L Amour Exalté Par La Poésie

fin ». Dans son projet, il déclare son amour pour la ville de Paris pendant les grand travaux du Second Empire (« Je t’aime, ô capitale infâme !, débauches…») ce qu’il résume à la fin par le terme « boue » : « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ». Dans le rôle d’un alchimiste, le poète opère ainsi une transmutation de la boue, une réalité déplorable, en un or poétique. Cette citation de l’épilogue détermine-t-elle l’un des principaux sujets de la poésie Baudelairienne dans les

de la littérature grecque et latine est particulièrement utile dans les sociétés démocratiques * * CHAPITRE XVI. Comment la démocratie américaine a modifié la langue anglaise * * CHAPITRE XVII. De quelques sources de poésie chez les nations démocratiques * * CHAPITRE XVIII. Pourquoi les écrivains et les orateurs américains sont souvent boursouflés * * CHAPITRE XIX. Quelques observations sur le théâtre des peuples démocratiques *

Héloïse, (1761) Le contexte : L’histoire d’un amour impossible est un thème essentiel du roman sentimental. Julie et Saint-Preux, les deux personnages principaux du roman épistolaire qu’est Julie ou la Nouvelle Héloïse, s’aiment avec passion, mais doivent renoncer à s’aimer, Julie étant mariée à Monsieur de Wolmar. À la différence de Madame de La Fayette et de l’abbé Prévost, Rousseau ne se plonge pas dans l’analyse des ravages de la passion. Il exalte au contraire l’amour spontané et vertueux. Les

l’individu, ses passions ses espoirs. L’introspection permet de diagnostiquer les symptômes du mal du siècle : incertitudes, insatisfactions, attentes vagues, sentiment douloureux du présent. Par exemple Chateaubriand de René traduit les sentiments exalté de la nature, l’angoisse du temps, la hantise d’une autre vie. Plus tard Musset analyse le désarroi de toute une génération. b) Le temps la nature et ses mystères  La sensibilité romantique trouve un accord avec la nature sauvage, comme dans

privilégiés ainsi que l'Histoire et l'exotisme. Quelques sensations sont suscitées chez le lecteur, comme le dépaysement et le mystère. ● Le "moi" et l´omniprésence du « je » Le Romantisme s'écrit d'abord à la première personne. La poésie lyrique exalte un "je" qui s'exprimerait au nom de tous. Des genres naissent ( comme le journal intime ), se développent ( comme l'autobiographie ) et exaltent le désir de la connaissance de soi. C'est souvent un "moi" douloureux atteint par le "Mal du siècle"

l'apologie de l'adultère, du ménage à trois ou des bacchanales orgiaques, ne semble choquer personne. Mais Baudelaire frise la pornographie dans des vers comme : Elle était donc couchée et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d’aiseÀ mon amour profond et doux comme la mer,Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Dans Les Bijoux Dans Le Léthé, la « crinière » ne laisse personne dupe : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblantsDans l’épaisseur de ta crinière lourde ;Dans tes jupons

ressasse. On a enfin un cadre noble et majestueux : « château » « grands arbres » «  lauriers, plantés dans de grand vases ». On peut noter que le laurier est l’arbuste du Dieu Grec Apollon, fils de Zeus et de Léto, dieu de la musique, du chant, et de la poésie : la présence de ces plantes dans de « grands vases » est donc signe de grandeur, d’élévation du décor dans lequel se déroule la scène étudiée. Pour compléter le canevas de cette scène, le narrateur prend également le temps d’installer un climat

horreurs de la guerre. Pour lui Paris caractérisait son amour pour son pays ; l'amour qu'il a senti pendant toute sa vie. Dans son poème Paris Aragon glorifie la ville et tout ce qu'elle représentait. Il trouve l'espoir et l'amour dans la ville et dans les autres Français. «Paris Paris soi-même libéré» ! ! Texte d’info toxique Extraordinaire ère exemplaire exsangue Paradoxe des toxs orthodoxes Cette vox populi à l’existence exigüe Qui exalte l’expression de l’intox Ces inexhaustibles axiomes

toujours en ses heures de grave méditation. Quand il voulut recommencer à se barbifier, il se coupa trois fois depuis le nez jusqu'à l'oreille. Tout le jour, il demeura muet, gonflé d'indignation et de colère. A sa fureur de prêtre, devant l'invincible amour, s'ajoutait une exaspération de père moral, de tuteur, de chargé d'âme, trompé, volé, joué par une enfant ; cette suffocation égoïste des parents à qui leur fille annonce qu'elle a fait, sans eux et malgré eux, choix d'un époux. Après son dîner, il

ne pas abuser du pouvoir. Il transforme tout ce qu’il veut en poésie. Le monstre sacré se présente lui-même en rendant un vibrant hommage à sa mère dans l’ouverture des feuilles d’automne Ainsi il se présente lui-même comme un « monstre sacré » Les feuilles d’automne (1831) « Ce siècle avait deux ans … » Ce siècle avait deux ans ! […] Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix […] Ô l’amour d’une mère ! Amour que nul n’oublie ! Pain merveilleux qu’un dieu partage et multiplie