L'Ennui

être heureux dans cette vie par la seule force de la raison. Comment alors peut-il oublier le temps qui passe ? Peut-il vivre au présent en supprimant ses désirs et la peur de la mort ? Une telle vie de quiétude ne risque-t-elle pas d’être minée par l’ennui ? Faut-il vivre au contraire pleinement le passage du temps en lui donnant un sens, en inversant son cours créateur ? Développement (Plan) : I/ En quoi et pourquoi le temps est-il vécu comme l’ennemi du bonheur, et est-ce justifié ? a) En

Sisyphe ? Nous verrons dans un premier temps à quel point la vie du prisonnier est monotone, puis comment Meursault tente de s’adapter à sa situation. La monotonie, l’uniformité, c’est l’absence de changement, de variété qui crée la lassitude et l’ennuie. Nous allons montrer à quel point la vie du prisonnier est monotone. On peut remarquer un procédé de monotonie, la répétition. On la trouve sous différentes formes. On remarque la répétition de certains mots : « comprendre », « chaque », « objet »

monde. Au commencement, nous verrons au grand jour les démons intérieurs du poète : ce sera la chute progressive vers la solitude, l’ennui, l’impuissance, l’incompréhension, l’enlisement. Puis nous pourrons alors nous centrer sur la transformation Les chapitres VI et VII montre les démons intérieurs du poète : ce sera la chute progressive vers la solitude, l’ennui, l’impuissance, l’incompréhension, l’enlisement. Ces chapitres reprennent en effet les thèmes les plus sombres du recueil. Dans le

l'environnement. a) Une constatation désabusée Nous retrouvons le refus de l’environnement actuel : Au vers 1, l’interjection « hélas » affiche une note de désespoir. Au début du poème, l'auteur exprime son désir de partir : impératifs, affirmations. L'ennui, la cause est mise en relief (avec la majuscule) plus tard dans le texte. Mallarmé fait deux affirmations : la première porte sur le manque de joie, de sensualité : « la chair est triste ». La seconde marque l’absence d’intérêt pour la lecture :

le revers d'une même médaille. » (Hannah Arendt) Le travail - « Le premier fondement de la valeur du travail est l’homme lui-même. » (Jean-Paul II, Encyclique Laborem exercens, 1981) - « Le travail permet d’éloigner de nous trois grand maux : l’ennui, le vice et le besoin ». (Voltaire, Candide) - « La division du travail, aussi loin qu’elle peut y être portée, donne lieu à un accroissement proportionnel dans la puissance productive du travail. » (Adam Smith, Recherches sur la nature et les causes

puisqu’elle sauve de l’ennui l’homme moche en restant avec lui,. De plus suite leur reonctre, il se met à faire du blé très bien et par là donne la richesse le village. Pour elle-même il s’agit d’une seconde puisqu’en passant d’un village à l’autre, elle passe d’une vie monotone, à une vie choisie, heureuse. Autrement dit, le village de Saul en apparence prospère représente en réalité pour Ursule rien de cela. EN s’installant à AUbigagne avec le moche, les deux passent de l’ennui au bonheur, cela

Contexte/ Intrigue : Gustave Flaubert mit plus de quatre ans à écrire "Madame Bovary", un livre "sur rien", selon lui, et dont le récit se résume en une phrase : "l'histoire d'une jeune provinciale que ses rêveries, un mariage insipide et l'ennui conduisent à l'adultère et au suicide". L'intrigue se passe en Normandie, province que Flaubert connait bien puisqu'il y est né. Emma est une jeune femme qui veut connaître la passion, l'envol des émotions. Elle se perd dans des rêveries inspirées

: -Pourquoi, mon Dieu ! Me suis-je mariée ? Emma Rouault, fille du riche fermier M. Rouault a été élevée dans un couvent. Celle-ci rêve d'une vie mondaine comme les princesses des romans à l'eau de rose dans lesquels elle se réfugie pour rompre l'ennui. Elle devient l'épouse de Charles Bovary, qui malgré de laborieuses études de médecine n'est qu'un simple officier de santé. Emma est déçue de cette vie monotone. Une invitation au bal du marquis d'Andervilliers lui redonne la joie de vivre. Lorsqu’Emma

malgré que tous les personnages soit vivants ne représente pas de bonheur : Cunégonde est l’aide et Candide connait les malheurs de ce monde. D’ailleurs les personnages ne cherchent plus à être heureux : “le travail éloigne de nous trois grands maux l’ennui, le vice et le besoin” (ch.30 – l.109). Ils se divertissent pour oublier la nature humaine. Ces lieux ne font que donner une fausse image du bonheur. 4. Quelle vision du bonheur nous propose Voltaire dans le dernier chapitre ? Voltaire

pour lui car il échappe à l'ennui. Et enfin, le style d'écriture de ce récit montre au début que Meursault est centré sur sa personne avec les déterminants possessifs : « ma ceinture, mes cordons de souliers, ma cravate.. » Mais plus le récit avance, plus il reste centré sur ses souvenirs et il met de côté sa personne, ses biens, il ne pense plus à son nombril. Il se sent donc mieux. De plus, dans les deux dernières phrases, il réussi à combattre la monotonie, l’ennui grâce a ses souvenirs : « Il