L Analyse Keynésienne Et Classique

I. L’école classique : 1) Adam Smith : La division du travail : Adam Smith met en évidence le rôle de la division du travail comme facteur de croissance intensive, elle permet de réaliser des gains de productivité, parce qu’elle développe l’habilité du travailleur, par la répétition des tâches et les effets d’apprentissage qui lui sont associés. La main invisible : l’économie de marché est régie par une main invisible, la course après l’intérêt personnel mène directement vers l’intérêt

Autorégulation des marchés (du travail, financiers…) - Mais économistes keynésiens (stiglitz, krugman…) Nécessaire intervention de l’Etat. Chapitre 1 : Les grands courants de la pensée économique. Fin 18ème : Développement de « véritables » analyses économiques (SMITH) Quatre grands courants qui interprètent le capitalisme. 1- Classiques 2- Néoclassiques 3- Marx 4- Keynésiens Pour 1 et 2, efficacité du marché = libéraux Pour 3 et 4 inefficacité

l’inflation 115 3) Les conséquences du phénomène inflationniste 116 4) Les politiques de lutte contre l’inflation 116 VII - ECHANGES INTERNATIONAUX ET EURO (TD7) 119 A) LES THÉORIES DU COMMERCE INTERNATIONAL 119 1. Les théories classiques du libre-échange 119 2. Les nouvelles théories du commerce international 120 3. Les théories du protectionnisme 122 B) L’organisation des échanges internationaux 124 1. Le cadre de la libéralisation des échanges commerciaux 124

ressortir les différences essentielles dans la manière d’appréhender les mécanismes économiques en se référant à 3 axes fondamentaux : - Le courant libéral (économie de marché) - Le courant marxiste (rupture avec économie de marché) - Le courant Keynésien I. Le courant libéral 2. C’est le plus ancien, il est apparut en France et en Grande Bretagne. Il regroupe un très vaste champ de doctrine et de théorie dont les principes sont : Primauté de l’individu intérêt personnel Liberté de l’activité économique

Introduction 1-2-1) Flux circulaire et marché financier Nous utiliserons tout au long de ce cours le langage macroéconomique. Cependant quelques incursions nécessaires du côté de la microéconomie seront faites lors de nos analyses. En macroéconomie, nous allons nous attarder plus particulièrement aux phénomènes conjoncturels par opposition à celui de la croissance. Nous analyserons le rôle de la politique monétaire et nous toucherons au concept de la stabilisation du cycle

discipline qui s’appuie sur des réflexions et des raisonnements. Elle s’est peu à peu constituée autour d’évènements sociaux et économiques. Trois grands courants de pensée économique se dégagent au cours du temps : la pensée classique, la pensée marxiste et la pensée keynésienne. Chaque grand courant se place dans un contexte précis. Ils sont le reflet des préoccupations de l’époque. Ainsi, en quoi les évènements historiques servent-ils de valeurs explicatives au courant de pensée économique ? Dans

Chômage keynésien : est un chômage dû à une insuffisance de la demande de biens et services anticipée par les entreprises, ce qui conduit ces dernières à limiter la production et donc, lʼemploi. Chômage Classique : est un chômage dû à une rentabilité insuffisante de la production qui incite les entreprises à ne pas investir. Chômage Keynésien Les entreprises ne sont pas incitées à investir et à ce moderniser. Dégradation de la rentabilité du capital Chômage Classique La demande

pensée économique 6 II.2 Libéralisme physiocratique 6 III. La pensée économique Classique 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance 8 III.2 La politique monétaire 9 III.2.1 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.2.2 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.3 Le Marxisme 10 IV. Le Néo-classicisme 11 V. La pensée économique contemporaine 12 V.1 La Pensée économique keynésienne 12 V.2 Le Monétarisme 13 VI. Leçons apprises 14 VII.Conclusion 15 VIII.Biobliographie

............................................ 6 II.2 Libéralisme physiocratique ......................................................................................................................................... 6 III. La pensée économique Classique............................................................................................................................... 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance ............................................................................

ANALYSE ECONOMIQUE SEMESTRE 2 III – L’équilibre général 3.1 Pourquoi une analyse en équilibre général ? 3.1.1 De l’équilibre partielle à l’équilibre général. Le prix d’un bien est ce qui équilibre le marché des biens. Le taux d’intérêt est déterminé par l’offre et la demande d’épargne. Le salaire est déterminé par l’O de L et la D de L. C’est de l’équilibre partiel. (On regarde ce qui se passe sur un marché particulier) Limite : on ne tient pas compte de ce qui se passe sur les autres marchés. L’O