L Administration Carolingienne

politique aussi différente de toutes les autres ?   à Il y’a la question des rivalités guerrières entre seigneurs, comment après l’effondrement de l’Empire carolingien le pouvoir se centralise entre vainqueurs ; des oligopoles de pouvoir deviennent des monopoles unifiés au nom d’un roi. Les prélèvements fiscaux sont à l’origine d’une 1ère administration (le besoin d’une armée pour garantir la paix entraîne un besoin d’argent)   à D’autres insistent sur des éléments qui font paraître l’isolation du pouvoir

: - libre compétition, - impossibilité pour tous les individus d’accéder à certaines chances, - centralisation du pouvoir et des chances, - après concurrence libre une concurrence soumise à certaines règles se met en place dans le cadre d’une administration. Plus tard, une fois le monopole mis en place, les fonctionnaires qui le gèrent s’insèrent dans le réseau des interdépendances de la même façon que le reste de la société, des contrôles se mettent en place et le droit de disposer du monopole est

ALLEMANDE 1) Données historiques et chronologique : 1.1) Les origines du pays 962 : Naissance du Saint Empire Romain Germanique qui se considère comme le seul descendant légitime de l’Empire romain et prend la suite de la dynastie carolingienne. Les empereurs s’engagent dans une lutte de pouvoir de longue haleine avec la papauté qui aboutit au concordat de Worms (1122). 1517 : La Réforme religieuse initiée par les 95 thèses de Martin Luther se diffuse largement dans l’Empire et suscite

contrôler et de le contingenter dans le cadre d’une prise de conscience collective. La démarche rompt de la sorte avec l’absolutisme royal à caractère liberticide et coutumier (organisé autour des Lois Fondamentales du Royaume tirées des capitulaires carolingiens et des ordonnances royales capétiennes5). Depuis l’article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 («Toute société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée

Philippe Contamine) considèrent comme noble toute personne portant les titres de chevalier ou d'écuyer. Or la chevalerie qui apparait autour du XIIe siècle, est à l'origine une population au service des grandes familles héritières de l'aristocratie carolingienne et propriétaire de vastes domaines fonciers. Au XIIIe on observe une progressive fusion des valeurs chevaleresques et aristocratiques, notamment à travers le roman courtois. Mais cette littérature témoigne également des frustrations sociales des

le MA dans le sens ou les capétiens vont vouloir aller au delà de l'œuvre de leurs prédécesseurs il veulent installer un pouvoir fort et durable. Les capétiens vont bénéficier d'un héritage celui des premiers capétiens, des mérovingiens et des carolingiens. Il y a aussi l'idée que l'on va bénéficier de l'aide d'un certain nombre de conseillers et il vont bénéficier des circonstances (circonstances de trouble). L'AR n'est pas une période paisible, car il va connaître de graves crises comme la guerre

dernier empereur Romulus Augustule par Odoacre roi de la tribu des Hérules. Sur les ruines de l’empire vont apparaitre de nouveaux royaumes Francs, qui seront dominés d’abord par la famille royale des Mérovingiens avant de l’être par celle des Carolingiens. Il y a donc une modification profonde des cadres politiques, des mentalités et donc l'héritage romain ne va subsister que dans certains endroits tout en sachant que son contenu va être altéré. Ce n’est qu’avec Charlemagne et son fils Louis le

* SAUTEL Gérard, Histoire des institutions publiques depuis la révolution française. Introduction : Les racines du système administratif français. En France, l’administration a au fond constituée l’Etat. Le lien entre de ces deux notions (administration et Etat) date de la fin du moyen-âge(1453). Elle est le résultat d’une offre et d’une demande. L’offre c’est celle faite par la royauté et la demande est celle qui vient de l’élite urbaine. Cette rencontre va provoquer la naissance des institutions

monarchie mérovingienne ( 481-751 ) 209 Paragraphe 1. Les institutions publiques mérovingiennes 210 Paragraphe 2. Les sources du droit mérovingien 210 Section II. L’empire carolingien ( 751-888-987 ) 225 Paragraphe 1. Les institutions publiques carolingiennes 226 Paragraphe 2. Les sources du droit : les capitulaires impériaux 230 Chapitre II. La féodalité ( IXème – XII ème siècles ) 235 Section I. Les seigneuries 236

d’indépendance. Platon montre sa méfiance à l’égard de la diversité. Et là paraît la figure d’une Etat aristocratique, qui ressemble à Sparte. Testament désabusé que laisse Platon. On trouve une cité divine non viable, dénuée d’utilités pratiques. Administration platonienne. On est dans l’excès dans sa condamnation. Platon reste attaché à la cité d’Athènes et reste un enseignant jusqu’au bout. Ne souhaite pas du tout l’effondrement de sa cité. Il n’a jamais voulu l’effondrement de sa cité ; donc on