Kyste Cerebrale

cérébrale [pic] PRESENTATION DU SERVICE ( PARTIE THEORIQUE : I - FORMATIONS KYSTIQUES TUMORALES : 1- CRANIOPHARYNGIOME 2- TUMEURS GLIALES DE L’ADULTE 3- KYSTE COLLOIDE II- FORMATIONS KYSTIQUES INFECTIEUSES ET INFLAMATOIRE : 1- ABCES 2- PARASITOSE DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL III- TUMEURS CONGENITALES NON NEUROEPITHELIALES : 1- KYSTE EPIDERMOIDE 2- KYSTE DERMOIDE 3- LIPOMES

et 60 ans. B. Sexe – Race: Touche toutes les races et les 2 sexes sans distinction. C. Etiologie: Inconnue. ANATOMIE PATHOLOGIQUE La lésion fondamentale est la perte des neurones pigmentés dopaminergiques, responsable de l'effondrement du taux cérébral en Dopamine. DIAGNOSTIC CLINIQUE A. Phase de début: Le début est insidieux avec : 1. Le plus souvent un tremblement de l'activité du membre supérieur. 2. Plus rarement une bradykinésie (diminution de l'amplitude du mouvement.) 3. Exceptionnellement

Radiographie Scanographie Remnographie [IRM] Spectroscopie par résonance magnétique [SRM] Scintigraphie Épreuves fonctionnelles Potentiels évoqués visuels [PEV] Potentiels évoqués auditifs [PEA] et vestibulaires Potentiels évoqués somesthésiques cérébraux [PESc] Autres potentiels évoqués 01.01.10 01.01.11 01.01.11.01 01.01.11.02 Endoscopie Ponctions, biopsies et prélèvements Ponction de liquide cérébrospinal Biopsie du système nerveux 01.01.12 01.01.12.01 01.01.12.02 01.01.12.03 01.01

de l’anesthésie. Dans l’amphithéâtre chirurgical du Massachusetts General Hospital à Boston, le dentiste William T. Morton propose au chirurgien John C. Warren d’administrer de l’éther à son patient, Gilbert Abbot, pour qu’il puisse l’opérer d’un kyste sous-maxiliaire. L’intervention est indolore et quelques jours plus tard, le chirurgien Henry J. Bigelow écrit : « Notre métier est délivré pour toujours de son horreur. » Démonstration publique de l'étherisation par William Thomas Morton Inhalateur

nous allons en exposer ses manifestations physiques, les effets qu'il peut avoir sur la santé ainsi que les conséquences sociales. I. les manifestations physiques du rire (2)(3)(4) 1. origine Le rire provient de l’hémisphère droit du cerveau (cortex cérébral) mais se déclenche au niveau du système limbique de notre cerveau primitif. 2. que se passe-t-il quand on rit? Le rire se propage dans tous les muscles du visage, dans le larynx, le diaphragme, la musculature abdominale et la cage thoracique. Vient

grande partie creusée de circonvolutions qui est située sur le dessus. Elle se divise en deux hémisphères cérébraux droit et gauche, chacun se divisant en lobes frontal, pariétal, occipital et temporal. Vers l’arrière une portion plus petite, presque sphérique, le cervelet. Tout à fait à l’intérieur, en dessous du cerveau, se trouvent un certain nombre de structures différentes: le tronc cérébral, qui contient la formation réticulée, le thalamus, l’hypothalamus, etc. Le cerveau et le cervelet possèdent

quand il prend un bébé dans ses bras. Si la tête est secouée, sa décélération brutale peut provoquer l’éclatement des vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, conduisant à une hémorragie cérébrale… et aux dégâts cités précédemment. Reconnaître la maltraitance Un IRM fait le diagnostique, les lésions cérébrales sont visibles sur les images obtenues et ne sont pas discutables.

stimuli douloureux fragilisent notre système nerveux qui se sensibilise à la douleur et nous rend plus vulnérable on parle de sensibilisation centrale pour évoquer les mécanismes d’amplification de la douleur se produisant dans la moelle , le tronc cérébral, et le cerveau. Autrement dit « qui a souffert, souffrira » et on ne s’immunise pas contre la douleur. Les implications thérapeutiques sont de taille puisqu’il s’agit de traiter la douleur le plus tôt possible dans ses mécanismes

comportement ou de la pensée. Mais cette division fonctionnelle n'est pas stricte, il serait en effet illusoire d'assigner une fonction aussi complexe que la mémoire, par exemple, à une région isolée. On peut néanmoins dessiner une cartographie du cortex cérébral en aires selon leur implication dans différents aspects de la cognition, leur architectonique et leur connexions, en particulier avec le thalamus : les fonctions motrices dans le lobe frontal (aires 4 et 6 de Brodmann), la vision dans la partie postérieure

sollicité lors d'un travail intellectuel, et que le cerveau droit artistique et visuel n'est pas suffisamment sollicité, et qu'il en résulte un manque d'efficacité de tout le système. Le mind mapping propose de suffisamment stimuler nos deux hémisphères cérébraux par un graphique présentant une vue globalisée d'un sujet, une structure arborescente et des couleurs pour une meilleure concentration et une meilleure rétention de l'information à mémoriser.