L Art Nous éloigne T Elle Ou Nous Rapproche T Elle Du Réel

l’humanisme. On va prendre la définition de l’humanisme pour pouvoir expliquer notre problématique. De quelle manière les avant-gardes remettent-ils en question l’humanisme ? On va étudier les artistes Moderne Cézanne : il cherchait à baser son art sur la nature. Il dira d’ailleurs : « nous sommes jamais ni trop sincère ni trop soumis à la nature ». Autrement dit, pour lui l’éducation du travail du peintre commence par l’observation assidue de la nature. Une observation forte de la nature, jusqu’à

des artistes qui n’y étaient pas allés. De même, l’image littéraire de l’Amérique était due en parties à des écrivains qui ne traversèrent jamais l’Atlantique ; Ronsard, Montaigne, Shakespeare, Hobbes, Rousseau, Byron... Cette vision née à la fois du réel et de l’imaginaire, empruntant son expression formelle à l’Europe et à sa coloration seule à l’Amérique, suscita certaines idées fausses qui subsistent encore. Mais elle porte en elle sa justification artistique parce qu’elle exprime les rêves européens

d’un tag, d’une décoration un même souci de la « beauté » qui en font, sans conteste, en partie du moins, des arts. La gastronomie, par exemple, est-elle un art ? Mais qu’entend-on par « art » généralement ? L’étymologie (latin « ars ») désigne l’art comme talent ou savoir-faire (exemple : l’art de séduire). Le sens ancien confond art et technique : l’art est l’ensemble de procédés appliquant un savoir et permettant de produire un résultat (synonyme de technique). Le sens moderne est plus

théoriques se fondent d'abord sur la firme et non sur l'industrie2, il est éminemment nécessaire non seulement de définir clairement le mot « firme », mais également de mont rernettement ce qui sépare, le cas échéant, cette dernière de la «firme du monde réel». Comme l'écrit J. Robinson, «les hypothèses utilisées en économie doivent faire l'objet de deux questions : sont-elles utilisables? correspondent-elles au monde réeP ? » Même si, ainsi que cet auteur le fait remarquer, «il se trouve le plus souvent

l'Islam. Rejet réciproque entre les pays et les migrants. ==> Le droit comparé doit servir à dépasser ces confrontations, doit permettre d'accepter la pluralité des systèmes juridiques, et donc de pouvoir critiquer ces différents droits. B- Le réel intérêt de la fonction critique Dans tout acte public, on a tendance à identifier deux facteurs : le facteur politique et le facteur juridique. On valorise le facteur politique et le facteur juridique est considéré comme étant un frein aux actions

métaphysique, ne contient rien de positif. « il ne s'est pas embarrassé de métaphysique » (Romains), de considérations abstraites, morales... modernité [mCdDYnite] n. f. • 1823; de moderne   ♦ Caractère de ce qui est moderne, notamment en art. La modernité d'une œuvre. « La vulgarité, la modernité de la douane et du passeport » (Chateaubriand). La modernité d'une architecture. ⊗ CONTR. Antiquité, archaïsme. positivisme [pozitivism] n. m. • 1830 « caractère de rigueur scientifique »;

après avoir voyagé. Il y peindra ses séries «meules de foin» et «Cathédrale de Rouen». Il voyagera encore et s’arrêtera en Norvège où il eu l’idée de peindre «les Nymphéas». Il perdra la vue et mourra en 1926. Monet, dans ce tableau, a voulu se rapprocher au plus près du motif. Son cadrage est serré sur le sujet, il n’est question que de la nature. Certes, les Nymphéas restent identifiables. Mais l’absence de ciel en fait un tableau Impressionnisme L’impressionnisme est un mouvement artistique

(l'édition) comme on peut abuser de la parole ; mais quoi ! nous privera-t-on d'une chose si légitime, sous prétexte qu'on peut en faire un mauvais usage ? j'aimerais autant qu'on nous défendit de boire, dans la crainte que quelqu'un ne s'enivre". A rapprocher de "Partagez-vous l'opinion émise par François de Rose, ancien ambassadeur de France : "Il n'y a pas de démocratie sans liberté de la presse et mieux vaut une indiscrétion qu'un bâillon" (sujet du concours d'Officier de Paix, 1982). 29.Il soutient

l’emploi du temps ordinaire · Les menus plaisirs • Un lieu de l’effacement · Anesthésie et dévaluation · L’ambivalence du quotidien (p.17) (p.21) II • Y a-t-il une esthétique du quotidien ? • Art et quotidien, une opposition fondamentale (p.27) · Le quotidien présente alors que l’art re-présente · La sphère de l’art se situe au-dessus des choses quotidiennes • La rencontre problématique de l’art et du quotidien

Avant-propos Carole Talon-Hugon p. 9-12 Texte | Citation | Auteur Texte intégral Signaler ce document 1Jusqu’au xixe siècle l’art a toujours entretenu avec le politique des relations complexes et avouées (art au service du Prince, mécénat soutenant la création, etc.). Sur le plan théorique, que l’on pense, comme Schiller, l’art par essence favorable au lien social, ou, comme Platon au livre II de La République, dangereux pour la Cité, on ne met pas en doute que l’art puisse être évalué