L Aventure Ambiguë

libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses[2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambiguë. Certes, Dom Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par la terre), la conclusion semble donc morale (comme on peut l'attendre à l'époque). Néanmoins, peut-on dire qu'un

libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses[2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambiguë. Certes, Dom Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par la terre), la conclusion semble donc morale (comme on peut l'attendre à l'époque). Néanmoins, peut-on dire qu'un

transformations , en enfant chez les Phéaciens puis à son arrivée en Ithaque , elle se transforme en jeune pâtre de troupeau au chant XIII. C-Les dieux se répartissent en adjuvant et opposant: Opposant majeur Poséidon Certaines divinités sont plus ambiguës comme Circé , Calypso, Zeus Les adjuvant sont Hermès, Ino ,ainsi que Athéna II- Des dieux et des hommes A-Des dieux semblables aux hommes On peut voir que les dieux prennent une figure humaine : Calypso s'unit à un mortel ,On les voient

consommateur, par la consommation de denré produite dans les colonies. D'autres publicités quand a elle se servent de clichés tel que le casque colonial, le soleil et les palmiers pour vendre leur produits. Le français moyen voit les colonies comme une aventure a la fois rude et facile, et se réjouit de la consommation de denrés issues de la colonisation tel que les céréales et agrumes . La métropole vit a l'heure coloniale. La bourgeoisie française propage une image de prospérité entre la France

² Cher Monsieur Prévost, il est pour moi un grand honneur de pouvoir vous adresser ce courrier. Je suis lectrice, lectrice du livre Manon Lescaut, histoire faisant partie des Mémoires et aventures d'un homme de qualité. Je me permets alors, de vous faire part de mes sentiments par rapport aux personnages tout au long de malecture. Lecture, soit dit en passant, appliquée et intéressée. Le personnage de tiberge : 1) . Tiberge lui est présenté dans tout le roman comme un homme dévoué, fidèle

"je" et "il" alternent façon étroite "j'eus beau lui crier : Monsieur ! (...)" c. réplique A sont ici singulièrement brèves étonnement apparent A voca qu'elle emploie "quelle aventure !" montre pas complètement insensible à aveux, mais sitance négligente surtt curiosité II) Un valet metteur en scène a. portrait Do ambigu, Du insiste sur qualités ancien maître : décrit naturellement plein "bon sens", "esprit jovial", "humeur charmante" Pourtt aussi décrit comme un ê que maladie amoureue a rendu

rétrospection servira à expliquer le comportement de Daisy. En développant les sensations tout au cours de la lecture, la narration explique la confusion d’émotions que subit Daisy. Bien que « monotone », la liste des 30 libérés sollicite des réactions ambiguës. D’un côté, Daisy veut arrêter la lecture, de l’autre côté « une voix » la commande de poursuivre. Cette voix n’est pas caractérisée davantage. Étant donné le contexte et la focalisation intérieure, nous assumons que cette voix fait partie de l’intérieur

Perdant peu à peu de son identité – il se fait significativement appelé « Personne » -, Ulysse ne pourra recouvrer son identité et son nom qu’à partir du moment où il entendra le récit de ses aventures dans la bouche de Démodocos chez les Phéaciens et où il deviendra la narrateur de ses propres aventures. Certes, Ulysse donne à Polyphème son nom à la fin du passage, mais c’est essentiellement pour présenter son acte comme l’accomplissement de la volonté divine (il aurait été prévu par le devin Télémos)

sentiment amer de l’injustice. Antoine tentait de se rendre détestable, il blessait moralement amis, femme et enfant afin qu’aucun d’eux ne le regrette. Je suis admirative… Cet homme est quelqu’un de bien ; On pourrait s’y méprendre, le personnage est ambigu. Mais pour ma part, je ne vois dans ses actes qu’un surplus d’amour. Méliot refuse de dire adieu à a ses proches car leur peine serait insoutenable. Il se sent coupable d’abandonner malgré lui sa femme et ses enfants. Se rendre détestable pour ne

liens de famille, c’est sacré ». Mais ce lien n’est pas une vérité absolue. L’attitude de Lisa vis-à-vis de son beau-frère Florent est très négative car il porte atteinte à la respectabilité de la famille. (113) « Un homme qui a eu les plus vilaines aventures(...) ». Elle chasse de l’univers familial de Quenu Florent. (55) « Tu as une femme, tu as une fille, tu te dois à elles avant tout. ». Cette anaphore renforce le caractère exclusif de la relation familial que devrait avoir Quenu. Nous constatons