L'Encyclopédie canadienne

gouvernement fédéral exigent l’utilisation du clavier CSA[4] (anciennement : ACNOR), c’est une disposition de clavier qwerty modifiée pour la langue française[5],[6],[7]. Cependant, comparativement à un clavier azerty, les claviers dits canadiens-français et canadiens-multilingues (il y a au moins 3 dispositions d'usage courant, dont celle de l'ACNOR) sont tous beaucoup plus proches du qwerty américain : en effet, les lettres non accentuées et les chiffres sont tous aux mêmes endroits que le qwerty

Un CF-18 canadien à Aviano, en Italie, pendant l’opération « Écho », la campagne aérienne au Kosovo et en Serbie. LE RÔLE DE LA RÉFLEXION STRATÉGIQUE DANS LA DÉFENSE par le lieutenant-général K.R. Pennie L a réflexion stratégique est un défi pour toute organisation de défense, mais elle pose des problèmes particulièrement aigus au Canada. En fait, la mission des Forces canadiennes (FC), qui est de défendre le Canada et de contribuer à la paix et à la stabilité internationales, repose sur

Le projet Onondaga est un projet du Site historique maritime de la Pointe-au-Père (SHMP), un musée situé à Rimouski au Québec (Canada), pour convertir en navire-musée le NCSM Onondaga, un sous-marin de la Marine royale canadienne désarmé en juin 2000. Lancé par le Musée canadien de la guerre (MCG) d'Ottawa en 2000, le projet de conversion de l’Onondaga est abandonné par ce musée en 2002 par manque de financement. Le SHMP, qui s'intéresse à un projet de sous-marin musée depuis 2000, réalise une étude

Saint-Catherine, les vitrines des grands magasins […]» Il offre aussi de grandes variétés architecturales, plusieurs établissement scolaires de tout les niveaux et plusieurs établissements culturels tel que le Conservatoire de Musique, Les Grands Ballets canadiens et le Théâtre du Rideau Vert. Ce qui n’a pas changé par rapport à ce qui est décrit dans le roman. « […] la foule élégante du samedi soir, […] l’entrée lumineuse des théâtres, leurs allé qui s’enfoncent au-delà de la tour vitrée de la caissière,

sécuriser le périmètre nord-américain » Troisièmement, les troupes canadiennes sont en Afghanistan pour répondre à une demande des Nations Unies pour une mission d’assistance. Si le Canada ne réagit pas à la demande, les canadiens perdraient une alliance. Pour en apprendre plus à propos des Forces armées canadiennes et des raisons qui leurs ont amenés à aller en Afghanistan, visite le site du parlement canadien, à la section de la guerre en Afghanistan à http://www.afghanistan.gc.ca/canada-afghanistan/assets/pdfs/scond_f

(courriel : Mostafa.askari@parl.gc.ca), ou les auteurs Erin Barkel (courriel : erin.barkel@parl.gc.ca) et Rod Story (courriel : rod.story@parl.gc.ca). 1 Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (2013a). Défense nationale et Forces armées canadiennes (2014a). 3 Le budget total des NPEA est en fait de 3,1 milliards de dollars, mais il inclut 300 millions de dollars pour l’amélioration de quais à Halifax, Esquimalt et Nanisivik , ce qui laisse seulement 2,8 milliards de dollars pour les navires

d'entreprendre des actions pour «perturber» des menaces à la sécurité nationale ou l'intégrité du pays. Pour ce faire, ils pourront obtenir l'autorisation d'un juge s'ils estiment que cette intervention est susceptible de contrevenir à la Charte canadienne des droits et libertés. Dans sa mouture actuelle, le projet de loi C-51 précise que «les activités licites de défense d'une cause, de protestation, de manifestation d'un désaccord ou d'expression artistique» ne sont pas visées par les nouveaux

par l’information de Ben Laden et du réseau d’Al-Qaïda et de maintenir une sécurité dans la ville de Kaboul. Parmi les opérations Canadiennes, celle d’Athéna et du serveur Titan m’ont beaucoup bouleversés et désolés en même temps et démontre le manque de financement et d’effectifs injectés dans la technologie de l’information et du renseignement du gouvernement canadien. Cette opération de surveillance permit la capture de terroristes extrémistes, mais aurait pu : « (…) accroître sa capacité de collecte

6.3. Le droit des « peuples autochtones » du Canada. Après des années de tergiversation, c’est en 1982 qu’a été enchâssée dans la constitution canadienne, une loi constitutionnelle dont la première partie, qui constitue la « charte canadienne des droits et libertés » est immédiatement suivie d’un article 35, « consacré[e] aux droits des peuples autochtones du canada ». Cet article détermine que les peuples « autochtones » sont composés « notamment des Indiens, des Inuit et des Métis du Canada

rencontrés monsieur Stéphane Lachance, vice-président du syndicat à l’époque de la dernière négociation collective. Il est aujourd’hui agent d’affaires pour le syndicat en plus de cumuler la fonction de vice-président du transport urbain au syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Du côté de la direction de la STM, nous avons rencontrés madame Marie-Claude Léonard, surintendante des opérations du Métro. À l’instar de monsieur Lachance, elle en était à sa première négociation collective lors