L'Astrée

illustration de la langue française) | |3. Le baroque, première moitié du 17ème : Guerre des religions Règne de Louis 13 |Les écrivains baroques représentent un monde instable en constante métamorphose. |Corneille, (L’illusion comique) D’Urfé, (L’Astrée) | |4. Le classicisme, seconde moitié du 17ème : Règne de Louis 14 |Recherche l’équilibre et l’harmonie. Idéal esthétique répondant à des règles strictes (règles de trois unités) La poésie: fable |Molière(Tartuffe) Boileau(Art poétique) de La

Honoré D'urfé,poète baroque,est l’ateur de l’Astrée premier roman de la litérature Française. Dans l’extrait n’est pas présentée la protagoniste Astrée,mais un personnage secondaire, Diane,qui a vecu, dans sa prope façon, la même douleur d’Astrée: la trahison. Dinae n’exprime pas sa colère pour Sylvandre, en fait les deux personnages qui sont présents dans l’extrait sont Diane (représentée pour le pronom personnel présent tout au long du texte) et le pholosophe Hèraclite (représenté par l.3):

conventionnel reflétant les manières de vivre de l’aristocratie. Les intrigues amoureuses sont compliquées à plaisir sans souci de vraisemblance. Le lecteur est entraîné dans le sillage d’une imagination débridée. Le roman précieux, sentimental ou héroïque (L’Astrée d’Honoré d’ Urfé, Le Grand Cyrus de Mlle de Scudéry) possède ces caractéristiques. Charles Sorel dans L’Histoire comique de Francion le parodie. Il tourne en dérision les élans poétiques et épiques en racontant les tribulations amoureuses d’un gentilhomme

précarité, violence, mort,… 5) goût du bizarre et de l’artifice, voire du merveilleux : illusions, travestis, sosies,… Auteurs et œuvres Agrippa d’Aubigné, poèmes, Les Tragiques Sponde, poèmes, Sonnets de la mort Honoré d’Urfé, roman, L’Astrée M. de Scudéry, roman, Clélie Paul Scarron, roman, Roman comique Cyrano de Bergerac, roman, Histoire comique des Etats et Empires du Soleil Jean Rotrou, pièce, Les Sosies Pierre Corneille, pièce, L’Illusion comique Auteurs étrangers « Langue

jeux de société (le cœur volé, la chasse à l’amour ou encore le jeu du corbillon – « J’aime tel ou telle pour tels qualités et défauts. »). Le salon vivait au rythme des divertissements littéraires, et, en l’honneur d’Honoré D’Urfé, l’auteur de l’Astrée, tous prirent des pseudonymes romanesques : Ainsi, Catherine de Rambouillet devint Arthénice… - Le Salon de Mme de Scudéry Ancienne habituée de la Chambre Bleue, elle décide de convier tous les samedis après-midis, des bourgeoises

grands auteurs de tragédies de son siècle. Encore étudiant, il découvre en 1620 au Jeu de Paume de Rouen, les pièces d’Hardy, de Calderon, et de Lope De Vega. Il décide alors de se consacrer au théâtre : inspiré par le genre pastoral, et notamment l’Astrée (1607-1627) d’Honoré d’Urfé, il met en scène Mélite en 1629, sa pièce inaugurale, première des six comédies qu’il écrit entre 1629 et 1636 ( La Veuve 1636, La Galerie du Palais 1633, La Suivante 1634, La Place royale 1634, l’Illusion comique 1636)

d'Agnès Petit. Jean de La Fontaine commence ses études au collège de Château-Thierry, avec son condisciple François Maucroix, ami de toujours et parrain. En 1641, il entre à l’Oratoire. Mais dès 1642, il quitte cette carrière religieuse, préférant lire L'Astrée, d’Honoré d'Urfé. Il reprend des études de droit à Paris et fréquente un cercle de jeunes poètes, il obtient en 1649, un diplôme d’avocat au parlement de Paris. Après avoir commencé sa carrière comme avocat, Jean de La Fontaine s'installe à Paris

livrets d’Opéra. Ce sont surtout ses fables qui se finissent toutes par une morale qui ont été reconnu après sa mort. Entre 1621 et 1641 la Fontaine reste à Château-Thierry jusqu’en classe de troisième. La Fontaine est passionné par la lecture de l’Astrée d’Honoré d’Urfé. Cet ouvrage restera avec lui jusqu’à sa mort. Vers 1646, il fait ses études de droit à Paris où il fréquente de nombreux poètes spécialisés dans la justice. En 1647 Jean de la Fontaine se marie avec Marie Héricart à vingt-six

leurs sentiments (par la passion de l'amour romanesque, opposé aux grossièretés du mariage). • En littérature, la préciosité se développe dans le roman et dans une poésie plus courte, adaptée à la pratique galante et aux jeux de salons : on commente L'Astrée d'Honoré d'Urfé (l'épopée amoureuse de deux bergers au temps des Gaulois et des Druides), puis Le Grand Cyrus et Clélie que Mlle de Scudéry publie en vingt volumes ; on écrit des « guirlandes » de poèmes, alternant madrigaux, épigrammes, sonnets

français du XVIIe siècle qui repose sur la volonté de se distinguer par l'apparence, et plus précisément le fait de posséder des bijoux précieux et des grands vêtements, de tissu chers ; de se distinguer par son savoir Artistes : Honoré d’Urfé -> L’Astrée (1607) Classicisme : Mouvement culturel, esthétique et artistique qui se développe en France, et plus largement en Europe, à la frontière de 1660 à 1715. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal et qui développent