L'Aveu

L.A III, 12 de « Dorante, plaintivement (…) » à « stratagème » Eléments d’intro - Présentation générale de la pièce : genre, date, contenu - Situation du passage : l’extrait s’inscrit dans l’acte de dénouement. ( Les attentes st d’une part le retour à un état de stabilité pr les personnages- la résolution du noeud ; d’autre part, l’enseignement à tirer de la pièce puisque la comédie possède une vertu morale : « castigat ridendo mores ») Le rythme s’accélère en fin de journée. Dés le début

spectateurs. Tous les protagonistes sont réunis : les deux frères Nathan et Alex, la sœur, Édith, la maîtresse, Élisa, l’oncle Pierre et la tante Julienne. Le texte met en scène une progression de la tension dramatique qui se cristallise autour de l’aveu de Nathan. Ce dernier révèlera au grand jour sa relation amoureuse. Nous pourrons nous demander en quoi la parole, qui fait avorter la tragédie, constitue l’enjeu majeur de cet extrait. Nous étudierons dans le premier mouvement du texte (l. 1 à

La déclaration d’amour réitérée (« je vous aime »), au quatrième quatrain, est encadrée par le silence : « me taire » à la rime, au vers 7 et « muette », le dernier mot du madrigal. - Les verbes d’expression « parler » et « dire » qui accompagnent l’aveu sont associés l’un à une confession honteuse, l’autre à l’incapacité à s’exprimer avec des mots : « Le cœur le dit assez, mais la langue est muette ». - Les autres marques de communication s’apparentent au cri : « Pleurer, crier merci » ; comme si

réalisation, il doit y avoir abstinence de l'analyste , fondement incontournable ; plus qu'une simple abstinence, la fonction de la NON REPONSE c'est suspendre quelque chose de la réponse pour que l'automatisme de répétition puisse se développer. L’aveu de progrès dans certaines thérapies vient servir de réponse dérobant à l'analyste la possibilité de revisiter ces premières rencontres ou la relation primaire. 2/ Deuxième sens : Il existe l'incréé du Sujet Question théologique : qu'est ce que

celle-ci vient de faire à son mari l'aveu de son amour pour un autre (c'est-à-dire l'aveu du fait qu'elle pense à un autre homme jour... et nuit) : "Il me semble que vous devez être content de ma sincérité" (p. 202 ; la pagination renvoie à l'édition Magnard) ; et il est rapporté plus loin que la princesse "trouva même de la douceur à avoir donné ce témoignage de fidélité à un mari qui le méritait si bien" (P. 208). Il est vrai que le prince de Clèves lui-même a vu dans l'aveu une "marque de fidélité", mais

forme d'un dialogue entre un des protagonistes de la pièce, Hippolyte, et un personnage qui joue le rôle de confident, Théramène. La scène se divise en deux grands mouvements. Le premier, qui fera l'objet de notre étude, et qui nous conduit jusqu'à l'aveu que fait Hippolyte de son amour pour Aricie, au vers 56, est de loin le plus important. Racine a accompli là un véritable exploit. C'était, en effet, une gageure que de réussir à donner au spectateur autant d'informations et d'informations d'une telle

sexualité qui s’opposerait d’une certaine facon a un pouvoir repressif. Il montre également que dans une volonté de savoir, pour pouvoir mieux contolé (juridiquement). La societé, a modifié le statue du discours dans le but de pousser les gens a l’aveu intentionel ou forcé pour les etudiers (medicalement), ce qui fortifier leur envie de savoir et les a dirigé vers une liberation sexuel. La sexualité ne servira donc plus seulement à la fonction de procreation mais elle sera egalement la cause

scènes de Phèdre écrite par Jean Racine et publié en 1677. On peut tout de suite constater qu’ils portent sur le même sujet, en l’aveu : l’amour de Phèdre pour Hippolyte. C’est dans ces deux passages qu’elle avouera sa flamme, dans un premier temps à Oenone, dans un second temps à Hippolyte lui-même et puis enfin à Thésée son mari. Quelles sont les modalités de l’aveu dans ces trois scènes ? Le contenu des aveux est le même dans les trois extraits. Phèdre avoue son amour pour Hippolyte. Elle

Commentaire de texteVictor HUGO, Le Roi s’amuse, acte II, scène 4, 1832Vous ferez le commentaire littéraire de ce texte en vous aidant des pistes suivantes 1. L’aveu amoureux d’une fille naïve2. Les échanges entre Dame Bérarde et le personnage caché : une scène de comédie ?Introduction :« Dans le drame, on se débat parce qu'on espère en sortir. C'est ignoble, c'est utilitaire. »,déclarait Jean Anouilh dans Antigone en 1944. Le drame romantique marque la naissanced’une nouvelle esthétique théâtrale

Nous envisagerons donc en quoi l’aveu de Nawal met en avant l’amour et le tragique à l’intérieur de la scène.Nous analyserons d’abord en quoi et pourquoi l’aveu qui est au cœur du passage est difficile et problématique, puis comment cette scène confronte le spectateur à un amour absolu mais fatal.En quoi et pourquoi l’aveu est-il difficile et problématique ?Le paradoxe entre le besoin de parler et le besoin de se taire entre le secret provoqué par la peur et l’aveu généré par la joie dramatise dramatiquement