L Aventure Ambiguë

la vie intérieure du poète en proie à la joie ou au long tourment. L'allusion à la nuit vers 7-8 (« les flots.que la nuit me voile ») montre que la sensation visuelle cède sa place au ressenti du mouvement pur (« j'escalade le dos. »). Un lexique ambigu vient servir cette figure de l'analogie qui, amorcée par une comparaison « comme une mer », s'épanouit en une vaste métaphore structurelle. Un verbe comme « vibrer » s'applique au trois domaines des sens : vibration des ondes sonores, de la coque

immorale[4]. En effet, comme le souligne Euripide dans Hécube, même si Ulysse, en dépit de la sottise de ses compagnons, parvient à rentrer chez lui, et même si les monstres sont vaincus, ce n’est pas la morale qui triomphe, mais bien des valeurs plus ambiguës, comme la cruauté et la fourberie. Ulysse va à la rencontre des monstres principalement par curiosité et cupidité. Or, il s’agit souvent d’un acte imprudent qui entraîne la mort des compagnons, comme chez Polyphème, ou encore, pour ce qui est de

Le Mariage de Figaro Beaumarchais Introduction I. Résumé de l’œuvre II. Analyse des personnages Figaro Suzanne Comte Almaviva La comtesse Cherubin III. Axes d’analyse Les intrigues Une comédie ambigüe Une critique de la société Introduction La Folle Journée ou le Mariage de Figaro est une comédie en cinq actes écrite par Beaumarchais en 1778. La première représentation officielle du Mariage de Figaro eut lieu le 27 avril 1784 après plusieurs années de censure. La pièce est considérée

voudrait-il s’exprimer, du moins devrait-il savoir que la « chose » intérieure qu’il a l’intention de « traduire » n’est elle-même qu’un dictionnaire tout composé, dont les mots ne peuvent s’expliquer qu’à travers d’autres mots, et ceci indéfiniment : aventure qui advient exemplairement au jeune Thomas de Quincey, si fort en grec que pour traduire des images absolument modernes, nous dit Baudelaire «  il avait crée pour lui un dictionnaire toujours prêt, bien autrement complexe et étendu que celui qui

livres. Mais très jeune, il doit subvenir à ses besoins. Il part à Paris, devient employé de bureau, répétiteur, puis en 1901-1902, précepteur de la fille d'une vicomtesse franco-allemande dans un château en Rhénanie. Il y connait sa première grande aventure sentimentale avec la jeune gouvernante anglaise. De retour à Paris, il devient l'ami des peintres modernes, Picasso, Derain, Vlaminck. Il contribue à faire reconnaître la peinture naïve du Douanier Rousseau. En 1911, on l'accuse, à tort, d'avoir

méchant homme » situé dans la scène 1 de l'acte 1 de Don Juan. Cette partie met à l'oeuvre une discussion entre Sganarelle, le valet de Don Juan et Gusman, l'écuyer de son épouse, Done Elvire. Le héros a abandonné sa femme à la quête de nouvelles aventures amoureuses ce qui cause un émoi chez les deux servants. À l'aide d'arguments et de preuves textuelles, nous allons démontrer l’attitude ambivalente de Sganarelle face à Don Juan. Dans la première partie de l'analyse, il sera question de la tromperie

vous apprendre non seulement mes malheurs et mes peines mais encore mes désordres et mes plus honteuses faiblesses ». Toutefois cet aveu est ambigu : le récite ne cesse d’osciller entre aveux de faiblesse et valorisation de soi, de telle sorte que la confession revêt bien souvent l’aspect d’un plaidoyer. Il est étonnant que DG ne fasse pas le récit de ses aventures à Tiberge, l’ami fidèle qui est venu le rejoindre au péril de sa vie en Amérique. La position d’ecclésiastique de Tiberge tendrait à faire

associations libres. D’abord fasciné par la poésie mallarméenne, il fait en 1915 la connaissance de Guillaume Apollinaire. Cette rencontre le conforte dans le besoin de définir une idée plus moderne de la vie poétique. Il veut faire du surréalisme une aventure collective. Avec Louis Aragon et Philippe Soupault, il fonde le mouvement surréaliste après un passage par le Dadaïsme qu'il quitte parce qu'il souhaite que la poésie n'en reste pas à une révolte stérile; il écrit le premier Manifeste (1924).

séparer Figaro et Suzanne, Chérubin intervient alors que Suzanne déplore l'attitude autoritaire de Marceline. Il apporte gaieté et sensualité dans la scène. On verra comment ce personnage ambigu concourt à la polyphonie de la scène, à la fois lyrique et comique. LECTURE ANALYTIQUE I : Chérubin, un personnage ambigu. 1 : Le portrait de Suzanne. 2 : Son autoportrait. II : Chérubin, figure du Désir. 1 : Entre mariage et libertinage, une troisième voie ? 2 : Polyphonie de la scène

Il y eut un marché entre le juif et l’Inquisiteur afin de se partager chacun leur tour Cunégonde. Invitée à l’autodafé, Cunégonde reconnut Candide et Pangloss. Voilà son histoire. Alors que Candide et Cunégonde sont en train de se raconter leurs aventures, Don Issacar vient les interrompre. Chapitre 9 : Jaloux de Candide, Don Issacar sort son poignard mais Candide le tue avec son épée. L’Inquisiteur arrive à son tour mais Candide le tue également. Cunégonde, Candide et la vielle prennent trois chevaux