L Animalité

un autre qui fouille et creuse le vrai tant qu’il peut, qui aime à accuser le petit fait aussi puissamment que le grand, qui voudrait vous faire sentir presque matériellement les choses qu’il reproduit ; celui-là aime à rire et se plaît dans les animalités de l’homme. » II/ L’œuvre littéraire reconstruit le réel A/ Qu’est-ce que la réalité ? La réalité, si l’on peut s’accorder sur certains de ses traits, reste subjective et ne peut être rendue intégralement dans une œuvre de fiction (notion

seule gravure. On lit sur celle-ci ce distique dont l'écho se retrouve dans les deux derniers vers du sonnet : "Ces pauvres gueux pleins de bonadventures / Ne portent rien que des choses futures". I - TABLEAU PITTORESQUE DES BOHÉMIENS A. Animalité des Bohémiens - champ lexical animaux + "fiers" (étymologie : du latin fĕrus = « farouche, sauvage ») - vers 4 : analogie femmes/animaux ("mamelles", "petits"…), "trésor" renvoie aussi à l'animalité (lait maternel nourricier) - instinct animal

donner son avis afin d'améliorer la vie en société. De plus, Le film de François Truffaut L'Enfant Sauvage, témoigne de l'histoire de la vie sauvage d'un jeune garçon abandonné dans la forêt dès l'âge de 3 ans, il manifeste un retard mental et une animalité apparemment du à l'absence de contact avec l'homme. Cette approche anthropologique prouve que l'homme n'est pas autonome dans la quête de son bonheur. Il nous est possible d'affirmer que le bonheur de l'homme dépend en partie de la matérialisation

appartient à l’individu (Liberté individuelle). (C’est la pureté de l’intention qui prône). Dans « L’Ethique à Nicomaque. » La finalité de l’homme est le bonheur, ce qu’est l’être humain lui-même, de la Raison et non pas : Les plaisirs frustres (Animalité). L’obtention des honneurs et des richesses. Contemplation abstraite, platonicienne. La Raison la plus haute est notre intellect, le « Noûs » La vie vraiment raisonnable, n’est possible que dans et par la cité. Moyen pour tempérer les passions

) éprouvant de petits frissons lorsque ses yeux rencontraient son cou de taureau. », et fait un rapprochement entre ses poings et un bœuf «  (...) le poing fermé devait être énorme et aurait pu assommer un bœuf. ». Ces comparaisons relèvent une animalité, une force inquiétante dans la personnalité de Laurent. En second lieu, l’auteur définit le regard que Thérèse porte sur ce nouveau personnage. D’une part, on relève le lexique du regard. « (...) regardait le nouveau venu. », « elle n’avait

d’ailleurs de l’homme qu’ « il est l’être qui s’élève dans un univers second » comme si la culture était l’affaire d’un dépassement. Admettons alors que ce terme de culture désigne tout ce par quoi l’existence humaine se tient au-delà de la pure animalité ou de la simple nature. 2. Une culture animale ? L’homme toutefois appartient incontestablement à cette nature. Les travaux de Darwin, puis la paléontologie et la génétique ont permis d’établir avec certitude une continuité dans l’ordre du

spécifique à Balzac. En effet, grâce à un narrateur hétéro-diégétique et extra-diégétique , ce passage nous semble plus réel. Nous avons la vision de De Marsay et l’odorat, les sentiments de la marquise de San-Réal . II Animalité Balzacienne et psycho-récit : A) Animalité Balzacienne : Dans l’extrait étudié , nous pouvons voir comment le narrateur use de comparaisons entre les faits et gestes de la marquise et le champ lexical appartenant aux animaux . Ainsi , on retrouve un eallusion

DIFFERENTS PERSONNAGES ET LEUR RÔLES - Le conte est bref avec peu de personnages : mère, grand-mère, fillette (= 3 générations représentées comme très proches) Il y a une certaine opposition entre les personnages féminins et le loup marqué par son animalité. - Les personnages sont dénués de descriptions précises psychologiques. => apsychologie domine le récit. - Pour le PCR, ligne 1 présente une caractéristique superlative relative (« la plus jolie qu'on eût su voir »). C'est un enfant sur-protégée/

Selon Kant la notion même de bonheur pose d’abord un problème, car le contenu concret (empirique) en est impossible à cerner. « Le concept de bonheur n’est pas un concept que l’homme abstrait de ses instincts et qu’il extrait en lui-même de son animalité, mais c’est une simple Idée d’un état, à laquelle il veut rendre adéquat cet état sous des conditions simplement empiriques (ce qui est impossible) » 1 Kant ne voit donc pas que le bonheur n'est pas une "simple idée" mais bien la réalité d'un

subir. Elle est le contraire du fardeau et de l’oppression – comme les prouvent les luttes historiques menées pour la liberté. Arendt – « Qu’est-ce que la liberté ? » (La crise de la culture)               C.  Point de vue pratique : liberté et animalité.           La liberté bien comprise – autonomie – est ainsi le contraire de l’esclavage et de l’animalité, ce qui fait de nous des hommes à proprement parler. Bergson – La pensée et le mouvant, la liberté, comme liberté créatrice, c’est bien ne