L Amoureuse Eluard

l'authenticité de ses émotions, de sa sensibilité, de son intimité. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. Essentiellement centrée sur le "moi", la poésie lyrique chante toutes les tonalités des sentiments : le malheur, le bonheur, les doutes et les craintes de l'auteur. Elle permet à l'auteur de faire part des émotions intenses, des sentiments, de

des opposition "visible" "invisible"    - le rythme ternaire montre l'avancée inéluctable de la mort.    - Vers 15 mort de Nusch = mort du passé La réalité est vécue douloureusement.      On peut opposer le poème Notre vie à Gabriel Péri de Paul Eluard aussi, sauf qu'ici la mort l'emporte sur la vie tandis que dans Gabriel Péri la vie l'emporte sur la mort. Sinon on peut rapprocher ce texte de Pierrot de Verlaine qui montre un passé heureux et un présent malheureux sauf qu'ici le narrateur est impliqué

poème «  Ténèbres » parlant de leur séparation. J’ai choisi ce poème dans cette cinquième subdivision pour plusieurs raison : Premièrement en lisant ce texte le lecteur (sans connaître la vie du poète) comprend qu’il s’agit d’une séparation amoureuse et ce poème suscite la pitié vis-à-vis de l’auteur. Il semble très déprimé tout au long du poème et prit Dieu aux derniers vers pour espérer que la femme qu’il aime se porte bien. C’est donc un poème triste où le titre prépare le lecteur : ténèbres

peut voir le vaste ciel. » On continue avec l`image de Paul Éluard qui parle de L`amoureuse comme ça : « Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a lu la couleur de mes yeux. » Paul Éluard ou bien Eugène Paul Grindel, est un poète français né à Saint Denis en 1895 et mort en 1952. À vingt et –un an, il choisit de prendre le nom Éluard hérité de sa grand-mère. Il est adepte du dadaïsme et puis il devient

l'une des grandes figures du romantisme en France. Ses poèmes : Le soir Le soir ramène le silence. Assis sur ces rochers déserts, Je suis dans le vague des airs Le char de la nuit qui s'avance. Vénus se lève à l'horizon ; A mes pieds l'étoile amoureuse. De sa lueur mystérieuse Blanchit les tapis de gazon. De ce hêtre au feuillage sombre J'entends frissonner les rameaux : On dirait autour des tombeaux Qu'on entend voltiger une ombre. Tout à coup détaché des cieux, Un rayon de l'astre nocturne

culture années 20CHAPITRE IX : LES « ANNÉES FOLLES » : CULTURE ET PRATIQUES SOCIALES DES ANNÉES VINGT Introduction : Retour de la paix et de la prospérité : contexte de relative détente Les changements qui affectent au lendemain du conflit les pratiques sociales et la culture du monde citadin ont un pouvoir de contagion qui donne aux années vingt leur tonalité optimiste et débridée. Entre la terrible guerre qui prit fin en 1918 et les années sombres de la crise et de la montée des périls

l'intensité, l'amour prédispose à l'expression poétique. L'amour de l'autre est un thème récurrent de la poésie : Ronsard célèbre Cassandre ou Hélène ; les romantiques et à leur suite bien des poètes des xixe et xxe siècles célèbrent l'amour. L'expression amoureuse prend des formes variées à travers les époques : amour courtois au Moyen Âge, amour précieux au xviie siècle, passion inquiète des romantiques ou d'Apollinaire, amour heureux des surréalistes... L'amour au sens large a aussi toute sa place

l’intensité, l’amour prédispose à l’expression poétique. L’amour de l’autre est un thème récurrent de la poésie : Ronsard célèbre Cassandre ou Hélène ; les romantiques et à leur suite bien des poètes des xixe et xxe siècles célèbrent l’amour. L’expression amoureuse prend des formes variées à travers les époques : amour courtois au Moyen Âge, amour précieux au xviie siècle, passion inquiète des romantiques ou d’Apollinaire, amour heureux des surréalistes… L’amour au sens large a aussi toute sa place dans la

nueSur les marches de la mortJ’écris ton nom Sur la santé revenueSur le risque disparuSur l’espoir sans souvenirJ’écris ton nom Et par le pouvoir d’un motJe recommence ma vieJe suis né pour te connaîtrePour te nommer Liberté. Liberté, Paul Eluard, 1942 Liberté Sur mes cahiers d’écolierSur mon pupitre et les arbresSur le sable sur la neigeJ’écris ton nom Sur toutes les pages luesSur toutes les pages blanchesPierre sang papier ou cendreJ’écris ton nom Sur les images doréesSur les armes

3, vers 810 à 824, depuis "C'est peu de dire aimer [...] "jusqu'à "[...]et que mon père est mort." 3-Les Fleurs du Mal, de Baudelaire, "La mort des amants", en entier. Lecture complémentaire : - Baudelaire, Les Fleurs du Mal, A une passante -Eluard, Le Temps déborde, "Notre vie" (manuel de seconde, p. 374). 4-Belle du Seigneur, d'Albert Cohen, chap. XXXVI, ed. Folio, p.440. depuis le début du chapitre jusqu'à "[...]oui, tous les soirs ils se verraient." Lecture complémentaire : -Albert Cohen