L Accumulation Du Capital Chez Les Classiques

generated at: Thu, 18 Aug 2011 21:25:32 UTC Contenus Articles Histoire de la pens€e €conomique Chr€matistique Mercantilisme Physiocratie •cole classique Marxisme €conomique Historicisme Keyn€sianisme Mon€tarisme •cole autrichienne d'€conomie •cole n€oclassique N€okeyn€sianisme •conomie de l'offre Synth‚se n€oclassique Nouvelle €conomie classique 1 18 20 34 38 41 46 49 60 61 66 72 74 75 76 R€f€rences Sources et contributeurs de l€article Source des images, licences et contributeurs 77 78

donc au fait d’être favorable aux échanges et aux prêts (=/= hostilité catholicisme). L’inflation va frapper un certain nombre de catégories : noblesse ruinée ; salariés. La bourgeoisie par contre, s’enrichit en achetant les communaux. L’afflux de capitaux va complètement modifier les habitudes anciennes : introduction du ver à soie, développement de l’industrie textile. Expropriation des paysans  vers les villes et développement du salariat. Le pouvoir d’achat des salariés va chuter de 80% en 1452

l'appauvrissement des autres puisque les exportations des uns sont les importations des autres. Pour un mercantiliste, le commerce c'est la guerre. Point important ce comparaison : cette conception va être complètement critiquée par les classiques à la période classique. Parmi ces classiques : Smith et Ricardo vont, eux, expliquer, démontrer que le commerce international est un « jeu à somme positive », c'est-à-dire que tous les participants aux échanges peuvent gagner, peuvent s'enrichir. A partir de là, il vont

qui va les conduire à proposer des réformes fiscales pour les paysans de façon a favoriser leur activité en améliorant leurs conditions de vie. II) Les fondateurs de la science économique moderne. 1) Les pères du libéralisme économique : les classiques (1770-1850) Premiers économistes libéraux, ils vont élaborer les bases du libéralisme économique. Ils s’inscrivent dans le cadre plus général du Siècle des lumières. Ils défendent donc les libertés individuelles. Ils adoptent des démarches rationnelles

Pour montrer la particularité du développement économique, nous voulons établir dans ce chapitre, que l’on se trouve dans l’économisme traditionnel ou récent, le but du développement est l’accumulation des biens matériels. I – LES CONCEPTIONS CLASSIQUE, NEOCLASSIQUE ET KEYNESIENNE DU DEVELOPPEMENT. Pour présenter ces différentes conceptions, nous avons fait appel à quelques économistes tels Adam SMITH, Joseph SCHUMPETER et John Maynard KEYNES. I-1 – LA CONCEPTION SMITHIENNE DU DEVELOPPEMENT

contemporains. A. Les premières théories des classes sociales. 1. Les classes sociales selon Karl Marx. Doc.1 manuel Hatier p. 186. Faire les trois questions. Apport : 1er point : Karl Marx (1818-1884) : œuvres principales, Le capital (1867, pour le T1) ; Le Manifeste du parti communiste (1848) : - le conflit est inhérent à toute formation sociale (les sociétés sont agonistiques), il est le moteur du changement social . - la société est organisée en positions sociales distinctes

aucune richesse ne peut surgir, la natalité doit être forte et doit être comme base de toute expansion car elle est source d’emploi. ⎝ Ceux qui ont été influencés par Machiavel préconisent un protectionnisme rigoureux dans la mesure où la seule accumulation de métaux précieux assoit la puissance du Prince en favorisant les exportations. ⎝ Le quantitativisme monétaire signifie que le niveau général des prix d’une nation est lié à sa quantité de monnaie en circulation. Les mercantilistes sont des pré-quantitativistes

3.2.1 LES LIBÉRAUX.................................................................................. 16 3.2.2 APPROCHE MARXISTE......................................................................... 17 3.2.3 LES THÉORIES DE LA FIRME : THÉORIE CLASSIQUE VERSUS THÉORIE ÉVOLUTIONNISTE . 18 3.2.4 LA THÉORIE DE L‟ÉCONOMIE SOLIDAIRE .................................................... 19 3.3 SECTEUR DES TIC ET SECTEUR INFORMEL DES TIC .............................................. 19 3.3.1 LE SECTEUR

cherchent à répondre et à approcher la problématique suivante (composée en sous problèmes) : Pourquoi certaines entreprises sont «mieux organisées» que d'autres ? Pourquoi ces entreprises (ou pays) sont en mesure de réaliser des changements dans le capital et la connaissance (knowledge), tandis que d'autres ne les font pas ? Et finalement, quel est l'impact de la distribution de confiance, des changements dans : les promotions, le chiffre d'affaires, et les avantages non contractuels indirects, sur

ont démontré l’importance de la qualité de la gestion comme facteur de succès d’une entreprise. Ainsi, il semblerait qu’un pourcentage très élevé de faillites soit dû à l’incompétence l’inexpérience des gestionnaires. En effet, le seul apport de capitaux et de technologie n’est pas un garant de la réussite d’une entreprise. C’est ainsi que la qualité de la gestion et du management peut expliquer la supériorité économique d’un pays (ex. Le Japon) ou l’efficacité d’une entreprise. 1. Définition Le