L Esprit Religieux N Habite T Il Que Dans Les Religions

d’Adam dans le Paradis — Voir Isaïe. xxxiv et xxxv. Sans contraintes il n’est pas de progrès. Attraction et Répulsion, Raison et Energie, Amour et Haine, sont nécessaires à l’existence de l’homme. De ces contraintes découlent ce que les religions appellent le Bien et le Mal. Le Bien (disent-elles) est le passif qui se soumet à la Raison. Le Mal est l’actif qui prend source dans l’Energie. Bien est Ciel, Mal est Enfer. * La voix du diable Toutes les Bibles

* Clergé = église,prêtres,cardinaux. * Noblesse = plus riches, anciens guerriers, et ont tous les droits. * Tiers-état = 99% de la population → Paysans,artisans, bourgeoisie → sans droits. Bourgeoisie = Membre du tiers-état et qui habite en ville et qui n'a aucun droit. Beaucoup deviennent artisans et certains de ses artisans deviennent riches et même deviennent plus riches que les nobles → crise. Elle a eu une ascension économique et sociale et elle vit difficilement de n'avoir aucun

théâtre.après un incarcération pour dettes,il va faire une tournée en province.Sa troupe joue aussi devant louis XIV qui lui accorde de jouer dans la salle de petit bourbon.il devient celebre grâce aux précieuses ridicules.Malgré le soutien du roi,la religion

instructif décrit avec davantage d’objectivité l’état de la société africaine et dégage sans circonlocutions les spécificités du monde Noir. Cet ouvrage littéraire du vingtième siècle est un véritable vivier de la culture africaine où traditions, religions et croyances y sont évoqués de manière humoristique et captivante. La richesse de ce recueil de treize contes permet de dégager les aspects centraux positifs ou négatifs du continent africain, car chaque conte renseigne sur une facette sombre ou

valeurs absolues. Le cas de la religion est intéressant: nous avons vu avec Nietzsche que le monde des Idées de Platon était relativement proche de cet autre monde qu'est le Paradis dans la religion chrétienne. En effet, les Idées absolues et parfaites sont reprises comme des valeurs absolues incarnées dans Dieu et sont de cette manière intouchables puisque séparées de notre monde, Dieu l'étant tout autant. En utilisant de telles valeurs, en les incarnant dans Dieu, la religion chrétienne, entre autres

mêmes de se prêter à des railleries qui devraient attirer leur indignation. J'entends dire qu'il attaque les vices ; mais je voudrais bien que l'on comparât ceux qu'il attaque avec ceux qu'il favorise. Quel est le plus blâmable, d'un bourgeois sans esprit et vain qui fait sottement le gentilhomme, ou d’un gentilhomme fripon qui le dupe ? Dans la pièce dont je parle, ce dernier n'est-il pas l'honnête homme ? N'a-t-il pas pour lui l'intérêt ? Et le public n'applaudit-il pas à tous les tours qu'il

culturelles, 2000 : Les Etats libéraux ont mis en œuvre une « culture sociétale » = langue commune, institutions publiques et privées (écoles, médias, droit, éco, administration…). Ms c « cultures sociétales » st nécessairement pluralistes (diverses religions, homo, hétéro…). Dc selon lui, « les droits minoritaires ne st pas d « privilèges » ms d remèdes ou moyens de faire face à d injustices que les minorités subissent du fait d processus d’institution nationale. » Chap 3 : Multiculturalisme et individualisme

il existe en effet une étroite corrélation entre le vécu de l’auteur et les personnages qu’il met en scène. nous retrouvons ainsi l’espace géographique dans lequel Memmi a passé une grande partie de sa vie et des références à la culture et à la religion qui sont au cœur de la problématique développée dans l’ensemble de son œuvre. Dans la préface au Portrait du colonisé4, Memmi précise : « J’avais écrit un premier roman, La statue de sel, qui racontait une vie, celle d’un personnage pilote, pour

encore nomades. A l’Est, les Lakhmides ont établi leur capitale à Hira sur l’Euphrate. Sur le plan religieux, les Arabes du Sud adoraient des dieux et des déesses, personnifiant des planètes et à qui étaient consacrés des temples, des sanctuaires où régnaient des prêtres, administrateurs des richesses et des dons versés aux divinités. Les Arabes du nord adorent des Djinns, des esprits représentés par des arbres, des pierres, etc. Ils croyaient aussi à des divinités fort nombreuses mais

à-côté de la politique auquel Tocqueville accorde une importance considérable : la religion comme tremplin vers la morale. Si dans le contexte démocratique des Lumières, la religion est exclue du principe de fondement de la société, elle appartient malgré tout à l'univers des possibilités de sens qui se présentent à l'homme. C'est dans cette mesure qu'elle contribue à construire la démocratie et qu'en favorisant la religion, on œuvre en faveur de la liberté. I- LE MALAISE MORAL ENGENDRE PAR L'INDIVIDUALISMEAvec