L'Homme de la plaine

la nouvelle MARSEILLAISE » c’est aussi un appel à résister, on peut donc dire que ce chant est l’Hymne de la Résistance Française. IV) Les paroles à la loupe Le chant des partisans : « Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne ? Ohé ! Partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme ! Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes ! Montez de la mine, descendez des collines, Camarades ! Sortez de la

commence à marcher à travers les plaines et les vergers contemplant la beauté de cette époque jusqu'à ce que mon chemin soit interrompu par la vue d'un homme qui promenait des animaux qui semblaient être des moutons. C'etait un homme très grand , habillé de peaux de moutons qui tenait dans sa main un gros baton gondolé oû était accrochées une gourde et une clochette. Lhomme me lanca un ' bonjour " hésitant il ne devait pas souvent rencontrer d'étranger dans cette plaine qui je pense n'est pas trè souvent

introduit dans un décor décrit avec précision, comme s’il y pénétrait pour la première fois : c’est le pays minier géographiquement situé : « la grande route de Marchiennes à Montsou » dont lui est même précisée la distance (« dix kilomètres »), la « plaine », le « chemin creux », « une fosse » ; Malraux mentionne un « building » situé en face de la chambre où se déroule l’action et plonge ainsi le lecteur dans un univers urbain ; Camus parle d’un « asile à Marengo » et précise aussi la distance

nord de la France est principalement composée de plaines et de vallées (Seine) qui favorisent les échanges vers l'axe rhénan et le Nord-Est de l'Europe (les plaines représentent les 2/3 du territoire). À l'Est et au Sud-Est, la chaîne des Alpes est depuis les temps préhistoriques un axe de pénétration et d'échanges vers l'Italie par les grandes vallées alpines. La vallée du Rhône forme un important axe de circulation entre la Méditerranée, les plaines du Nord de la France, et les Alpes. La chaîne des

son propre sang. En explication, nous lisons Genèse 1.27, au sixième jour : « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit et Dieu leur dit : soyez féconds, multipliez et remplissez la terre. » Et, au septième jour seulement, le lendemain donc… « l’éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. » Ce passage pourrait également sous-tendre la naissance de Lilith mais nous ne retiendrons

faire, on peut relever de nombreux procédés, dont certains qui nous rapproche de l'auteur, | |accentuant la proximité. Tout d'abord, l'utilisation de l'écriture à la premier personne : "me dit", "je sais", "je n'exige", "je demande", "je| |ne les plains pas", "je devine", "je les méprise", "je désire". Tous ces termes montre l'implication de l'auteur et donne l'impression qu'il | |est en face de nous, entrain d'expliquer ça thèse pour nous persuader plus aisement. On peut noter également que Baudelaire

porte des coups (« je me plains des coups de la Fortune »), se rebelle, refuse son tribut. Elle est surpuissante et insaissisalble, elle est la supériorité du hasard, elle est une reine sur son « trône ». On évoque aussi l’Occasion (aussi allégorie ou personnification) : « front », « cheveux ». Evocation de la roue de la fortune : image médiévale de la roue symbolisant les aléas de l’existence, elle distribue soit le bonheur ou le malheur, donc un double destin pour l’homme. Antithèse très présente

pays développés. En effet, la révolution agricole du 18 et 19ème siècle et ses conséquences positives a permis de nourrir plus d’homme et favorisé une explosion démographique en Europe et en Amérique. En outre, grâce aux progrès de la génétique, l’homme est capable de sélectionner les plantes adaptées à son alimentation. La théorie malthusienne semble adaptée aujourd’hui aux PVD qui connaissent une explosion incontrôlée de la population alors que leur niveau de développement est encore très bas.

représentés dans un champ au moment de la prière de l' angélus. En entendant sonner les cloches, ils ont interrompu le travail : la fourche est plantée dans la terre, le panier posé à même le sol [ détail b ]. Ils se recueillent, la tête inclinée, l'homme découvert [ détail c ], la femme les mains jointes [ détail d ]. À l’horizon, le clocher de l'église se découpe sur un ciel coloré de jaunes et de roses [ détail e ]. C'est le soir. La journée s’achève : les sacs dans la brouette sont remplis de

toutes une mélodie Identique. Il n'y a pas de refrain, on appelle ça une forme strophique (ce qui peut faire penser à un poème.) Dans chaque strophe, il y a des rimes suivies (AA-BB) par exemple : « Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ? » Ce chant des partisans est ici chanté par un homme, ainsi qu’avec un chœur d’hommes qui chante la mélodie, ce qui donne de la puissance. Elle est répétitive et lente comme une complainte