L'Aveu

Naissance et définition du totalitarisme. B. Les différents régimes totalitaires. C. Hannah Arendt et sa philosophie du totalitarisme. Le totalitarisme dans la fiction cinématographique. A. 1984 de Michel Radford. B. L'aveu de Costa Gavras. Études comparatives. Conclusion Bibliographie TPE Année 2010-2011 Contraintes et Libertés. Totalitarisme et privation de liberté. Le totalitarisme dans la fiction. Juliette Cordier 1ère ES Fanny Bussereau

les deux grands genres sont la comédie et la tragédie. Cet extrait est précédé par le prise du pourvoir de Néron aidé par sa mère, après ce passage apparaît la mort de Britannicus, et Junie s’enfuit chez les vestales. Ses lignes dévoilent l’aveu sentimental de Néron à son confident Narcisse. Cet extrait laisse place à l'expression des sentiments donc l’adjectif qui le qualifie est le lyrique. L’auteur expose dans ce passage une scène d’aveu et campe le portrait de Néron. Dans ce passage

texte : Le Logos racinien apparait ici comme un discours qui se déroule pour empêcher l’action. Le nœud amoureux permet de faire fonctionner efficacement ce principe. Phèdre sait que, si elle parle, elle donne une réalité à son amour. Elle retarde donc l’aveu à Oenone. Cet aveu déclenche l’action tragique, l’espoir d’une liberté d’action face à un système réglé pour l’écrasement final : cet amour est impossible. Devant Oenone, Phèdre affirme la toute puissance du langage. Le langage est extraordinairement

lieu, sur le plan de l’écriture, à une esthétique mêlée, entre exhibition et détournement. I) Les deux pôles de la réalisation et de la rétention A) Tension entre pudeur et honte au cœur d’une tragédie de l’aveu Tragédie de P = structurée autour de l’aveu : or, au centre de l’aveu : une dramatique de l’obscénité : parole obscène car expose la souillure : mots souillés, mots honteux : besoin de l’expression mais expression coupable. Parole torturée, qui oscille entre mutisme prostré et expression

style. Le second élément romanesque est la scène de l’aveu de la Princesse à son mari, et celle qui la suit, la scène de la forêt. Il y a déjà pour commencer, l’endroit : Coulommiers, cet endroit retiré de la Cour, qui est magnifique, magique et idyllique (et cela est répété tout au long de l’histoire et non seulement lors du passage de l’aveu). Puis, il y a la réaction de à la fois Mr de Clèves et Mr de Nemours à la découverte de l’aveu. Il paraît assez invraisemblable et idyllique qu’une femme

la cause conséquente est maintenu en apparence malgré ce qu’ont pu dire les critiques contemporains qui voyaient la scène de l’aveu comme des absurdités romanesques sans fondement et incompréhensibles) Comment l’aveu est-il préparé ? -Scènes de questionnement entre mari & femme - Fur et à mesure du roman : nécessité de l’aveu, dès la mort de Madame de Chatre l’idée de l’aveu commence à ê insinué dans ‘esprit de la PDC. Pourquoi ? Cette scène où Madame de Chatre voit sa fille pour la dernière fois

déclaration d’amour réitérée (« je vous aime »), au quatrième quatrain, est encadrée par le silence : « me taire » à la rime, au vers 7 et « muette », le dernier mot du madrigal. - Les verbes d’expression « parler » et « dire » qui accompagnent l’aveu sont associés l’un à une confession honteuse, l’autre à l’incapacité à s’exprimer avec des mots : « Le cœur le dit assez, mais la langue est muette ». - Les autres marques de communication s’apparentent au cri : « Pleurer, crier merci » ; comme

morale et physique. 3-/ Héroïne tragique • Ponctuation riche et variée, • Interjections : "O haine de Vénus ! O fatale colère !" v32 • Superlatif : "la plus misérable" v41 • Hyperbole : "le comble des horreurs" v43 III - La manière d’amener l’aveu 1-/ Un quiproquo vite démenti Début de scène : quiproquo, méprise entre les deux femmes = Oenone pense que Phèdre veut avouer un crime de sang dont le remords poursuit sa maitresse. (v1 à3) Le premier indice donné par Phèdre dément qu’il s’agisse

ce que je  vais te dire ». La révélation est à la réplique 14 « Reste : ce n’est plus Bourguignon qui te parle ». L’aveu est crypté et peut s’entendre de deux manières. Seul le spectateur peut le prendre au sens propre ou au sens figuré. Le « Reste » marque une transition dans le temps qui indique que la page va être tourné. Une nouvelle étape. Le thème de l’aveu et de la parole 1 L’importance de la parole Le moteur de l’action dans cette scène est la parole. Toutefois

a D puis qu’elle emploie le terme “Si” en debut de phrase et clairement que si ce n’etais pas lui “elle le hairait sans doute” aux lignes 571 et 572.Elle expose ensuite une opposition grace au terme “mais” a la ligne 572 et indique clairement que l’aveu qu’il