L Aveu Au Mari La Princesse De Cléves

1 – FR10-13 33 L’exotisme n’est donc pas une adaptation ; n’est donc pas la compréhension parfaite d’un hors soi-même qu’on étreindrait en soi, mais la perception aiguë et immédiate d’une incompréhensibilité éternelle. Partons donc de cet aveu d’impénétrabilité. Ne nous flattons pas d’assimiler les mœurs, les races, les nations, les autres ; mais au contraire réjouissons-nous de ne le pouvoir jamais ; nous réservant ainsi la perdurabilité du plaisir de sentir le Divers. (C’est ici que

Rupture justifiée par la chute (le fait qu’elle cède à l’adultère).Balzac joue sur les nuances = originalité de l’approche de la condition féminine et de la conjugalité. Le personnage Julie devrait être heureuse (on ne l’a pas forcé au mariage). Son mari est absent après un mois de mariage et il confie sa femme Julie à sa tante chez qui Julie rencontrera un autre homme. Union adultère (elle a un enfant avec son amant) + amour platonique. L’harmonie familiale est ainsi brisée. Balzac ne se limite pas

voulez-vous de plus ? Peut-on se figurer de mariage plus doux ? D’union plus délicieuse ? Silvia. Délicieuse ! Que tu es folle avec tes expressions ! Lisette. Ma foi, Madame, c’est qu’il est heureux qu’un amant de cette espèce-là, veuille se marier dans les formes ; il n’y a presque point de fille, s’il lui faisait la cour, qui ne fût en danger de l’épouser sans cérémonie ; aimable, bien fait, voilà de quoi vivre pour l’amour, sociable et spirituel, voilà pour l’entretien de la société : pardi

Texte 1Incipit de La Princesses de Clèves | L’auteur | - Mme de la Fayette - Née à Paris en 1634, de son vrai nom Pioche de la Vergne. - Education soignée littéraire et mondaine. - Fréquentation hâtive des salons mondains. - Propriétaire de son propre salon où elle réunit les membres de la haute société (Henriette d’Angleterre, Mme de Sévigné, La Roche Foucault…). - Type même de la femme savante, cultivée et dotée d’une parfaite maîtrise des codes de l’aristocratie. - Femme

l'écrivain. LECTURE ANALYTIQUE N°13 : Phèdre, Racine, Acte V, scène 7 (1677). Problématique : En quoi la mise en scène tragique de la mort de l'hérïne permet-elle une fin morale ? Introduction : -dernière scène : aveu et dénouement. -Phèdre avoue a Thésée le crime dont elle est coupable, celui d'Hyppolyte car il a rejeté son amour. -Phèdre s'empoisonne → mort sur scène alors qu ela règle de la bienséance l'interdit + mort nécéssaire car elle est meurtière. -texte

Cléanthis pour singer les maîtres >>> comportements soulignant l'effet de caricature et créant une opposition avec la tonalité lyrique de la scène d'amour Arlequin a parcouru toute la progression d'une cour galante: promenade, compliments, agenouillements, aveu III. Le théâtre éducatif : fonction didactique a) une leçon pour les maîtres Brutalité des maîtres et des valets le caractère du langage amoureux, caractère superficiel des maîtres caractère théâtral du jeu de l'amour b) un autre niveau de critique

leur gloire et livrées aux chimères du cœur, proies difficiles et vraiment dignes de l'attention des conquérants : comme la Princesse de Clèves, qui leur a servi de modèle, elles se croient armées par les conseils qu'elles ont reçus et par les lectures qu'elles ont faites ; attaquées, elles recourent aux mêmes parades que leur devancière (prudence, fuite, voire aveu à leur mari), mais c'est en vain qu'elles cherchent à se maintenir en sécurité, leur chute est inéluctable (ainsi la marquise de M...

très relatif, et que la rivalité entre Pradon et Racine a bien vite tourné à l’avantage du second. D’aucuns, prosaïquement, ont plutôt vu dans ce silence la conséquence d’un embourgeoisement matrimonial 4 et d’une consécration sociale. Son rôle de mari et de père, la charge d’historiographe 5 du roi qui lui est confiée en 1677 et ses intérêts de courtisan ne laissant tout simplement plus le loisir à l’auteur de composer de nouvelles tragédies. Pourtant, on imagine mal que la mission, aussi prestigieuse

Dorante. Scène 14 : Dubois, feignant d’être étonné de la présence de Dorante chez Araminte, le lui présente comme «un honnête homme» mais fou d’amour pour elle, lui raconte comment cette passion est née, lui indique qu’elle ne doit pas s'attendre à un aveu, car Dorante la respecte infiniment, lui révèle qu’il plaît à d’autres femmes qui vont jusqu'à le poursuivre. Araminte, d’abord prête à le renvoyer, veut ensuite le garder pour l’aider à se guérir. Scène 15 : Avec Dorante, Araminte, comme pour lui

Dorante. Scène 14 : Dubois, feignant d’être étonné de la présence de Dorante chez Araminte, le lui présente comme «un honnête homme» mais fou d’amour pour elle, lui raconte comment cette passion est née, lui indique qu’elle ne doit pas s'attendre à un aveu, car Dorante la respecte infiniment, lui révèle qu’il plaît à d’autres femmes qui vont jusqu'à le poursuivre. Araminte, d’abord prête à le renvoyer, veut ensuite le garder pour l’aider à se guérir. Scène 15 : Avec Dorante, Araminte, comme pour lui