L Animalité

moucheron est plutôt vantard, belliqueux et confiant, | | - Le lion Il incarne le pouvoir, il a des caractéristiques humaine, il est personnifié. Celui-ci est plutot insouciant, il ne craint personne. Le Lion : son animalité est rendue par des termes comme « quadrupède » (vers 15), « museau » (vers 20), « griffe, dent » (vers 24)… termes qui soulignent un animal de la terre, un animal doté d'une force physique impressionnante et possédant une violence potentielle.

A. L'excès Vb manger se caractérise par son excès et abondance du terme le + neutre au + vulgaire Plrs expressions insistent sur la capacité à manger des perso (l5/6) (l19) (l38): déchainement Nb intensifs B. Cet excès fait ressortir leur animalité Semble perdre leur humanité (l8). Patronyme des perso les déshumanise. Activ est de manger: champ lexical de la nourriture : se jette sur la nourriture + mange avec leur doigts sans couverts + synecdogue(l49+-50) => impression que leur visage ne

aussi sa propre nature par l’éducation. Cf. le texte de Bataille qui évoque « les deux négations » que l’homme fait à la nature : celle que « d’une part, l’homme fait du monde donné » par la technique et celle qu’il fait « d’autre part, de sa propre animalité » par l’éducation. La question pouvait alors se poser de savoir laquelle de ces deux négations est première et fondamentale. On pouvait « chercher si l’éducation est la conséquence du travail, ou le travail la conséquence d’une mutation morale »

s’explique : science dure et plus molles aussi)4. La philosophie politique des Lumières : l’être humain doit être considéré comme maheur et non mineur (émerge la démocratie)Tout cela c’est grâce à la raison : elle doit arracher l’être humain se son animalité et, ainsi, lutter contre les superstitions, les traditions, l’égoïsme ; bref, tout ce qui n’est pas rationnel chez l’être humain. Les Lumières, ne croyant pas nécessairement à l’au-delà, s’intéressent au bonheur. Le libertinage est l’aboutissement

preuve d’une absence de valeur humaine. L’homme mourant ne lui fait aucun effet, il se contente de le regarder. A aucun moment le personnage ne partage ses sentiments, il n’exprime aucune émotion; comme s’il n’était pas plus qu’un animal. Cette animalité est également marquée par l’absence de facultés cognitives. Le personnage ne peut plus juger « qu’à travers la rumeur de son sang et souffle ». Il est incapable de communiquer, seul son corps exprime sa peur, ses positions et son comportement ne

pour les chevaliers et le narrateur de la considérer comme une belle et noble demoiselle, voire même comme un être humain à part entière, d’où l’utilisation du terme général « créature ». En effet, le portrait de cette dernière repose sur une animalité quelque peu étrange comme en témoigne la longue énumération de comparaisons associant chaque partie de son visage à un animal soigneusement choisi (l. 7 à 11.) Ici le narrateur a pris soin de sélectionner des animaux aux connotations particulièrement

Perception auditive (musique) * Perception tactile (bords duvetés de vos mèches tendues) * « A grand flot le parfum, le son et la couleur » -> plénitude du volume sensoriel B. Volume sensoriel accentué par les métaphores naturelles * Animalité (toison, encolure, crinière) * Végétal (forêt, arbre, sève, ébène, huile de coco) * Aquatique (vaguent, nage, voile, mer, mâts, port, vaisseaux, plongerai, océan, rameurs) on peut penser que son aimée est une marine. * Aérien et cosmique

n’importe comment. Demain le jour se lèvera et il faudra le vivre, avec ou sans Dieu. Et ce qui est rassurant, c’est que c’est nous qui déciderons de la manière dont nous le vivrons. Les animaux n’ont pas cette possibilité. Ils ont en charge leur animalité et nous notre Humanité, et ça c’est peut être un problème ou une chance. La différence entre eux et nous, c’est qu’eux, les animaux, sont toujours fidèles à leur nature. Un chien est toujours canin, un pigeon est toujours oiseau, seul l’homme peut

parle  Le non-sens au service du sens Idées principales  Première partie Le désir de lire est une dynamique propre de l’enfant, qui dispose d’une humanité fragile qui se développera avec l’acquisition du langage malgré la persistance d’une animalité composée de pulsions. L’enfant est doué pour la fiction, leur vision au « délire » fictionnel est l’une des raisons qui explique l’affinité de l’enfant avec les histoires. L’acquisition du langage le sépare de soi, il suppose un renoncement temporaire

dérisoire : « ils continuaient à lutter bien qu’elle ne fit plus de mouvement » « déjà »  adverbe de temps péjoratif qui apparaît comme une marque de jugement  dramatisation conventionnelle vision de Zola : moraliste, comme si le désir se réduisait à une animalité 2) Indices inquiétants Adjectif « singulière » caractérise le désir dans l’œuvre de Zola. L5 et 7 : « sourire contraint, mal à l’aise »  gène « grand silence du cabinet… »  Renée pense à autre chose, « ce fut le seul murmure de ses lèvres »