L Homme Dans La Conception De La Grh

................. 29 3.1 Affinité entre le créateur et son idée d’entreprise ............................................... 29 3.2 Contraintes du projet de création et du projet personnel du créateur.................. 29 3.3 Adéquation du couple Homme(s)/Projet............................................................. 29 CHAPITRE 2. ETUDE DE FAISABILITE DE LA CREATION D’ENTREPRISES ...............................................................................................................

:  Mission principale : tache essentielle.  Caractéristiques du produit : l’ensemble des éléments qui le distingue (Traits, qualités,)  Capacité : Aptitude à faire. compétence  Conception technique : Action de concevoir une idée, de former un concept dans son esprit; résultat de cette  action. Conception d’un nouvel appareil. Prototype : Premier exemplaire d’un modèle construit avant la fabrication en série 2) C’est le bureau des études qui peut fixer les conditions relatives à un

approche systématique et montrer les interdépendances des décisions d’entreprises et des et des variables d’action 2. Champ notionnel Contenus Compétences I L’entreprise, des approches complémentaires (de l’ordre de 12 h) 1.1. La diversité des conceptions de l’entreprise - l’entreprise : une structure ● Caractériser la production des entreprises (biens et services productive marchands) ● Identifier son rôle de répartition ● Mettre en évidence la nécessité d’une structuration des activités ● Relier

approche systématique et montrer les interdépendances des décisions d’entreprises et des et des variables d’action 2. Champ notionnel Contenus Compétences I L’entreprise, des approches complémentaires (de l’ordre de 12 h) 1.1. La diversité des conceptions de l’entreprise - l’entreprise : une structure ● Caractériser la production des entreprises (biens et services productive marchands) ● Identifier son rôle de répartition ● Mettre en évidence la nécessité d’une structuration des activités ● Relier

approche systématique et montrer les interdépendances des décisions d’entreprises et des et des variables d’action 2. Champ notionnel Contenus Compétences I L’entreprise, des approches complémentaires (de l’ordre de 12 h) 1.1. La diversité des conceptions de l’entreprise - l’entreprise : une structure ● Caractériser la production des entreprises (biens et services productive marchands) ● Identifier son rôle de répartition ● Mettre en évidence la nécessité d’une structuration des activités ● Relier

nouvelles technologies… • Facteurs déterminants de la compétitivité Influence sur les performances de l’entreprise des coûts des matières premières, des coûts de la main d’œuvre, du taux de change, du taux d’intérêt… Disposition des technologies : conception assistée par ordinateur CAO, dessin assisté par ordinateur DAO, gestion de production assistée par ordinateur GPAO, gestion de maintenance assistée par ordinateur GMAO, machines à commandes numériques, robots… Activités de recherche et développement

comportement de satisfaction et non de maximisation, séquentiel et non synoptique. 98 Les limites de la rationalité limitée ? Un essai de réflexion en sciences de gestion L’individu reste rationnel, mais sa rationalité est limitée. Cet homme administratif s’oppose donc ainsi à l’homme économique de la rationalité absolue. De plus, cette rationalité ne connaît pas seulement des limites substantielles : l’information incomplète, l’obscurité et l’incertitude du futur et les limitations

ou La Direction scientifique des entreprises, Paris, 1967). Impressionné par les restrictions volontaires de productivité de la part des travailleurs, Taylor estime qu’il convient de définir une norme de travail, travail fait, il s’entend, par un «homme de première classe», dans des conditions favorables et selon des façons d’opérer qui lui ont été enseignées au terme d’une analyse soigneuse (the one best way). Cette norme doit être acceptable par l’employeur et le salarié (en tant que fair day’s

1927, ou La Direction scientifique des entreprises, Paris, 1967). Impressionn par les restrictions volontaires de productivit de la part des travailleurs, Taylor estime quil convient de dfinir une norme de travail, travail fait, il sentend, par un homme de premire classe, dans des conditions favorables et selon des faons doprer qui lui ont t enseignes au terme dune analyse soigneuse (the one best way). Cette norme doit tre acceptable par lemployeur et le salari (en tant que fair days work). Il sagit

participatif au sein des entreprises marocaines. 1 constat de fait 2 le pourquoi du non adoption du management participatif au Maroc 3 la portée dumanagement participatif à la réussite de sa qualité totale 3-1 : l’évolution de la conception qualité 3-2 : le management participatif dans la qualité des ressources humaine 3-3 : le management participatif dans la qualité des produits et services 4 consultations dans l’islam (choura) Partie pratique : enquête. Conclusion