L'Homme de la plaine

maître 1 - L'assurance du Huron Répétition de ses progrès Il amorce et mène chaque dialogue Le Huron maîtrise la parole (répétition de 'dire') Utilisation de modalisateurs 2 - Désarroi de Gordon Objet de compassion du Huron : 'je vous plains' Champ lexical du malheur + 'soupira' et 's'écria' Retour sur lui-même : monologue intérieur 3 - Renversement de leur relation Dynamique du Huron différent de l'échec de Gordon : cf antithèse 'jeune ignorant/vieux savant' Le Huron prend de

encore, le premier magasin a été inauguré en Russie. L'entreprise compte plus 37.000 collaborateurs. La culture d'entreprise se caractérise par son ouverture, sa confiance et son sens des responsabilités. Nous sommes informels et progressistes. L'homme tient une place centrale. Il n'y a pas de barrières entre la direction et les collaborateurs et nous sommes convaincus que les managers doivent être un exemple pour leurs collaborateurs. Tous les collaborateurs sont encouragés à développer de nouvelles

l’intérieure de l’homme un paysage avec une maison entourée des arbres qui constitue le deuxième plan. C’est une sorte de la mise en abyme. Cela nous emmène à une autre dimension qui grâce aux couleurs du ciel ressemble soit à l’aube soit au coucher du soleil. Nous voyons quelques étoiles et la lune au dessus de la grande maison. De cette façon nous pouvons distinguer deux mondes : l’un sombre, obscure et vide et l’autre plain de vie, éclairé et iddyllique. À première vue, on a l’impression que l’homme est

24 , fille de paysans … doutaient un peu) Texte 2 : Barrage contre le Pacifique de Marguerite DURAS - «Les enfants de la plaine » (p.115-117, Il y a beaucoup d’enfants … souffle d’un autre) Texte 3 : Barrage contre le Pacifique de Marguerite DURAS - « Suzanne

d’autres versants de la sensualité masculine et à sa manière de s’articuler à la sensualité féminine. D’abord la valeur de sa virginité : Joseph lui interdit toute relation sexuelle avec l’homme captif. Ensuite, dans la multiplicité de ses aventures, la puissance sublime de sensualité d’un homme sur les femmes de la plaine, et ainsi sur toutes les femmes ; puis celles de la ville. Puissance sans retour sinon qu’elle donne, à ces femmes, la jouissance qui les soumet à l’iniquité de la domination égoïste

dernière importance, puisqu'il se réduit à faire voir la dureté de l'empire que l'homme exerce sur les animaux et sur toute la nature ; mais c'est quelque chose de l'arrêter im moment sur cette idée ; et La Fontaine a d'ailleurs su répandre tant de beautés de détail sur le fond de cet Apologue, qu'il est presque au niveau des meilleurs et des plus célèbres. V. 5. (C'est le serpent que je veux dire, Et non l'homme, on pourrait aisément s'y tromper.) Ce second vers paraît froid après le premier

communication MSH Paris Nord Le parasite Séminaire de master 2010/2011 sous la direction de Suzanne Liandrat-Guigues, Alain Brossat et Jean-Louis Déotte Lieu : Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, salle C 4 rue de la Croix Faron, Saint-Denis La Plaine www.mshparisnord.fr / 01 55 93 93 00 RER B « La Plaine - Stade de France » ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Dates : les mardis 16 novembre, 30 novembre

là du récit, il est donc naturel qu'il y ait des digressions, que l'on doit voir comme des éclairages. L'intrigue impose la présence de grandes figures, l'auteur rendant chacun porteuse d'idées fortes. ---> Fable exemplaire sur le devenir de l'Homme, pouvant procurer au lecteur le sentiment de morceaux parfois mal cousus. La convention est par ailleurs mythifiée. Au final, 93 a plus pour objet d'illustrer la pensée d'Hugo que de véritablement raconter ce qu'il s'est réellement passé en 93 :

Monsieur Jean-Philippe Fortin Catherine Cyr 501 Histoire du XX ÈME siècle. Introduction : Procès de Nuremberg : Depuis que l’homme est homme il est tenté de faire percevoir sa façon de penser par la force. Au temps des hommes des cavernes, ils démontraient leur force en donnant la mort de leurs propres mains pour leur survie. Le problème est qu'à ce jour, l'homme peut décider d’entrainer la mort d’après ses idéologies et qu’il est grandement aider par la facilité d'accès aux nouvelles armes

l'ensemble du tableau est sombre, telle une nuit mortelle seulement éclairée, de façon dramatique, par la lanterne posée en premier plan. Elle révèle la tache rouge du sang qui a déjà coulé de la victime au sol, et met en valeur la chemise blanche de l'homme qui va être fusillé, dont l'innocence est ainsi suggérée. Figure centrale du tableau, il lève les bras vers le ciel, geste d'ultime reddition, ou geste d'un crucifié implorant un Dieu qui reste sourd à sa prière ? Sa résistance semble, par avance