L Apport De Keynes Par Rapport Aux Néoclassiques

informations sont obtenues à propos de l’activité de chaque personne en âge de travailler. Pour calculer le taux de chômage, on établit le rapport entre : Le taux de chômage = Les chômeurs / Population active occupée 4 Les analyses théoriques du chômage : 4.1 les classiques et les néoclassiques : Pour le auteurs classiques Libéraux puis les Néoclassiques :le plein emploi était un élément entendu dés lors que les mécanismes du Marché pouvaient fonctionner librement, partant de l’hypothèse

donner un contenu analytique plus précis à la notion d'économie classique : pour Marx comme pour Keynes, celle-ci se définit à partir de l'adhésion à certaines conceptions théoriques, et non à partir d'un découpage chronologique. Mais ils ne s'accordent pas sur le critère constituant la pierre de touche de l'économie classique : chez Marx il s'agit de la théorie de la valeur-travail, alors que Keynes attribue ce rôle à la loi des débouchés. Des frontières incertaines Une telle diversité de

laisse chacun agir librement, on va obtenir inévitablement que les mieux lotis au départ vont bien s'en sortir et les moins biens lotis vont mal s'en sortir donc = inégalités sociales et économiques. Marx précise ces inégalités mais il explique un rapport de domination. Les plus forts vont se servir des plus faibles. Pour Marx, une société dans laquelle il y a domination et inégalités, n'est pas une société d'intérêt général. L'intérêt général n'est pas domination et inégalités. Il propose que les

FOGEL Robert | FOURASTIÉ Jean | FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS | MARSHALL | MARX | MEADE | MENGER | MILLER | MISES (von) | MILL | MODIGLIANI | MONTCHRESTIEN (de)

puis de décroissance) III) Néoclassiques (marginalistes) : A – Homo oeconomicus : • Individualisme méthodologique : action pour soi, calculée. Rationalité, mobilisation des capacités de raisonnement, tout obéit à une logique, selon des choix, selon la satisfaction. ⇨ recherche de la maximisation de la satisfaction. ⇨ Satisfaction des besoins, de l’utilité selon les contraintes (budget,…) ⇨ Optimisation de la consommation par rapport aux revenus ⇨ Optimisation

particulier pour une discipline qui se veut scientifique. Il n'y a pas de théorie rivale en science la nature à l’économie ou il y a des discours radicalement opposé. Il y a une pluralité de point de vue théorique en économie. En plus, il y a des rapports de force. Toutes les théories ne sont pas au même niveau. Il y en a qui domine dans les ministères, dans la recherche, tous les experts sont adopter de la théorie dominante qui est la théorie Néo-classique, on appelle cette théorie l'orthodoxie qui

marginalisme : microéconomie et libéralisme 1. Les premiers marginalistes et les traditions qu’ils inaugurent 2. Le rejet de la théorie de la valeur travail et la relecture du problème de la valeur 3. L’émergence d’un nouveau paradigme : la science « néoclassique » 79 79 80 81 Pour aller plus loin : un auteur, une œuvre 21 Léon Walras et les Éléments d’économie politique pure 1. Sa vie, son œuvre, son influence 2. L’œuvre majeure : Éléments d’économie politique pure, ou théorie de la richesse

Université Paris Ouest Nanterre La Défense - Cours SEGMI DYNAMIQUE ECONOMIQUE SEMESTRE II - Robert Lucas théorie de la croissance. Pas de réponse unique dans la théorie éco. Ex : théorie du chômage : Néoclassique (rigidité des salaires, w trop élevés,…) Keynésiens (insuffisance de la demande effective) Théorie traditionnelle : Théorie de la croissance exogène de Robert Solow. (En 1956) Cette théorie ne commence pas avec lui (Ricardo,…) =Réponse à une théorie d’inspiration Keynésienne

marginalisme : microéconomie et libéralisme 1. Les premiers marginalistes et les traditions qu’ils inaugurent 2. Le rejet de la théorie de la valeur travail et la relecture du problème de la valeur 3. L’émergence d’un nouveau paradigme : la science « néoclassique » 79 79 80 81 Pour aller plus loin : un auteur, une œuvre 21 Léon Walras et les Éléments d’économie politique pure 83 1. Sa vie, son œuvre, son influence 2. L’œuvre majeure : Éléments d’économie politique pure, ou théorie de

Sismondi) 3.3.2 La dissidence néoclassique (Patinkin et Wicksell) 4. Constitution d’un corpus monétaire classique 4.1 Le statut de la théorie quantitative 4.1.1 Reformulation de la théorie quantitative de la monnaie 4.1.2 Présence renouvelée de la théorie quantitative 4.2 Que reste-t-il de la loi de Say ? 4.2.1 Les vestiges de la loi de Say 4.2.2 Les séquelles de la loi de Say Partie II : Les controverses fondatrices de la pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche