L Agriculture Au Gabon

intermédiaires : les sociétés de bourse ; - souvent, ils ne cherchent pas à conserver les titres, mais seulement à spéculer les différences de cours. La création des bourses de valeurs dans les pays membres de l’OHADA, par exemple le Cameroun ou le Gabon en Afrique Centrale, qui n’en avaient pas, devrait faciliter davantage la circulation des valeurs mobilières côtées. Lorsqu’on sait que seules les sociétés anonymes ou le G.I.E formé par ces sociétés peuvent émettre ces valeurs , cette mesure devrait

Organisation non gouvernementale Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Obstacles techniques au commerce Programme d’appui au renforcement des capacités de commerce international au service de l’Afrique Projet pour une Agriculture compétitive et Durable Programme pour le développement de la capacité commerciale en Afrique Programme d’appui aux filières agro-sylvo -pastorale Programme d’appui au secteur du commerce Pays les moins avancés Point national d’information Programme

% de parlementaires femmes. Et seuls quatre — Danemark, Finlande, Nor vège et Suède — obtiennent de bons résultats à la fois en termes d’inscription des filles dans le secondaire (avec au moins 95 %), de part féminine des revenus du travail hors agriculture (environ 50 %) et de présence dans les assemblées parlementaires (au moins 30 %) 27 . INÉGALITÉS DE REVENU Le revenu est un moyen très important d’accroître les possibilités de choix des individus. L’IDH utilise cette variable comme indicateur

intermédiaires : les sociétés de bourse ; - souvent, ils ne cherchent pas à conserver les titres, mais seulement à spéculer les différences de cours. La création des bourses de valeurs dans les pays membres de l’OHADA, par exemple le Cameroun ou le Gabon en Afrique Centrale, qui n’en avaient pas, devrait faciliter davantage la circulation des valeurs mobilières côtées. Lorsqu’on sait que seules les sociétés anonymes ou le G.I.E formé par ces sociétés peuvent émettre ces valeurs , cette mesure devrait

30% 26,24% AGORA 0,42% Actionnaires Privés 5,04% BOA Bénin PAGE 56/57 AFRIQUE CENTRALE Présentation de la Zone CEMAC La Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale a été créée le 16 Mars 1994 et regroupe 6 pays : Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, République de Centrafrique, Tchad La CEMAC se donne pour mission de promouvoir un développement harmonieux des Etats membres dans le cadre de l’institution d’un véritable marché commun tout en assurant la gestion stable de la monnaie

harmonisant le droit des affaires des 16 Etats membres. Ainsi, l’élément plus intéressant de ce processus est l’application directe d’un seul droit des affaires dans 16 pays : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Comores, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Guinée Equatoriale, Mali, Niger, Sénégal, Tchad et Togo. L’aire OHADA tend même à s’élargir avec l’entrée attendue de la République démocratique du Congo. Avec l’avènement de l’OHADA, dont le but est de faciliter la sécurité

années dans la mesure ils n’ont progressé que de 3.9% par an, soit un taux inférieur à celui de la croissance économique. 8 Cote d'Ivoire Mauritania Zambia Nigeria Senegal Niger Cape Verde Tanzania Uganda Guinea Gabon Kenya Tableau 1.1 : Sources de la croissance sénégalaise, 1995-2003 Contribution a la croissance 100.0% 15.9% 74.1% 8.8% 14.4% 21.7% 14.1% 6.6% -39.6% Taux de Croissance Annuel 4.0% 5.3% 3.9% 2.7% 11.2% 5.7% -22.9% 0.9% 4.5% PIB Taxes Consommation

sous-ensembles et de secteurs spécifiques. Mais la diffusion de cette croissance au sein du tissu social est très dépendante des spécificités de chaque société.   La spécificité du développement économique Un classement de la Mauritanie, de l'Angola, du Gabon, de l' Algérie, de l'Arabie Saoudite, de la Libye, selon leur niveau de revenu par habitant (non corrigé par la parité des pouvoirs d'achat), surestime fortement le niveau de leur développement humain. En revanche, un classement à partir du PNB par

des pays pauvres, fragilisent davantage les économies africaines essentiellement agraires. C‟est dans ce contexte que dans les années 80, pour répondre à cette situation de crise structurelle des économies africaines basées essentiellement sur l‟agriculture et des activités informelles à faible productivité, notamment le petit commerce et l‟artisanat, les Programme d‟Ajustement Structurel (PAS) ont été suggérés voire imposés à l‟Afrique par les institutions financières Le sous-secteur informel des

Chine, Colombie, Congo Démocratique, Congo République, Corée du Sud, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Croatie, Chypre, Danemark, Egypte, El Salvador, Emirats Arabe-Unis, Equateur, Espagne, Estonie, Etats-Unis d’Amérique, Ethiopie, Fiji, Finlande, France, Gabon, Ghana, Grèce, Guatemala, Guinée Bissau, Guyana, Haïti, Hollande, Honduras, Hong Kong, Hongrie, Ile Maurice, Inde, Indonésie, Iran, Ireland, Island, Israël, Italie, Jamaïque, Japon, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Kirghizstan, Koweit, Lettonie, Lesotho