L Apport De Keynes Par Rapport Aux Néoclassiques

consommation. Mais les entreprises n'ayant, par définition, pas de consommation finale, leur épargne est égale à leur revenu disponible, qui sera notamment, en partie, utilisée pour financer les investissements. 2 L’approche de Keynes : la fonction de consommation Pour Keynes, économiste britannique du début du 19e siècle, c’est le revenu courant qui est le principal déterminant de la consommation, faisant remarqué que plus le revenu augmente, et moins la part qui est consacrée à la consommation

étudierons dans une première partie les rouages de l’économie classique, ses auteurs, ses idées. Nous verrons ensuite dans une seconde partie les mécanismes d’un autre courant économique ; l’école néoclassique. Puis dans une troisième et dernière partie nous nous intéresserons plus particulièrement aux critiques apportés aux courants économiques avec les idées de Joseph Schumpeter ou encore de Karl Marx. L’économie classique C’est à la fin du XVIIIe siècle qu’apparaît l’économie classique au sens moderne

de cette affirmation de joseph Stiglitz ? | La métaphore de Smith qui est restée très connue, a traversé les siècles. Smith l’emploie dans son livre : « le capitaliste va chercher à placer ses capitaux de manière à ce que ça lui rapporte le profit le plus important possible. » donc sa motivation c’est le plus grand profit, c’est son intérêt personnel. En cela il est égoïste. Si tous les capitalistes font la même chose, la production et le profit seront maximum et donc la richesse

en 1936 par John Maynard Keynes, la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie s’impose comme une œuvre économique majeure du XX ème siècle. La crise de 1929 permet à Keynes de se dégager définitivement de l’influence des analyses des néoclassiques en mettant l’accent sur le rôle et la nature de la monnaie, sur l’importance de l’incertitude et des anticipations et sur la place décisive des entrepreneurs dans la dynamique économique. Tout va amener Keynes à devenir un véritable courant

principaux courants de pensée économique Mots clés : Boyer Robert Démarche normative Demande effective Division du travail Ecole de Chicago Ecole de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur

ailleurs » : beaucoup de variables conditionnent un phénomène (prix, occasion…) : Loi de la demande. Henri Point-carré : « La science c’est savoir pour prévoir afin de pouvoir. » Élasticité de la demande par rapport au prix : indique en % de combien varie la quantité d’un produit par rapport au prix : l’INSEE mène des enquêtes : Ex : les fumeurs : si les cigarettes augmentent de 10% l’élasticité est inférieur à 1 pour faire baisser la consommation il faudrait faire une augmentation du prix très importante

familiariser avec les différentes écoles de pensée économique afin d’en saisir les principales divergences. o Connaître les principaux auteurs économiques o Saisir les outils d’analyse économique des principales écoles de pensée o Présenter les apports essentiels à la théorie économique IBPM 1 Problèmes Economiques Contemporains 2014-2015 B. Histoire de la pensée économique o La multiplicité des définitions de la science économique a été la conséquence de la diversité des courants

d'une surpopulation relative inhérente aux évolutions historiques du capitalisme. La surpopulation, la misère et le chômage seraient liés à un aménagement des structures productives qui se traduirait par la valorisation du capital (les machines) par rapport au travail humain. Il distingue alors, au sein de la classe ouvrière, l'armée active composée des ouvriers au travail et l'armée de réserve industrielle (les chômeurs). Marx est à l'origine du concept de plus-value. Il reprend la vision ricardienne

consommation avec deux grands courants économiques, le Keynésianisme et les néoclassiques. Nous verrons les divergences entre ces deux notions par le biais de la pensée de plusieurs économistes. Comme le définit la théorie néoclassique, la consommation est contrainte par le revenu des ménages. La vision néoclassique propose la théorie du choix du consommateur. Le consommateur doit maximiser sa satisfaction. La théorie néoclassique s’intéresse à la satisfaction ou à l’utilité marginale que peut procurer

politique ou science économique (Aristote), économique ( à partir du XXème siècle Machall), dont l’économiste Britannique Adam Smith (économiste classique). Economie : Satisfaire un certain nombre de besoins en fonction de ressources rares (approche Néoclassique). Créer et répartir les richesses (approche Keynésienne). L’économie comme toutes les sciences humaines et sociales a pour objectif d’étudier les causes et conséquences des comportements humains. Tous les agents économiques ont un certain nombre