L'Amour en fuite

conspire � me nuire") � NOTA : LES LETTRES "H, B, M" QUI SUIVENT LES NUM�ROS DE PAGES INDIQUENT LE HAUT, LE MILIEU OU LE BAS DE LA PAGE. Passage qui se situe � l'ouverture de la pi�ce, et qui consiste paradoxalement en une sortie, ou un d�sir de fuite, dans le monde aventureux ou dans la mort. Au del� de la dimension strictement informative que doit avoir une sc�ne d'exposition, on s'int�ressera dans ce passage � ce qui nous para�t constituer les enjeux essentiels dePh�dre�: le statut accord� �

pour Hélène publié en 1587, l'auteur exprime son amour pour Hélène en utilisant les principaux thèmes de la poésie élégiaque que sont : l'amour, la mort et la fuite du temps qui font référence au topos du Carpe diem. Mais comment l'auteur parvient il à déclarer son amour pour Hélène tout en la dénigrant ? Nous nous proposons, pour commencer, d'analyser la fuite du temps, avant d'étudier les différents avertissements que Ronsard confie à sa bien-aimée. I/ Une étrange demande amoureuse : 1)Le

mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé

(v. 1-25) EXPLICATION LINEAIREConsidérations d’ordre général  : · Poème se présente comme un récit à la 1re personne sur le thème de l’amour· Cf. Dédicace à Paul Léautaud · Cf. Tout au long : temps du récit : · Imparfait : « ressemblait » ; « sifflotait » ; « semblions » ; « se lamentaient » ; « C'était »

décasyllabes 4ème vers : tétrasyllabes 3ème vers : hexasyllabes 4ème vers : décasyllabe dans distiques : heptasyllabe. 2) Lecture. 3) Les hypothèses de lecture. Construction, musicalité du texte, mouvement du texte, fuite du temps, de l’amour, souvenir, l’échec de l’amour. 4) Les axes de lecture : A) Le titre et le mouvement :(mouvement au sens d’étapes) Le pont existe vraiment : à Paris. Pont dédié à Mirabeau, un révolutionnaire. Mira : miroir beau : beauté. Ici, le miroir c’est le

s’impose comme le genre phare de la littérature du XIXème siècle. Mais qu’en est-il aujourd’hui, la sensibilité romantique a-t-elle continué à s’exprimer au-delà de son époque d’origine ? Dans un premier temps, nous verrons si le repli sur soi et la fuite face à une société imposant des normes à ses citoyens est toujours au goût du jour. Dans une seconde partie, la recherche d’un absolu au risque de sa vie est toujours d’actualité. Et enfin, si la volonté de révolte et de changement est toujours présente

Ars Amatoria, Carpe Diem Intro : Livre III. Cette fois Ovide le « magister amoris » s’adresse aux jeunes filles, précautions / il s’agit d’inviter les jeunes filles libres à profiter de leur jeunesse, et des occasions que leur fournit l’amour. Jeunes fille émancipées donc, qui ont droit à l’égalité des sexes dans le domaine amoureux. Le carpe diem vient d’Horace ; thème hédoniste car Epicurisme n’invite pas à la jouissance mais à vivre l’instant dans un ascétisme. I Le maître s’adresse cette

RÉSUMÉ:-Zone: dernier poème ecrit pas Apollinaire où il met à l’honneur Paris à l’époque de la seconde révolution industrielle en mettant en avant la modernité pour cette époque. -Le pont Mirabeau: le poète aborde la fuite du temps et des amours grâce à l’eau du Rhin qui coule. De plus ce pont existe vraiment et il se situe à Paris. -La chanson du mal aimé: section divisé en 7 poèmes détaillant la vie sentimentale d’apollinaire qui a toujours l’impression

349 Le registre lyrique traduit les sentiments et les émotions du locuteur (troubles de la passion, mélancolie, regret, tristesse, douleur et, moins souvent, enthousiasme et joie.), à travers les thèmes de l'amour, de la vie, de la nature, de la confidence, de la solitude, de la fuite du temps et de la mort. Il se rencontre aussi bien dans des textes philosophiques ou métaphysiques (relatifs à l'absolu, au divin, etc.) que dans des textes sensuels ou sentimentaux, oniriques (relatifs ou rêve)

les années 1960, avec sa réédition en poche, pour qu’il suscite l’engouement des lecteurs. 3. Dans l’avant-propos, Boris Vian donne le ton du roman (il parle de sujets graves sur un ton léger) et affirme son credo : « Il y a seulement deux choses : l’amour, de toutes les façons, avec des jolies filles, et la musique de la Nouvelle-Orléans ou de Duke Ellington »). Il livre également quelques mots de son projet d’écriture, dans lequel on fera relever le champ lexical de la « distorsion ». L’affirmation