L'Associé du diable

CITATIONS SUR L'AMITIÉ L'amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier. Sans diable non plus. Une religion qui n'est pas étrangère à l'amour. Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites, où le silence est possible. Tahar BEN JELLOUN (Eloge de l'amitié. Paris, Arléa, 1996, p. 9) *     *     * L'amitié ne rend pas le malheur plus léger, mais en se faisant présence et dévouement, elle permet d'en partager le poids, et ouvre les portes de l'apaisement. Tahar BEN JELLOUN (Eloge

d’Or. Jurer ; blasphémer, injurier Dieu c’est renier sa foi, c’est se révoltant contre lui. ( DJ tente maléfiquement par étapes le P : il en parle, le sort, le rapproche et le met sous le nez. Or + DJ ( Mais pauvre fidèle refuse le pacte de l’associer du diable. B) DJ renonce à insister ( DJ renonce, il est lassé, il a perdu ? ( Non, outré le fait qu’il lui donne mais seulement pour l’amour de l’humanité, il lui donne de façon non chrétienne. ( DJ s’est donc refuse à la logique chrétienne

et enfin le troisième ordre composer des paysans. L’Église met la femme de coter ne pouvant pas dire la messe elle est exclu du première ordre, elle doit même ce taire dans les églises. Le clergé a une image négative de la femme et l'associe au péché et au mal. Les femmes de l’aristocratie on seulement un rôle de mère et d'épouse elle ne peuvent ni travailler ni prendre part à des combats. Au 13ém siècle les chefs laïcs ou membre du clergé ont le droit de posséder une armé

histoire relate le destin d'un savant homme, Faust, déçu par l'aporie à laquelle le condamne son art, contractant un pacte avec le Diable, dit Méphistophélès, qui lui offre une deuxième vie, tournée cette fois-ci vers les plaisirs sensibles, au prix de son âme. Dans la plupart des versions ultérieures du récit fantastique, l’âme de Faust demeure sienne après que le Diable a accompli ses vœux. Origine Le mythe plonge ses racines dans l'histoire. Il semble qu'il repose sur la vie d'un certain Maître

son vallet affirme qu’il est un épouseur a toute mains prouvant que Dom Juan souhaite seulement profiter des plaisirs de la vie de manière égoiste en abandonnant ses conquetes quand il s’en lasse. Selon Sganarelle, son maitre est bien pire que le diable, pour montrer cela a son interlocuteur il le traite également de :  « bete brute » ainsi que de « sardanapalte ». De plus cela montre que Dom Juan a un goût pour la liberté totale, il ne veut pas etre limité et trangresse donc les regle morale et

l’animal dans les «Fleurs du Mal » en analysant quatre animaux différents. Le chat est un animal teinté de dualité. Doux, affectueux et casanier, il est aussi indomptable et sournois. Considéré comme un dieu lors de l’Égypte ancienne, on l’associe au diable dès le Moyen-âge. De nos jours il est l’un de nos plus fidèles compagnons. Dans « Les Fleurs du Mal », le chat semble tenir la place la plus importante parmi les animaux. Baudelaire avoue lui-même être fasciné par cet animal. C’est pourquoi

maître Géronte est tellement avare qu'il ne peut supporter de donner cinq cents écus pour « sauver » son fils. « N'est ce pas quatre cents écus que tu dis ? »(l.125) « Cinq cents écus ! N'a-t-il point de conscience »(l.84). Molière l'associe au comique de répétition « Que diable allait t-il faire dans cette galère ? » (l.49,65,78,94,111,129, 170) lorsque Géronte s’aperçoit qu'il devra débourser une grosse somme. Dans les quatre textes, on observe un comique de situation et un comique de geste. Dans

dans son laboratoire obscure) / « lampe » (en rejet) = connaissance, savoir pierre philosophale (savoir plus grand) / adjectif « hermétiques » = Hermès Trismégiste( fondateur de l'alchimie) signifie aussi « fermé, antithèse si on l'associe avec « lampe » ? / ref à Lulle légende qu’il a trouvé la pierre philosophale / ainsi, dès le départ, cette science est présentée comme opaque et mystérieuse / couleurs de la strophe = sombres « nuit », « hermétique » ce qui pourrait renvoyer à l'une

désirs. Entrainé par la volonté de s'oublier, il cherche à se retrouver en satisfaisant sa concupiscence et poursuit tout ce qui flatte ses sens, son orgueil, sa cupidité. La vanité du monde, c'est donc tout ce qui nous détourne du salut, c'est le diable caché sous des apparences terrestres. L'Homme, « dans l'état de la création », possédait l'innocence et la grâce mais, « en l'état de la corruption et du péché », il est « semblable aux bêtes » (frag.122). II/ Les diverses vanités A) La gloire

Athalie6 sont les ouvrages du démon ; qu'un homme qui fait servir sur sa table pour deux cents écus de marée un jour de carême fait immanquablement son salut, et qu'un pauvre homme qui mange pour deux sous et demi de mouton va pour jamais à tous les diables. […] Misérables médecins des âmes, vous criez pendant cinq quarts d'heure sur quelques piqûres d'épingle, et vous ne dites rien sur la maladie qui nous déchire en mille morceaux ! Philosophes moralistes, brûlez tous vos livres. Tant que le caprice