L Hedonisme Selon Calliclés

théorique : Qu’est ce que le désir - 1 être voué à la violence : Hobbes «  l’homme est 1 loup pour l’homme » - 1 être voué au dépassement de soi : Spinoza : « L’homme est 1 Dieu pour l’homme » Enjeu pratique : Quel attitude face au désir ? - Hédonisme : la recherche du plaisir constituent l'objectif de l'existence humaine. - Ascétisme : résistance face au désir I) Le désir comme manque A. Le besoin et les désirs BESOIN | DÉSIR | * Relève de la nature : part organique= NECESSITÉ

Introduction : définition de la raison % au sujet bonheur et désir §1 Désir = Misère et aliénation + pouvoir illusoire de l’homme sur la réalité +Insatiabilité par nature la déception liée à l’idéalisation / lassitude. La sérénité : clés du bonheur selon Eliminer tous nos désirs pour éviter la souffrance et être heureux donc vie de bonheur. §2 Mais, la raison conduit-elle toujours au bonheur ? Nous allons, en étudiant l’ascétisme, voir pourquoi la raison est

n’importe quel excès sera d’autant plus appréciable. Le désir de gloire, le plaisir de richesse sont illimités et ne peuvent être satisfait. L’Hédonisme signifie pour Epicure que le plaisir est le commencement et la finalité de la vie heureuse. (Hédonisme ≠ Eudémonisme = le bonheur est la finalité) Autrement di, le bonheur n’est pas la satisfaction de tous nos désirs, il consiste en tout nos plaisirs, définit comme l’absence de trouble pour le corps et pour l’âme. Cela ne signifie pas qu’il faille

heureuse signifie qu’elle a ce qu’elle désire. Or, cette conception du bonheur n’est point moderne. Depuis l’antiquité, il existe des philosophies hédonistes qui nous invitent à rechercher le plaisir, à obtenir ce que nous désirons afin d’être heureux. Calliclès, par exemple, nous dit dans le Gorgias de Platon que l’homme qui ne cherche pas à satisfaire ses désirs mène « une vie de pierre ». De plus, Épicure nous enseignait qu’en apprenant à nous contenter de plaisirs simples, nous pouvons trouver l’ataraxie

à moins que plaisir et bonheur ne soient distincts, mais essentiellement inséparables. D’où ces quelques interrogations : le bonheur est-il identique au plaisir ? Le bonheur n’est-il qu’une illusion ? Première partie : Philosophie du bonheur et hédonisme : Puisque le bonheur et le plaisir sont en relation étroite, commençons par analyser le plaisir. §1) L’hédonisme (Epicure): Que le plaisir soit à la fois le chemin, la voie et le but de la vie heureuse, un philosophe comme Epicure ne le contesterait

consiste à dire qu’être heureux c’est avoir ce qu’on désire. Cette idée n’est point moderne. Dès l’antiquité, il existait déjà des philosophies hédonistes qui nous invitaient à rechercher le plaisir, à obtenir ce que nous désirons pour être heureux. Calliclés, dans le Gorgias de Platon, par exemple, nous dit que l’homme qui ne cherche pas à satisfaire ses désirs mène « une vie de pierre », et Epicure nous enseignait également qu’en apprenant à nous contenter de plaisirs simples nous pouvons trouver le

consiste à dire qu’être heureux c’est avoir ce qu’on désire. Cette idée n’est point moderne. Dès l’antiquité, il existait déjà des philosophies hédonistes qui nous invitaient à rechercher le plaisir, à obtenir ce que nous désirons pour être heureux. Calliclés, dans le Gorgias de Platon, par exemple, nous dit que l’homme qui ne cherche pas à satisfaire ses désirs mène « une vie de pierre », et Epicure nous enseignait également qu’en apprenant à nous contenter de plaisirs simples nous pouvons trouver le

effectivement la position d’un certain nombre d’auteurs que d’identifier le bonheur du plaisir. C’est la tradition des libertins, faire l’apologie des jouissances et les assumer. Ex : Le marquis de Sade, Dom Juan, Merteuil (liaisons dangereuses), Casanova, Calliclès chez Platon, Gorgias. « Pour bien vivre il faut entretenir en soi-même les plus fortes passions au lieu de les réprimer […] la vérité, Socrate, que tu prétends chercher, la vie facile, l’intempérance, la licence, Les traditions Épicuriennes

jugement. Dès lors, comment la ferveur pourrait-elle avoir une valeur pour cette connaissance objective ? La ferveur semble en effet être un emportement irréfléchi, qui n'est pas de l'ordre de la rationalité, mais du sentiment passionné. Elle désigne selon l'étymologie (fervere, bouillir), un échauffement et une effervescence, c'est-à-dire un enthousiasme qui envahit nos sentiments, nos actes, ou nos pensées. Or si nos pensées et nos sentiments se mettent à bouillir, ils ne peuvent plus conserver leur

c’est-à-dire des devoirs en fonction d’une fin, ici le bonheur. Toutefois le bonheur se situe surtout dans l’initiative privée pendant la période hellénistique (pour les Grecs, c’était un bonheur commun). Ainsi il est lié au plaisir selon les Épicuriens, sans être toutefois un hédonisme grossier. Il est ainsi plus lié à l’ascétisme et à la maîtrise de soi, où l’on se détache de tous les plaisirs pour accéder au bonheur.Ainsi, le bonheur se situe à plusieurs niveaux. Pour les Stoïciens, il se situe dans le