L Aventure Ambiguë

peut être qu’il veut sune vision très noire de la passion amoureuse l'i est en réalité de l'gns le registre de l'onnages ont-ils vécu une aventure tr’éloigner de toute tonalité tragique. Si il se fait passer par un être prisonnier d’une providence fatale, il donne au texte une note tragique et il se déresponsabilise. Les personnages ont-ils vécu une aventure tragique ou dégrieux manipule-t-il le récit ? On a l’impression que les coups du sort se multiplient, on est dans un registre ou l’on perçoit

| | |Le système des personnages |--fin : évolue, affirmation de soi | | | |Un personnage ambigu : le gardien de l’oubli (conservateur | | | |d’objets) | | |

son ordre » châtiment divin domination de dj sur sg « bride; réduit » « courroux du ciel » - peur du valet (fin de la scene) - distinction social dj: noblesse - valorisation de dj® grandeur d’ame ? => Sentiments ambigus du valet répulsion fascination crainte / admiration l78 81 sentiment du spectateur ? Synthése : - ici portrait d’un libertin mais aussi évocation d’un personnage complexe - utilisation de la double énonciation

qui, comme démontré, est plutôt coutumier à cette époque pour ce genre de littérature, mais plutôt dans l’exploitation que Jules Verne fait des quelques femmes qu’il intègre à ses aventures : « Le sentiment que peut avoir le lecteur vient, en fait, non pas d'une véritable absence de la femme, mais d'une présence ambiguë, à éclipses, et qui peut laisser sur sa faim, lui communiquer une sorte d'insatisfaction […].[3] » Cette ambiguïté se concrétise d’ailleurs totalement dans le personnage d’Aouda :

pense même trahir le Christ par cet amour d’un autre ; mais sa peur du futur en tant que femme mariée surpasse son amour pour Perdican. Cette peur fut incitée en elle par les histoires de sa compagne de couvent Louise, qui lui narra les tristes aventures de son mariage avec un bourgeois : comment leur amour s’est terni au fil du mariage, comment elle fut forcée à avoir de multiples amants pour se faire satisfaire, et comment devant ses yeux, tout se dégrada. Mais Camille ne veut pas de cet amour

les Phéaciens, Ulysse garde volontairement le silence pour susciter l’envie chez Nausicaa de le connaître. Pour cela, il garde son anonymat et ne révèle pas son identité jusqu’au chant IX, une fois qu’il a été poussé à s’exprimer pour conter ses aventures. Il apparaît donc qu’Ulysse se livre à une forme de duperie pour manipuler les esprits. Ainsi, est-il certes un héros, mais avec quelques failles. Cette faiblesse relative d’Ulysse semble le rendre plus accessible, mais qu’est-ce qui fait de lui

maillon singulier de la B.H. 2 , d'être exclusivement consacré à la mythologie grecque. Si, en soi, l'inclusion des anciens mythes dans une histoire universelle relève, entre autres, d'une ambition d'exhaustivité, elle a aussi pour effet de rendre ambigu le statut du livre, qui semble dès lors naviguer entre deux appartenances : son contenu purement mythologique semble le classer a priori au rang des œuvres mythographiques, tandis que son intégration dans une histoire universelle paraît l'inscrire

Pour lire un poème, il faut une vie entière." Christian Bobin (1951) "Tout homme bien portant peut se passer de manger pendant deux jours, de poésie jamais." Charles Baudelaire (1821-1867) "La poésie n’est pas une chose rassurante, c’est une aventure colossale." Eugène Guillevic (1907-1997) "La poésie est de toutes les eaux claires celle qui s’attarde le moins aux reflets de ses ponts." René Char (1907-1988 "Le “qu’est-ce que ça veut dire ?” est le reproche qu’on fait au poète qui n’a pas

(1970), Soni Labou Tansi, La Vie et demie (1979), Peter Abrahams, Rouge est Le Sang des Noirs (1959), Amadou Hampaté Bâ, L’étrange destin de Wrangrin, (1973), etc. Le roman de l’aventure européenne subsiste avec Cheikh Hamidou Kane, L’Aventure Ambiguë (1961), Camara Laye, Dramouss (1966), etc. Le roman historique connaît également un net développement : Boubacar Boris Diop, Le Temps de Tamango (1981), Mamadou Seyni M’bengue, Le Royaume de Sable (1976), etc. Le roman autobiographique se développe

Démophon (jamais mentionné par Racine dans la pièce). Thésée a donc un passé glorieux. La pièce retentit, par allusion ou récits épiques, de ses exploits. Thésée, comme Hippolyte, a sa « faiblesse », et ce point faible, ce sont les femmes. Ses aventures galantes sont évoquées à plusieurs reprises dans la pièce, comme un thème récurrent, au vers 23 (« jeunes erreurs »), aux vers 85-89, et son voyage en Epire, dont les dangers ont alimenté le bruit de la mort du roi, avait un motif de la même trempe