L'Esprit de la forêt

Misérables, entête de la préface de Victor Hugo, Hauteville-House, 1er janvier 1862. TEXTE A La petite Cosette, âgée de huit ans, est sans cesse maltraitée. Elle est contrainte, par une nuit d’hiver, d’aller chercher de l’eau au milieu de la forêt. 5 10 15 20 25 L'enfant regardait d'un œil égaré cette grosse étoile qu'elle ne connaissait pas et qui lui faisait peur. La planète, en effet, était en ce moment très près de l'horizon et traversait une épaisse couche de brume qui

et les 2 jeunes femmes. Chapitre 16 : Repas en famille, discours d’Édouard par rapport au progrès ainsi que enlèvements des filles par la famille de Griselda. (Édouard avait tout prévu) Chapitre 17 : Édouard FABRIQUE le feu enfin / incendie de la forêt. Chapitre 18 : Ernest n’est pas d’accord de divulguer les secrets sur la fabrication du feu aux autres hordes. (Discussion avec son père) Chapitre 19 : autocratie à démocratie, Père est pareil le lendemain. Griselda propose le meurtre. Chapitre

protagoniste dans cette nouvelle fantastique de 1869. Le prénom "Michel" est immédiatement associé dans l'esprit d'un linguiste à sa vraie signification : "ours", en latin : "ursus", et en lithuanien justement : "lokis". "Michel" est un euphémisme dont se sont servies plusieurs nations pour ne pas nommer le plus grand danger qui les menaçait pendant des siècles, c'est-à-dire l'ours, le roi de la forêt sauvage et de tous les animaux. L'auteur du "Lokis" jouait sur la double signification du prénom de

loi mauvaise, autorise tout autre à enfreindre les bonnes. » « Il y a moins d’inconvénients à être fou avec des fous qu’à être sage tout seul. » « ...on a vu plusieurs fois l’homme des villes se dépouiller et rentrer dans la forêt, et on a jamais vu l’homme de la forêt se vêtir et s’établir dans la ville. » Jugement personnel : J’apprécie avant tout cette œuvre pour sa diversité formelle. En effet, on y trouve une part de fiction sans cesse commentée et complétée par une réflexion qui s’apparente

v. 3 → Pour montrer la détermination du poète + Anaphore en début d'hémistiche «je marcherai» v. 5 qui montre le départ et «j'arriverai» au v. 11 placé à la césure montre l'aboutissement du voyage. * Parallélisme de construction : «J'irai par la forêt, j'irai par la montagne » au vers 3 = Mouvement de la marche du poète. * Repère temporel : Le pèlerinage dure une journée → « Dès l'aube » v. 1 ; « jour » v. 8 ; « soir » v. 9. 2 ) Itinéraire mené avec détermination * Grande détermination car

|connote le provisoire |l'homme n'agit pas sur la nature: statut de | | | |récepteur non d'émetteur | |temple, pilier... forêts de symboles |métaphore filée |verticalité et message: correspondances | | |+ reprise explicite des confuses paroles |(nature mystique)

l’ensemble de la pièce : nous nous en tiendrons aux passages qui présententement, nous intéressent et qui concernent le personnage féminin principal, Rosalinde, fille d’un duc exilé, et Orlando, son amoureux, lui aussi contraint de fuir dans la forêt d’Ardennes (la pièce se passe en Angleterre). Mais il n’est pas inutile d’en faire précéder le récit par le rappel de la nécessaire égalité des partenaires dans le couple, égalité nécessaire pour permettre la pleine réussite de la vie partagée.

Les chênes de 1910 avaient alors dix ans et étaient plus hauts que moi et que lui. Le spectacle était impressionnant. J'étais littéralement privé de parole et, comme lui ne parlait pas, nous passâmes tout le jour en silence à nous promener dans sa forêt. Elle avait, en trois tronçons, onze kilomètres de long et trois kilomètres dans sa plus grande largeur. Quand on se souvenait que tout était sorti des mains et de l'âme de cet homme sans moyens techniques - on comprenait que les hommes pourraient

ces romans que l'on peut qualifier de romans à l'eau de rose: Ce n'étaient qu'amours, amants, amantes, dames persécutées s'évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu'on tue à tous les relais, chevaux qu'on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du coeur, serments, sanglots, larmes et baisers, nacelles au clair de lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme des agneaux, vertueux comme on ne l'est pas, toujours bien mis, et qui pleurent

est invité à interpréter et à scénographier l'œuvre cinématographique de Jean Comandon. L'artiste présente des objets hybrides au croisement de la sculpture et du dispositif. Il travaille avec les émotions et toutes les irrégularités du corps et de l'esprit pour les rendre visible de la même manière qu'un scientifique révélerait un atome. http://www.knowtex.com/nav/jean-comandon-david-douard-innerspace_30851 http://comment7.wordpress.com/tag/discours-amoureux/ expo vegetaux http://levivantetlaville