L Homme Depend T Il D Autrui

syntaxique, association entre un mot et une chose). Ce texte introduit donc l’idée des signes comme marques, repères élaborés par la mémoire afin de fixer des objets muables. En même temps, il insiste sur la dimension sociale du langage, destiné à autrui. On trouve donc ici les deux éléments principaux de la théorie du langage d’Augustin, à savoir la question du rapport entre les mots, les pensées (ici des volontés) et les choses d’une part ; et d’autre part, le statut du langage comme vecteur de

peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec autrui que le sujet peut sortir de sa subjectivité. Risque de solipsisme (certain de son existence mais doutant de la réalité du reste du monde)  LA CONSCIENCE Prendre conscience de qqcc (car on a pas tjrs csc qu’on a csc) : se représenter qqch à soi-mm

Sénèque affirme par ailleurs qu’il est impossible de confondre bonheur et plaisir, le premier étant un état durable, le second un sentiment éphémère Stoïcisme = vertu (def : capacité à faire du bien) La vertu est la force morale de la volonté d'un homme dans l'accomplissement de son devoir, lequel est une coercition morale exercée par sa propre raison législatrice Le sage stoïcien est celui qui a réalisé le règne absolu de la raison en lui. Ce qui implique la suppression de toute imagination

La liberté n’est donc pas absolue, c’est une valeur plus nuancée que le pense la doxa. Je peux également réfléchir sur la nécessité de ces contraintes. Pour prendre exemple sur la démocratie, il faut des lois dans nos gouvernements pour empêcher autrui d’empiéter sur ma liberté, même si cela implique des contraintes. Ainsi, si un gouvernement n’instaurait aucune loi, il limiterait globalement ma liberté : les lois paraissent limiter ma liberté, mais en fait, elles la permettent. Ces contraintes

son imagination conduira sa recherche du bonheur de façon différente des autres et les connaissances comme les compétences qu'il détient pourront I'aider à déterminer ce qui pouffa le conduire à une vie satisfaite. S'il est certain que chaque homme est animé par le désir d'assurer son bonheur néanmoins il faut constater que chacun comprend, selon ses passions, ses connaissances, ses opinions, la nature de ce que son désir lui fait convoiter. Si les hommes divergent et se séparent en raison

construction de son identité dans la confrontation aux règles, aux valeurs de son groupe d'appartenance et des différents groupes sociaux auxquels il se réfère. Herbert MEAD, anthropologue et sociologue, pour lui la socialisation est une rencontre avec autrui, et pour lui comme pour PIAGET, la socialisation est un processus actif d'adaptation discontinue à des formes mentales et sociales complexes. La fonction de la socialisation: - elle participe à la régulation sociale, pour certains auteurs elle

certains nombres de facteurs d’ordre sociaux (éducation, culture, coutume) ou d’ordre psychologique (humeur, maturité). Nous venons de voir que nos jugements  esthétiques étaient voués au relativisme, principe selon lequel la vérité est relative et dépend de chacun. Ne pouvons-nous pas, cependant envisager la possibilité d’un critère objectif permettant de reconnaitre la beauté et de la désigner comme telle ? II -Antithèse : possibilité d’une entente sur la valeur et la beauté d’une œuvre d’art

est-ce maîtriser tous ses désirs ? Introduction : La définition que la plupart des personnes ont de la liberté est de se laisser entrainer par ses désirs, avoir les moyens et la possibilité de faire tout ce que l'on veut sans contraintes. Un homme libre est alors celui qui réalise tous ses désirs sans exception. Mais en les réalisant tous, il entraine un risque , celui d'être aliéné par eux-mêmes. Par exemple, une personne accroc à la cigarette est sans cesse animée par le désir de fumer. Cette

d’expression par la violence comme solution ultime ! Compréhensible, certes, mais tellement inapte et ridicule ! Cette violence se développe à partir d’une mauvaise compréhension. C’est la violence du couple, la violence d’une masse, celle qui inclut autrui, c’est la violence du social. Quelle rigolade, vraiment ! Quand on pense que chaque jour l’on nous démontre en tout sens par l’intermédiaire des journaux télévisés, de magazines divers que le monde est indéniablement mauvais ! Comment donc ne pas

absolue. Les arbres, les chaises, la pelouse sont maintenant également des objets pour lui, " je ne puis me mettre au centre". Je peux ainsi, nous dit Sartre, parler de "l'apparition d'un homme dans mon univers" comme d'un "élément de désintégration de cet univers". Je rencontre donc autrui comme "la limite de ma liberté" ou comme une limite de souveraineté aussi bien sur le monde que sur une partie de mon être : "Avec le regard d'autrui, la situation m'échappe ou