L'Aveu

DISSERTATION Le registre comique et le registre tragique sont deux genres différents. Tous les deux sont parfois utilisés dans des scènes d’aveu. Comment l’auteur d’un aveu comique et d’un aveu tragique attire-t-il l’intérêt du spectateur ? La scène de l’aveu comique attire surtout l’attention grâce à son ironie et la farce. Par exemple dans Tartuffe, Orgon qui se cache sous la table pour découvrir la vraie personnalité de Tartuffe. Dans le registre comique le drame est plus là pour nous faire rire, c’est

Réflexions sur : Les mots pour le dire de Marie Cardinal La parole a une fonction thérapeutique grâce à l’aveu du je dans le langage. Freud affirme que «l’on apprend d’abord la psychanalyse sur son propre corps» C’est ce qu’a fait Marie Cardinale dans son livre Les mots pour le dire pour démontrer au lecteur que la parole a une fonction thérapeutique grâce à l’aveu du JE dans le langage. C’est par le récit de ce long cheminement de sept ans où pas à pas, soutenue de son psychanalyste

mieux admirer les couples. Dans cet extrait, Arlequin avoue son statut social ainsi il met fin au jeu suivi de l’aveu de Lisette chez les valets qui s’avouent leur situation et état respectif. Nous étudierons le comique puis l’intérêt dramatique de cette scène. A) Comique de situation Il varie au cours de la scène. Avant l’aveu d’Arlequin L’embarras des 2 personnages Arlequin se rabaisse : « vous ne savez…moi » ; « le présent…mesquin » ; « je ne

!" Introduction Cet extrait du Jeu de L'amour et du hasard illustre le génie comique de Marivaux. C'est d'abord la situation qui prêt a rire : du quiproquo (=Méprise qui fait prendre une chose, une parole ou une personne pour une autre) à l'aveu, Arlequin introduit des retards qui traduisent son embarras. En parlant, il libère Lisette de ses propres scrupules et la scène s'achève sur un deuxième aveu symétrique du premier. Ces "confessions" burlesques manifestent chez les personnages le

réplique de Sostrate, il y a une opposition entre « laissons-la voir » et « gardons bien […] qu’elle en apprenne jamais rien » : le déchiffrement des signes est autorisé, l’amour peut se déclarer par le non-dit, par les signes extra-verbaux. MAIS l’aveu, le discours, sous-entendu par « nulle autre voie », est interdit. L’amour n’est pas interdit, c’est son énonciation, son aveu, qui est impossible. C’est dans la parole que se trouve l’interdit dans Amants magnifiques. La dernière réplique de

est en principe absolue MAIS elle peut cependant être combattue par le serment ou l’aveu. La valeur probatoire des présomptions varie donc selon qu’elles soient simples ou irréfragables MAIS les présomptions légales lient le juge comme tout autre texte de L. II. les modes de preuves Le CC réglemente 5 modes de preuves qui sont : la preuve littérale, la preuve testimoniale, les présomptions, l’aveu et le serment. Cette énumération est incomplète. Il existe en effet d’autres modes

résistant qui a tiré sur le chef du gouvernement de Vichy en 1941. Il dénonce implicitement la passivité de certains face aux lois dictées par les nazis. Antigone représente la résistance qui s'obstine malgré les dangers encourus. I. La profération de l’aveu Antigone va dicter 2 lettres au garde : - 1ère lettre : l. 10 à 24 - 2ème lettre : l. 29 à 32 Elle avoue à la fois au garde et à Hémon. Elle a peur de ne plus être aimée, et souligne son amour par des mots affectueux : « Mon chéri » (l. 13, 31)

n'admettent pas la preuve contraire (art. 1350 et suivants) Les présomptions mixtes n'admettent que certains modes de preuve contre elles. * L'aveu et le serment * l'aveu est une déclaration écrite ou verbale, expresse ou tacite, par laquelle une personne reconnaît pour vrai un fait susceptible de produire contre elle des conséquences juridiques. L'aveu judiciaire (art. 1356) est fait lors d'un procès devant le juge par la partie ou son avocat. Il fait pleine foi contre celui qui l'a fait. Il

qui peut amener abandon. Elle se méfie de sa jeunesse (l.2/3), (l.9/10). Aveu= acte réfléchi, dicté par la raison, elle y avait déjà songé. Une fidélité jusqu'à l'aveu P. de C.= perso type de fidélité imparable. Mari l'avoue (l.36/37). Superlatifs=insiste sur cette fidélité: "la plus grande marque"; "jamais". a) le courage de l'aveu Véritable force morale. Aveu courageux car risque de perdre respect et amour de son mari. Bien consciente par la dernière prière (l.16). Aveu extra pour XVIIème ayant

révélation et en aveu. On sait que la réplique suivante : « Il n'y a pas moyen, Dorante; il faut se quitter. On sait que vous m'aimez, et l'on croirait que je n'en suis pas fâchée » (Ligne 28 à 30) exprime le doute d'Araminte. Mais cela va également amener l'aveu à Dorante sur l'amour qu'elle lui porte. « Vous donnez mon portrait ! Songez-vous que ce serait avouer que je vous aime ? » (Ligne 41 et 42) est la dernière réplique avant son aveu quelque peu plus explicite. Tout cela est amené d'une façon implicite