L Art Imite T Il La Nature Hegel

technique et l’art puis dans un second temps nous étudieront les différentes facettes de l’utilité, enfin nous pourrions nous demander quelles seraient les stipulations pour que l’art soit inutile.Observons dans un premier ce qui nous inciterait à opposer art et utilité, avant de comprendre, dans un deuxième temps, l’utilité de l’art qui pourrait bien être, paradoxalement, de nous libérer d'un monde machinal et pragmatique, où prédomine la recherche de l’utile.Du point de vue de l’utilité au sens de ce qui

tout aussi bien être amenés à supposer qu'une t-elle prise de conscience pourrait accompagner toutes les autres activités de production auxquelles l'être humain se livre de fait notamment la puissance que la technique industrielle lui confit sur la nature peut plus particulièrement la mener à affirmer tout ce qui sépare son humanité de la simple existence naturelle. En même temps les activités proprement techniques de l'être humain répondent pour la plus part à des besoins primaires ou secondaires

L’ART L’art au sens large s’oppose à la nature, parce que c’est le produit de l’activité humaine. L’art produit ce qui est artificiel, ce qui s’oppose donc au naturel. L’art de l’artisan est utile, l’art de l’artiste recherche une valeur, du moins au sens classique : la beauté. Une question se pose alors : comment l’artiste parvient-il à produire, à créer la beauté : Est-ce qu’il copie une beauté déjà existante ? Dans le cas où l’artiste serait créateur, et non imitateur, devrait-il cette capacité

lié à la beauté ? INTRODUCTION L'art désigne la création artistique, la recherche du beau. Mais il désigne aussi la technique, le savoir-faire. La question se pose donc : l'art est-il nécessairement lié à la beauté ? Peut-on considérer qu'il y a art s'il n'y a pas beauté ? La beauté est-elle une condition de l'art ? Sa définition ? En tant que pratique, il est l'action de l'artisan produisant une œuvre grâce à sa maîtrise technique, ou celle de l'artiste dont le talent, voire le génie permettent

perdre la notion d’art, en la vidant de son sens (si tout est de l’art, on ne peut distinguer ce qui est de l’art et ce qui n’en est pas) ? Il est donc nécessaire de chercher à définir ce qu’est une œuvre d’art. On a tendance à mettre en relation art et beauté : l’art se définirait par la création de la beauté. Mais une telle définition pose des problèmes : on trouve des œuvres, que l’on considère comme des œuvres d’art, sans qu’elles soient belles (l’urinoir de Duchamp par exemple). Ne sont-elles

l’art nous détourne du réel et ne nous le représente imparfaitement, de manière déformée, c’est que là n’est pas son but : la finalité première de l’art n’est pas la pure et simple imitation du réel, de la nature. Mais qu’elle est cette finalité ? L’art peut être tout et rien à la fois. Si l’art imite moins bien que la réalité, l’art est tout de même un ensemble de techniques pratiques. L’œuvre d’art est un objet technique comme nous l’avons dit auparant. Or la technique est une création de l’homme

L’effort de considérer l’objet sans souci de son utilité et en suspendant la satisfaction esthétique a la nécessité interne de l’objet. III) 1) Le réel de l’esthétique À quel type de chose se rapporte l’ expérience de l’esthétique ? A partir d’un art tel que la musique III)1) a)« L’oreille et le nombre » D’où vient le plaisir prit à l’écoute de la musique ? Deux grande réponses se sont exposé et opposées dés l’Antiquité : La réponse sensualiste et la réponse rationaliste. Pythagore (VI avant

dans le cadre d’un travail. Le Moyen Age distingue les arts libéraux enseignés à la faculté, comme la philosophie, la grammaire, par exemple, des arts mécaniques où interviennent les opérations de la main. Ainsi, la peinture est-elle considérée comme art mécanique jusqu’à ce que la Renaissance change son statut. Léonard la définira alors comme « chose mentale », œuvre de l’esprit. Ce n’est qu’au XVIII° siècle que se dégage la notion de beaux arts par une distinction entre l’artiste et l’artisan, avec

du réel. Références possibles : Platon, La république, X C. Art et imitation de la nature. Si l’art nous détourne du réel et ne nous le représente imparfaitement, de manière déformée, c’est que là n’est pas son but : la finalité première de l’art n’est pas la pure et simple imitation du réel, de la nature. Références possibles : Hegel, Esthétique II. En tant qu’objet technique, l’art appartient au réel A. L’art imite la nature. L’œuvre d’art est un objet technique

L'esthétique est une discipline philosophique ayant pour objet les perceptions, les sens, le beau (dans la nature ou l'art), ou exclusivement ce qui se rapporte au concept de l'art. L'esthétique correspond ainsi au domaine désigné jusqu'au XVIIIe siècle par science du beau ou critique du goût, et devient depuis le XIXe siècle la philosophie de l'art. L'esthétique se rapporte, par exemple, aux émotions provoquées par une œuvre d'art (ou certains gestes, attitudes, choses), aux jugements de l'œuvre