et comme c’était prévu dans le protocole de Kyoto - un marché des droits à polluer. Cela consiste à fixer un niveau maximal de rejets de CO2 et à les répartir entre les agents économiques qui recevront des « droits à polluer » ou « quotas d’émission ». Ceux qui pollueront moins que les droits alloués

lutte contre le changement climatique après 2012. Les enjeux L’enjeu principal de la conférence était de faire adopter par la convention-cadre des Nations unies l’accord politique de Copenhague, et de décider de la suite à donner au protocole de Kyoto dont la première période d’engagement s’achève fin 2012. Il s’agissait de restaurer la confiance dans le multilatéralisme et de démontrer la capacité du système des Nations unies à aboutir à des résultats concrets. Les objectifs Les objectifs

Accords de Kyoto, qui réglementeraient les rejets industriels, en faveur de l’environnement. • Une recherche du profit qui passe outre les facteurs de types : • Environnementaux : La pollution mondiale est due pour 8.7% aux industries et pour 90.4% à la production énergétique telle que la combustion de charbon, pétrole ou autres sources d’énergie. Exemple : le 13 mars 2002 le président américain George W Bush déclare à 4 sénateurs républicains « Je m’oppose au protocole de Kyoto [visant à