L Anti Theatre

« l’art », s’il est considéré dans cette formule comme une unité, renvoie à une multitude d’artistes, de courants artistiques, et de formes différentes d’art  (peinture, photographie, cinéma, musique, installations, performances, danse, architecture, théâtre, sculpture, littérature…). Ainsi, l’existence d’un langage de l’art rendrait inutile une telle diversité, puisque toutes ces formes obéiraient au même code et donc possèderaient les mêmes possibilités. Ainsi, les correspondances entre toutes ces formes

éloge de la bêtise féminine, garantie de tranquillité pour le mari. Peur de l’intelligence féminine. c) esprit de domination : Arnolphe veut une « soumise et pleine dépendance » , une femme à qui il ne devra rien, mais qui lui devra tout. Ce cynisme anti-féministe est bien éloigné d’une conception « morale du mariage » : c’est le mariage à but uniquement possessif  sans respect pour la femme devenue presque un simple ustensile de ménage. Pourtant Arnolphe n’est pas Chrysale et il aime variment Agnès

anglais du surnaturel et du merveilleux, un sens en accord avec son gout pour le sensationnel. Il invite des spectres dans ses drames historiques et des sorcières dans MacBeth. Les trames de contes de fées de son enfance transparaissent dans son théâtre d’adulte. Enfant, Shakespeare dévorait les livres. Il était fasciné par les sons et les cadences. La Bible était pour lui comme la chambre d’écho de son imagination. Ironie : traduite en anglais par les réformateurs, la Bible a permis à Shakespeare

des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu'il est possible de définir ». Tropismes sera publié en 1939 et salué par Jean-Paul Sartre et Max Jacob. En 1941, Sarraute est radiée par deux fois du barreau, à la suite des lois anti-juifs, et se consacre alors à la littérature. A cette époque, elle héberge un temps Samuel Beckett, alors recherché par la gestapo pour ses activités de résistance. En 1947, Jean-Paul Sartre écrit la préface de Portrait d'un inconnu, qui sera publié

autour de quelques personnages, Médée, Jason, Créon, et la Nourrice de Médée. Le texte s'achève sur la mort de Médée, qui périt dans les flammes. | En attendant Godot, Samuel Beckett, 1952, existentialisme, théâtre de l’absurde.Mort du personnage | Les personnages Vladimir et Estragon, des anti-héros, attendent en vain un certain Godot. Dans cette pièce où il ne se passe rien est une remise en cause de l’existence et un questionnement sur le temps et le sens de la vie.Dérision autour des personnages

Eugène Ionesco est un dramaturge français du XXe siècle qui appartient au théâtre de l'absurde. Il a écrit La leçon en 1951 ainsi que d'autres pièces comme La Cantatrice chauve, 1950 ; les Chaises, 1952 ou Rhinocéros, 1959. La leçon est une anti-pièce, cette pièce appartient au registre satirique, comique, tragique et burlesque. Dans La Leçon (1951), Ionesco met en scène un vieux professeur qui reçoit chez lui une jeune élève, après l'avoir testée, il lui donne un cours d'arithmétique, puis passe

Roumanie et la France, Eugène Ionesco s'installe en France en 1942 et y publie sa première pièce, la Cantatrice chauve, en 1950. Cette œuvre, inspirée du surréalisme, initie le "théâtre de l'absurde" en mettant en scène des personnages loufoques aux dialogues décousus, dans une histoire dont la logique est absente. Cette "anti-pièce" est plutôt mal accueillie par le public qui a du mal, dans un premier temps, à en saisir la dimension comique. I. Le Professeur, un personnage ridicule et caricatural

LA LECON de IONESCO Oral du bac (au choix) Extrait 4 : le dénouement « un cadavre embarrassant » Question (enjeu) : Ce dénouement est-il une fin tragique ? I° : présenter l'auteur, son théâtre (absurde à définir), la pièce La Leçon (résumé bref) Plan possible : I- la relation maître-serviteur revisitée dans ce drame comique – une bonne contradictoire : en apparence, dans les scènes précédentes, semble vouloir apaiser les choses, retenir la violence du professeur et l'avertit à plusieurs reprises

de la diversité de l’être humain (le repentir de Montaigne), Rousset définie cette instabilité par la figure de Circée, on peut la compléter par celle de Protée. Mais encore, il y a l’illusion, on peut citer la piperie de Montaigne, mais c’est au théâtre baroque ou se manifeste le plus le thème de l’illusion, du trompe l’œil, du faux semblant, du déguisement et de la feinte. Il y est affirmé que la vie est un songe (Calderon) L’illusion comique de Corneille, et la Tempête de Shakespeare. Autre tendance

personnages complémentaires. Des rapports de forces entre les personnages. Le personnage peut être également un rôle joué par un acteur. » Cette définition met en avant le rapport comédien/personnage qui existe dans le théâtre. Beckett a cherché à traiter les personnages du théâtre de manière innovante pour transcrire sa vision pessimiste de la condition humaine. En effet, les textes présentent des personnages dépouillés des attributs traditionnels. Néanmoins ces derniers conservent des fonctions